Terre de sérénité, terre de vacances, c'est l'image idyllique qu'inspire la Tunisie. Cette image est bien promue et vendue dans le monde, ainsi ce pays représente la première destination touristique au nord de la Méditerranée et la 44e dans le monde selon un rapport du Forum économique mondial de Davos ! Terre de sérénité, terre de vacances, c'est l'image idyllique qu'inspire la Tunisie. Cette image est bien promue et vendue dans le monde, ainsi ce pays représente la première destination touristique au nord de la Méditerranée et la 44e dans le monde selon un rapport du Forum économique mondial de Davos ! Avec environ 7 millions de touristes qui s'y rendent annuellement, la Tunisie, véritable métropole internationale est devenue une destination privilégiée pour les vacances, les rencontres professionnelles ou les manifestations d'envergure mondiale. Tout contribue à cette performance : des paysages remarquables et variés, de nombreux sites historiques (puniques, romains…) vestiges de la profondeur historique de cette contrée, des infrastructures réputées, abondantes et très attractives... Mais d'abord et par dessus tout, c'est un atout privilégié qui favorise cette grâce de Dieu : tout simplement, il fait bon vivre en Tunisie, d'où sa douceur, sa sérénité tant vantée. Cette réalité est reconnue puisque la Tunisie est classée premier pays arabe "le plus agréable à vivre", selon le classement annuel établi par "International Living" observateur de la qualité de la vie dans le monde. Elle fait même partie des 26 premiers pays au monde sur 194. Petit pays par la superficie, la Tunisie, 10 millions d'habitants, compte aujourd'hui parmi les pays émergents grâce surtout à son modèle de développement basé sur la promotion d'une société de savoir. Ce modèle fait prévaloir la modernité, parie sur l'apport des femmes et retient l'éducation comme secteur prioritaire de l'investissement, des secteurs de pointe, comme l'informatique par exemple, sont les plus développés du continent. Aujourd'hui, de simples indicateurs de santé, d'éducation de service public attestent de cette évolution tranquille et sûre. Par exemple, le sort de la femme : outre l'abolition de la polygamie qui fait de la Tunisie la mecque du combat féministe dans le monde arabo-musulman, la femme tunisienne a conquis d'importants progrès : renforcement conséquent de sa présence dans la vie publique, majoritaires à l'université où elles représentent 59,4% de l'ensemble des étudiants. Deux chiffres pour illustrer cette présence féminine en devenir : les femmes représentent 24% du personnel diplomatique et elles sont près de 18 mille à être chefs d'entreprise. Autre exemple : le taux de scolarisation dans l'enseignement supérieur est de 37,3%, soit près d'une personne sur trois! L'accroissement démographique n'était que de 1,09% en 2008. Ces témoins de l'amélioration notable du niveau de vie de l'ensemble de la population sont légion. Dont celle-ci qui prouve, en même temps que la stabilité dans la société, le choix de l'homme comme sujet et objectif du développement, la classe moyenne, levier social par excellence, représente 80% de la population et 80% des familles tunisiennes sont propriétaires de leurs propres logements. Toutes les étapes franchies par la Tunisie sur la voie du renforcement des fondements du modèle de société basé sur la cnsolidation de la classe moyenne et l'amélioration du bien-être de la population, attestent du succès de l'entreprise. Le bien-être social est bien réel en terre tunisienne où le taux de croissance moyen au cours de la période 2002-2008 équivaut à 4,6%, de sorte que le Produit national brut (PIB) par habitant a enregistré une hausse particulièrement sensible, passant de 960 dinars en 1986 à 4,8847 dinars en 2008. De surcroît, la Tunisie, ayant réussi à alléger le fardeau de sa dette malgré l'aggravation du problème de la dette à l'échelle mondiale, est fréquemment citée par les institutions financières internationales comme "un modèle" eu égard à la réussite de son programme d'ajustement structurel. En plein essor, l'économie tunisienne a généré un climat particulièrement attractif pour les investissements étrangers. Trois mille firmes étrangères ont réalisé des investissements directs ou monté des opérations en joint-venture avec des partenaires locaux. La Tunisie réalise aussi ce score