Au troisième jour du Festival national amazigh qui se tient à Tizi Ouzou, l'affluence ne cesse de croître et l'engouement de la population à une telle activité culturelle est sans précédent. Si El Hachemi Assad, commissaire du festival en question, nous a accordé cet entretien afin d'établir une première évolution de ce festival qui a permis à la ville de Tizi Ouzou de renouer avec le bonheur de vivre après des années d'apnée. Au troisième jour du Festival national amazigh qui se tient à Tizi Ouzou, l'affluence ne cesse de croître et l'engouement de la population à une telle activité culturelle est sans précédent. Si El Hachemi Assad, commissaire du festival en question, nous a accordé cet entretien afin d'établir une première évolution de ce festival qui a permis à la ville de Tizi Ouzou de renouer avec le bonheur de vivre après des années d'apnée. Midi Libre : Nous sommes à la troisième journée du festival. Pouvez-vous faire un point sur les conditions de son déroulement ? Si El Hachemi Assad : Les choses se présentent bien dans l'exécution de l'essentiel de notre programme. Les films ont été réceptionnés dans les délais. Nous respectons notre timing en matière de projection. Les trois salles sont animées. Il y a un public comme vous pouvez le constater. Nous faisons un travail de sensibilisation du public comme annoncé lors de notre première conférence. Il est nécessaire de faire un effort de sensibilisation davantage auprès de ce public qui a perdu le réflexe de fréquenter les salles de cinéma. Quels sont les aspects positifs de cette dixième édition ? Ce qui est bien, c'est l'éclatement de notre programme en dehors du chef lieu de wilaya. Nous avons visé quelques communes déjà. Un travail de proximité est en train de se faire dans les villages qui ont accueilli la caravane cinématographique du film amazigh. C'est important pour nous. Quel bilan faites-vous du colloque sur Mouloud Feraoun initié dans le cadre du festival du film amazigh ? Le colloque sur Mouloud Feraoun s'est bien déroulé avec une forte participation des spécialistes d'Europe et du Maghreb. Selon le mini bilan établi sur la base de ces premières journées, êtes-vous optimiste par rapport aux prochaines éditions qui se poursuivront ici même à Tizi Ouzou ? Je l'ai dit lors de l'allocution d'ouverture. La note d'espoir est là. Il s'agit de réceptionner les salles de cinéma. Si nous avons cette assurance d'avoir deux à trois salles, dont l'une dans une commune limitrophe, la prochaine édition se tiendra dans de meilleurs conditions. Effectivement, l'infrastructure est un préalable pour la réussite des prochaines éditions. Est-ce qu'il y a eu des défaillances quant à la venue des invités de marque conviés par vos soins à ce rendez-vous. Je suis content car tout le monde a répondu à l'invitation. Nous avons des renommées du cinéma de Roumanie, d'Allemagne, de Hollande, des Marocains, des cinéastes algériens et des comédiens de talent, sans oublier, bien sûr, nos réalisateurs qui sont en compétition. Quel est le principal message que vous voulez transmettre à travers ce festival ? Nous voulons instaurer la tradition que dans un festival il faut donner une qualité à tout un chacun : aux formateurs, aux réalisateurs, aux cinéastes et aux comédiens parce que l'objectif d'un festival, c‘est de sortir aussi avec des perspectives. Si on parlait d'ores et déjà des prochaines éditions ? A l'occasion de ce festival, il y a un plan de charge et une stratégie pour les prochaines éditions. Pour la onzième édition, nous avons globalement les grandes lignes du menu. Par rapport aux éditions précédentes, quelles sont les améliorations que l'on pourrait noter ? Le bilan, nous le ferons à la clôture. Nous ne sommes qu'à la troisième journée. Ce qui est bien à Tizi Ouzou, c'est cette adhésion et cet éclatement. Nous avons pu faire un programme grâce au soutien d'un partenaire