Les acteurs Sid Ali Kouiret, Mohamed Adjaïmi, Rym Takoucht, Boukersi Mohamed et Yacine Boudjemline, les réalisateurs Amar Laaskri, Djamel Hazourli et Rahim Laaloui et le technicien Rabie Amar étaient tous présents à Mila à l'occasion de l'ouverture de la troisième semaine du film algérien qui se tient à la maison de la culture de Mila depuis le 10 du mois courant, sous le thème " Cinéma Algérien: Identité et Authenticité". M. Salhi Djamel Eddine, le wali de Mila, dans son discours d'ouverture et de bienvenue, n'a pas manqué de féliciter cette pléiade d'artistes pour tous les efforts qu'ils n'ont cessé de fournir depuis toujours afin d'inculquer le 7e art dans les esprits des jeunes générations d'aujourd'hui, privées de salles obscures depuis de très longues années pour ensuite les vêtir de burnous blancs tout en leur remettant des cadeaux. " En 1963 , il y avait plus de 1.000 salles de cinéma en Algérie, aujourd'hui il n'y en a plus que quelques dizaines " a tenu à souligner Amar Laaskri , dans son intervention, invitant les jeunes à s'imprégner dans le cinéma pour faire connaître leur pays, ses us, ses coutumes et son histoire à travers la réalisation de documentaires et films car, dira- t-il, "nous devons conserver cet art et le transmettre aux générations futures, aussi vous (les jeunes), vous devez vous investir corps et âmes dans ce créneau, il y va du développement de notre pays". Sid Ali Kouiret, très ému par l'accueil chaleureux des citoyens de la wilaya de Mila dira : " Les mots me manquent, je ne sais comment vous remercier pour cet accueil". Mohamed Adjaïmi lira un poème à la gloire de Mila. Rym Takoucht finira son intervention les larmes aux yeux en déclarant : " Nous continuerons à porter haut le flambeau du cinéma algérien comme l'ont porté avant nous ceux qui m'entourent aujourd'hui". Yacine Boudjemline dira en substance : " Entouré de ces monstres sacrés du cinéma et de la télévision, je ne trouve rien à dire sinon exprimer ma grande joie d'être à Mila." Boukersi Mohamed, l'enfant de Téleghma (Mila), tout confusk, appellera les Mileviens à l'imiter et à s'investir dans le théâtre afin de percer et d'atteindre les cimes, car "c'est en forgeant que l'on devient forgeron" soulignera-t-il. Djamel Hazourli, Rahim Laaloui et Rabie Amar, les soldats de l'ombre, étaient fiers d'être à Mila et ont longuement remercié M. Ali Tayebi, le directeur de la culture de la wilaya de Mila, pour les avoir invités. Le premier film à avoir été projeté est "L'Algérie au cœur", un film documentaire qui retrace la vie et l'œuvre de M. Abdelaziz Bouteflika, le président de la république. "Fleur de lotus", "De Hollywood à Tamanrasset", "Mascarades", "Carnaval fi Dechra","L'envers du Miroir", et "Beur, blanc, rouge" seront projetés à la salle de spectacles de la maison de la culture entre le 11 et le 15 mars. Z. A. Les acteurs Sid Ali Kouiret, Mohamed Adjaïmi, Rym Takoucht, Boukersi Mohamed et Yacine Boudjemline, les réalisateurs Amar Laaskri, Djamel Hazourli et Rahim Laaloui et le technicien Rabie Amar étaient tous présents à Mila à l'occasion de l'ouverture de la troisième semaine du film algérien qui se tient à la maison de la culture de Mila depuis le 10 du mois courant, sous le thème " Cinéma Algérien: Identité et Authenticité". M. Salhi Djamel Eddine, le wali de Mila, dans son discours d'ouverture et de bienvenue, n'a pas manqué de féliciter cette pléiade d'artistes pour tous les efforts qu'ils n'ont cessé de fournir depuis toujours afin d'inculquer le 7e art dans les esprits des jeunes générations d'aujourd'hui, privées de salles obscures depuis de très longues années pour ensuite les vêtir de burnous blancs tout en leur remettant des cadeaux. " En 1963 , il y avait plus de 1.000 salles de cinéma en Algérie, aujourd'hui il n'y en a plus que quelques dizaines " a tenu à souligner Amar Laaskri , dans son intervention, invitant les jeunes à s'imprégner dans le cinéma pour faire connaître leur pays, ses us, ses coutumes et son histoire à travers la réalisation de documentaires et films car, dira- t-il, "nous devons conserver cet art et le transmettre aux générations futures, aussi vous (les jeunes), vous devez vous investir corps et âmes dans ce créneau, il y va du développement de notre pays". Sid Ali Kouiret, très ému par l'accueil chaleureux des citoyens de la wilaya de Mila dira : " Les mots me manquent, je ne sais comment vous remercier pour cet accueil". Mohamed Adjaïmi lira un poème à la gloire de Mila. Rym Takoucht finira son intervention les larmes aux yeux en déclarant : " Nous continuerons à porter haut le flambeau du cinéma algérien comme l'ont porté avant nous ceux qui m'entourent aujourd'hui". Yacine Boudjemline dira en substance : " Entouré de ces monstres sacrés du cinéma et de la télévision, je ne trouve rien à dire sinon exprimer ma grande joie d'être à Mila." Boukersi Mohamed, l'enfant de Téleghma (Mila), tout confusk, appellera les Mileviens à l'imiter et à s'investir dans le théâtre afin de percer et d'atteindre les cimes, car "c'est en forgeant que l'on devient forgeron" soulignera-t-il. Djamel Hazourli, Rahim Laaloui et Rabie Amar, les soldats de l'ombre, étaient fiers d'être à Mila et ont longuement remercié M. Ali Tayebi, le directeur de la culture de la wilaya de Mila, pour les avoir invités. Le premier film à avoir été projeté est "L'Algérie au cœur", un film documentaire qui retrace la vie et l'œuvre de M. Abdelaziz Bouteflika, le président de la république. "Fleur de lotus", "De Hollywood à Tamanrasset", "Mascarades", "Carnaval fi Dechra","L'envers du Miroir", et "Beur, blanc, rouge" seront projetés à la salle de spectacles de la maison de la culture entre le 11 et le 15 mars. Z. A.