décisif, elle est le premier exportateur industriel de la rive sud de la Méditerranée vers l'Union européenne (qui est son premier partenaire économique et commercial). Ayant intégré en 2008 la Zone de libre échange avec l'UE, elle accède ainsi à un marché de 500 millions de consommateurs. L'éducation une priorité N'ayant jamais cessé d'investir dans son système éducatif pour l'améliorer, mais aussi l'adapter aux besoins de l'économie en pleine mutation, la Tunisie met régulièrement sur le marché de l'emploi un grand nombre de diplômés dont les compétences et qualifications dans les domaines techniques sont reconnues mondialement. De ce fait, ce pays maghrébin est encore classé premier pays de la rive sud de la Méditerannée qui forme chaque année le plus d'ingénieurs et de techniciens par tête d'habitant (…) et premier encore dans le continent (et 38e sur 134 pays) dans le secteur des télécommunications dont le taux de croissance a dépassé les 20% durant la période 2002-2006. Par ailleurs, tous les types de réseaux sont disponibles en Tunisie. Et, cerise sur le gâteau, la Tunisie est également le premier pays en Afrique et 25e sur 133 pays pour la rigueur de sa réglementation environnementale. Mise en place dès le début des années 90 sa politique de protection de l'environnement jouit de 12,2% du Produit intérieur brut (PIB) national. Son engagement en faveur de la protection des ressources naturelles et la préservation du cadre de vie des citoyens a été largement reconnu. Des études récentes ont démontré que la dégradation de l'environnement ne dépasse pas 2,10% de son PIB, ce qui demeure très proche des valeurs observées dans les pays développés. Ces efforts déployés ont valu à la Tunisie d'être classée parmi les pays les moins pollués de la planète. Leadership dans les domaines liés au bien-être social, à la promotion du savoir pour accéder à une société libérée des anachronismes qui ruinent le monde musulman. La Tunisie a choisi cette option il y a bien longtemps, bien avant les réformes courageuses de Habib Bourguiba, premier président de la Tunisie. - Représentante - au XIX siècle, elle a été le premier pays arabe à se doter d'une Constitution et à abolir l'esclavage. Aujourd'hui, la Tunisie fête le 54e anniversaire de son indépendance avec ce bilan socio-économique promoteur dont elle peut à juste titre s'enorgueillir, seule ombre à ce tableau : la fermeture du champ politique, des conséquences sur les libertés individuelles. L. B. Avec environ 7 millions de touristes qui s'y rendent annuellement, la Tunisie, véritable métropole internationale est devenue une destination privilégiée pour les vacances, les rencontres professionnelles ou les manifestations d'envergure mondiale. Tout contribue à cette performance : des paysages remarquables et variés, de nombreux sites historiques (puniques, romains…) vestiges de la profondeur historique de cette contrée, des infrastructures réputées, abondantes et très attractives... Mais d'abord et par dessus tout, c'est un atout privilégié qui favorise cette grâce de Dieu : tout simplement, il fait bon vivre en Tunisie, d'où sa douceur, sa sérénité tant vantée. Cette réalité est reconnue puisque la Tunisie est classée premier pays arabe "le plus agréable à vivre", selon le classement annuel établi par "International Living" observateur de la qualité de la vie dans le monde. Elle fait même partie des 26 premiers pays au monde sur 194. Petit pays par la superficie, la Tunisie, 10 millions d'habitants, compte aujourd'hui parmi les pays émergents grâce surtout à son modèle de développement basé sur la promotion d'une société de savoir. Ce modèle fait prévaloir la modernité, parie sur l'apport des femmes et retient l'éducation comme secteur prioritaire de l'investissement, des secteurs de pointe, comme l'informatique par exemple, sont les plus développés du continent. Aujourd'hui, de simples indicateurs de santé, d'éducation de service public attestent de cette évolution tranquille et sûre. Par exemple, le sort de la femme : outre l'abolition de la polygamie qui fait de la Tunisie la mecque du combat féministe dans le monde arabo-musulman, la femme tunisienne a conquis d'importants progrès : renforcement conséquent de sa présence dans la vie publique, majoritaires à l'université où elles représentent 59,4% de l'ensemble des étudiants. Deux