qui est la jeunesse et les sports. Ce qui passe en compétition ici est repris ailleurs. Et cela, nous n'avons pas pu le faire lors des éditions passées. Sinon, un festival c'est un contenu. Je suis content car nous avons fait un saut qualitatif sur le plan du contenu. Il y a des intervenants de qualité et des films de qualité. Nous avons une forte délégation de Roumanie. Ce sont les indices d'une programmation de qualité. L. B. Midi Libre : Nous sommes à la troisième journée du festival. Pouvez-vous faire un point sur les conditions de son déroulement ? Si El Hachemi Assad : Les choses se présentent bien dans l'exécution de l'essentiel de notre programme. Les films ont été réceptionnés dans les délais. Nous respectons notre timing en matière de projection. Les trois salles sont animées. Il y a un public comme vous pouvez le constater. Nous faisons un travail de sensibilisation du public comme annoncé lors de notre première conférence. Il est nécessaire de faire un effort de sensibilisation davantage auprès de ce public qui a perdu le réflexe de fréquenter les salles de cinéma. Quels sont les aspects positifs de cette dixième édition ? Ce qui est bien, c'est l'éclatement de notre programme en dehors du chef lieu de wilaya. Nous avons visé quelques communes déjà. Un travail de proximité est en train de se faire dans les villages qui ont accueilli la caravane cinématographique du film amazigh. C'est important pour nous. Quel bilan faites-vous du colloque sur Mouloud Feraoun initié dans le cadre du festival du film amazigh ? Le colloque sur Mouloud Feraoun s'est bien déroulé avec une forte participation des spécialistes d'Europe et du Maghreb. Selon le mini bilan établi sur la base de ces premières journées, êtes-vous optimiste par rapport aux prochaines éditions qui se poursuivront ici même à Tizi Ouzou ? Je l'ai dit lors de l'allocution d'ouverture. La note d'espoir est là. Il s'agit de réceptionner les salles de cinéma. Si nous avons cette assurance d'avoir deux à trois salles, dont l'une dans une commune limitrophe, la prochaine édition se tiendra dans de meilleurs conditions. Effectivement, l'infrastructure est un préalable pour la réussite des prochaines éditions. Est-ce qu'il y a eu des défaillances quant à la venue des invités de marque conviés par vos soins à ce rendez-vous. Je suis content car tout le monde a répondu à l'invitation. Nous avons des renommées du cinéma de Roumanie, d'Allemagne, de Hollande, des Marocains, des cinéastes algériens et des comédiens de talent, sans oublier, bien sûr, nos réalisateurs qui sont en compétition. Quel est le principal message que vous voulez transmettre à travers ce festival ? Nous voulons instaurer la tradition que dans un festival il faut donner une qualité à tout un chacun : aux formateurs, aux réalisateurs, aux cinéastes et aux comédiens parce que l'objectif d'un festival, c‘est de sortir aussi avec des perspectives. Si on parlait d'ores et déjà des prochaines éditions ? A l'occasion de ce festival, il y a un plan de charge et une stratégie pour les prochaines éditions. Pour la onzième édition, nous avons globalement les grandes lignes du menu. Par rapport aux éditions précédentes, quelles sont les améliorations que l'on pourrait noter ? Le bilan, nous le ferons à la clôture. Nous ne sommes qu'à la troisième journée. Ce qui est bien à Tizi Ouzou, c'est cette adhésion et cet éclatement. Nous avons pu faire un programme grâce au soutien d'un partenaire qui est la jeunesse et les sports. Ce qui passe en compétition ici est repris ailleurs. Et cela, nous n'avons pas pu le faire lors des éditions passées. Sinon, un festival c'est un contenu. Je suis content car nous avons fait un saut qualitatif sur le plan du contenu. Il y a des intervenants de qualité et des films de qualité. Nous avons une forte délégation de Roumanie. Ce sont les indices d'une programmation de qualité. L. B.