Samir Nasri a encore brillé face à Porto, mardi soir. Buteur, il a débuté la rencontre en tant que relayeur droit. Samir Nasri a encore brillé face à Porto, mardi soir. Buteur, il a débuté la rencontre en tant que relayeur droit. La Coupe du Monde en Afrique du Sud débutant le 11 juin prochain, Football.fr a décidé de faire, chaque semaine, une revue d'effectif des joueurs susceptibles de se glisser au dernier moment dans la liste des 23 que dévoilera Raymond Domenech, le 2 mai prochain. Samir Nasri, le milieu de terrain d'Arsenal, est un outsider de plus en plus crédible. Sa polyvalence en milieu de terrain est son principal argument. D'autant que l'entrejeu de l'équipe de France ne rassure pas, surtout depuis la défaite en amical face à l'Espagne. Et si Samir Nasri était l'invité surprise de Raymond Domenech sur la liste des 23 joueurs convoqués pour la Coupe du monde 2010? Plus convoqué dans le groupe France depuis mars 2009, l'ancien Marseillais a surtout souffert d'une blessure lors de la phase de préparation cette saison, qui l'a tenu éloigné des terrains jusqu'en octobre. Depuis quelques semaines, le milieu de terrain d'Arsenal retrouve de belles couleurs. Plus à l'aise dans l'axe Avec les Gunners, l'international tricolore aux quinze sélections envoie un message de plus en plus fort à Raymond Domenech. Samedi dernier, sa prestation face à Burnley a été remarquée. Si les fans londoniens ont surtout conversé sur sa magnifique louche à destination de Francesc Fabregas pour l'ouverture du score, les observateurs ont davantage retenu la copie impeccable qu'il a rendue en tant que milieu relayeur gauche. Dans une position plus axiale, le Marseillais de naissance a brillé. Et c'était le bon moment pour prouver à Arsène Wenger que son rendement était meilleur dans cette zone du terrain. "Je suis mieux dans l'axe du terrain, expliquait-il à l'antenne de Canal Plus Sport un peu plus tard. Ça me laisse pas mal de liberté offensive. C'est mon poste de prédilection." Mais surtout, Raymond Domenech a dû avoir eu vent du match du "Petit Prince". Milieu relayeur droit face au FC Porto Car Samir Nasri se distingue par sa polyvalence. Jusqu'alors, Arsène Wenger l'utilisait sur le couloir gauche, en ailier. Un placement que l'ancien Phocéen acceptait sans rechigner. Le sélectionneur des Bleus, qui aime la docilité, apprécierait. Mais surtout, il pourrait voir en le Gunner une bonne solution pour son propre milieu de terrain. Yoann Gourcuff, le meneur de jeu, n'a pas de doublure officielle. Mais c'est surtout la médiocrité de l'entrejeu tricolore, une nouvelle fois mis en lumière lors du match amical face à l'Espagne, qui doit donner matière à réflexion à Raymond Domenech. Mardi soir face au FC Porto, en huitièmes de finale retour de Ligue des champions, Samir Nasri a encore été lumineux. A l'origine du premier but de Nicklas Bendtner, il a également marqué la rencontre d'un exploit personnel. Au moment d'inscrire le but libérateur pour les Gunners (le troisième), il passe en revue trois défenseurs portugais, dribbles chaloupés à l'appui. Et c'est au poste de milieu relayeur droit que l'ancien Ciel et Blanc a débuté le match. Un argument de plus pour le Gunner, qui expliquait récemment dans les colonnes de L'Equipe qu'il gardait encore espoir de faire le voyage en Afrique du Sud: "A moi de me montrer, [...] de faire en sorte que ma sélection soit une évidence pour tout le monde. Je vois les matches de l'équipe de France. Et, au fond de moi, j'y crois encore." Sera-ce suffisant ? La Coupe du Monde en Afrique du Sud débutant le 11 juin prochain, Football.fr a décidé de faire, chaque semaine, une revue d'effectif des joueurs susceptibles de se glisser au dernier moment dans la liste des 23 que dévoilera Raymond Domenech, le 2 mai prochain. Samir Nasri, le milieu de terrain d'Arsenal, est un outsider de plus en plus crédible. Sa polyvalence en milieu de terrain est son principal argument. D'autant que l'entrejeu de l'équipe de France ne rassure pas, surtout depuis la défaite en amical face à l'Espagne. Et si Samir Nasri était l'invité surprise de Raymond Domenech sur la liste des 23 joueurs convoqués pour la Coupe du monde 2010? Plus convoqué dans le groupe France depuis mars 2009, l'ancien Marseillais a surtout souffert d'une blessure lors de la phase de préparation cette saison, qui l'a tenu éloigné des terrains jusqu'en octobre. Depuis quelques semaines, le milieu de terrain d'Arsenal retrouve de belles couleurs. Plus à l'aise dans l'axe Avec les Gunners, l'international tricolore aux quinze sélections envoie un message de plus en plus fort à Raymond Domenech. Samedi dernier, sa prestation face à Burnley a été remarquée. Si les fans londoniens ont surtout conversé sur sa magnifique louche à destination de Francesc Fabregas pour l'ouverture du score, les observateurs ont davantage retenu la copie impeccable qu'il a rendue en tant que milieu relayeur gauche. Dans une position plus axiale, le Marseillais de naissance a brillé. Et c'était le bon moment pour prouver à Arsène Wenger que son rendement était meilleur dans cette zone du terrain. "Je suis mieux dans l'axe du terrain, expliquait-il à l'antenne de Canal Plus Sport un peu plus tard. Ça me laisse pas mal de liberté offensive. C'est mon poste de prédilection." Mais surtout, Raymond Domenech a dû avoir eu vent du match du "Petit Prince". Milieu relayeur droit face au FC Porto Car Samir Nasri se distingue par sa polyvalence. Jusqu'alors, Arsène Wenger l'utilisait sur le couloir gauche, en ailier. Un placement que l'ancien Phocéen acceptait sans rechigner. Le sélectionneur des Bleus, qui aime la docilité, apprécierait. Mais surtout, il pourrait voir en le Gunner une bonne solution pour son propre milieu de terrain. Yoann Gourcuff, le meneur de jeu, n'a pas de doublure officielle. Mais c'est surtout la médiocrité de l'entrejeu tricolore, une nouvelle fois mis en lumière lors du match amical face à l'Espagne, qui doit donner matière à réflexion à Raymond Domenech. Mardi soir face au FC Porto, en huitièmes de finale retour de Ligue des champions, Samir Nasri a encore été lumineux. A l'origine du premier but de Nicklas Bendtner, il a également marqué la rencontre d'un exploit personnel. Au moment d'inscrire le but libérateur pour les Gunners (le troisième), il passe en revue trois défenseurs portugais, dribbles chaloupés à l'appui. Et c'est au poste de milieu relayeur droit que l'ancien Ciel et Blanc a débuté le match. Un argument de plus pour le Gunner, qui expliquait récemment dans les colonnes de L'Equipe qu'il gardait encore espoir de faire le voyage en Afrique du Sud: "A moi de me montrer, [...] de faire en sorte que ma sélection soit une évidence pour tout le monde. Je vois les matches de l'équipe de France. Et, au fond de moi, j'y crois encore." Sera-ce suffisant ?