chiffres pour illustrer cette présence féminine en devenir : les femmes représentent 24% du personnel diplomatique et elles sont près de 18 mille à être chefs d'entreprise. Autre exemple : le taux de scolarisation dans l'enseignement supérieur est de 37,3%, soit près d'une personne sur trois! L'accroissement démographique n'était que de 1,09% en 2008. Ces témoins de l'amélioration notable du niveau de vie de l'ensemble de la population sont légion. Dont celle-ci qui prouve, en même temps que la stabilité dans la société, le choix de l'homme comme sujet et objectif du développement, la classe moyenne, levier social par excellence, représente 80% de la population et 80% des familles tunisiennes sont propriétaires de leurs propres logements. Toutes les étapes franchies par la Tunisie sur la voie du renforcement des fondements du modèle de société basé sur la cnsolidation de la classe moyenne et l'amélioration du bien-être de la population, attestent du succès de l'entreprise. Le bien-être social est bien réel en terre tunisienne où le taux de croissance moyen au cours de la période 2002-2008 équivaut à 4,6%, de sorte que le Produit national brut (PIB) par habitant a enregistré une hausse particulièrement sensible, passant de 960 dinars en 1986 à 4,8847 dinars en 2008. De surcroît, la Tunisie, ayant réussi à alléger le fardeau de sa dette malgré l'aggravation du problème de la dette à l'échelle mondiale, est fréquemment citée par les institutions financières internationales comme "un modèle" eu égard à la réussite de son programme d'ajustement structurel. En plein essor, l'économie tunisienne a généré un climat particulièrement attractif pour les investissements étrangers. Trois mille firmes étrangères ont réalisé des investissements directs ou monté des opérations en joint-venture avec des partenaires locaux. La Tunisie réalise aussi ce score décisif, elle est le premier exportateur industriel de la rive sud de la Méditerranée vers l'Union européenne (qui est son premier partenaire économique et commercial). Ayant intégré en 2008 la Zone de libre échange avec l'UE, elle accède ainsi à un marché de 500 millions de consommateurs. L'éducation une priorité N'ayant jamais cessé d'investir dans son système éducatif pour l'améliorer, mais aussi l'adapter aux besoins de l'économie en pleine mutation, la Tunisie met régulièrement sur le marché de l'emploi un grand nombre de diplômés dont les compétences et qualifications dans les domaines techniques sont reconnues mondialement. De ce fait, ce pays maghrébin est encore classé premier pays de la rive sud de la Méditerannée qui forme chaque année le plus d'ingénieurs et de techniciens par tête d'habitant (…) et premier encore dans le continent (et 38e sur 134 pays) dans le secteur des télécommunications dont le taux de croissance a dépassé les 20% durant la période 2002-2006. Par ailleurs, tous les types de réseaux sont disponibles en Tunisie. Et, cerise sur le gâteau, la Tunisie est également le premier pays en Afrique et 25e sur 133 pays pour la rigueur de sa réglementation environnementale. Mise en place dès le début des années 90 sa politique de protection de l'environnement jouit de 12,2% du Produit intérieur brut (PIB) national. Son engagement en faveur de la protection des ressources naturelles et la préservation du cadre de vie des citoyens a été largement reconnu. Des études récentes ont démontré que la dégradation de l'environnement ne dépasse pas 2,10% de son PIB, ce qui demeure très proche des valeurs observées dans les pays développés. Ces efforts déployés ont valu à la Tunisie d'être classée parmi les pays les moins pollués de la planète. Leadership dans les domaines liés au bien-être social, à la promotion du savoir pour accéder à une société libérée des anachronismes qui ruinent le monde musulman. La Tunisie a choisi cette option il y a bien longtemps, bien avant les réformes courageuses de Habib Bourguiba, premier président de la Tunisie. - Représentante - au XIX siècle, elle a été le premier pays arabe à se doter d'une Constitution et à abolir l'esclavage. Aujourd'hui, la Tunisie fête le 54e anniversaire de son indépendance avec ce bilan socio-économique promoteur dont elle peut à juste titre s'enorgueillir, seule ombre à ce tableau : la fermeture du champ politique, des conséquences sur les libertés individuelles. L. B.