«Le code des marchés publics doit être transparent et permettre aux PME/PMI de la CGOEA d'accéder au marché public régi par l'Etat. En fait, le code des marchés publics doit permettre aux entreprises de travailler à chances égales sachant que cette réglementation était figée par les cautions, les commissions et toute une panoplie de barrages, autant d'entraves pour les opérateurs économiques algériens «Le code des marchés publics doit être transparent et permettre aux PME/PMI de la CGOEA d'accéder au marché public régi par l'Etat. En fait, le code des marchés publics doit permettre aux entreprises de travailler à chances égales sachant que cette réglementation était figée par les cautions, les commissions et toute une panoplie de barrages, autant d'entraves pour les opérateurs économiques algériens «Il devient impérieux de savoir quelle sera la part des entreprises du secteur privé dans la création de richesses et d'emplois à travers les marchés publics sachant que des entreprises étrangères et des groupes internationaux avaient en charge la réalisation de nombreux projets en Algérie dont une grande partie était accaparée par ces groupes» a notamment affirmé, hier, Habib Yousfi, président de la Confédération générale des opérateurs économiques algériens (CGOEA) au forum d'El Moudjahid au cours d'une conférence intitulée "Le code des marchés publics et la concurrence''. Il estime que la PME/PMI, (assurant une grande croissance, une génération de richesses et d'emplois important dans les pays avancés et industrialisés comme les Etats-Unis d'Amérique et l'Italie qui ont bâti leur développement local sur cette PME) est un secteur extrêmement important, mais négligé dans le passé. «Le code des marchés publics a été modifié à plusieurs reprises suivant la démarché économique des pouvoirs publics. Les investissements publics sont de plus en plus importants dans les secteurs du BTPH, de la construction de logements, des autoroutes et des barrages qui sont à l'origine de l'accumulation de richesses». Toutefois, Yousfi s'interroge sur la place des PME privées dans la contribution des réalisations des grandes infrastructures en Algérie. «Le code des marchés publics doit être transparent et permettre aux PME/PMI de la CGOEA d'accéder au marché public régi par l'Etat. En fait, le code des marchés publics doit permettre aux entreprises de travailler à chances égales sachant que cette règlementation était figée par les cautions, les commissions et toute une panoplie de barrages, entraves pour les opérateurs économiques algériens qui n'étaient pas en mesure d'accéder à des marchés assez conséquents», a-t-il ajouté. Pour sa part, M. Djerrad , expert comptable, a soulevé le problème des procédures en vigueur et le rôle de la Banque mondiale dans le respect scrupuleux des règles de commerce. Il a notamment fait allusion à l'instruction du 31 décembre 2009 du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, relative à la lutte contre la corruption et l'application loyale de la législation régissant les marchés publics. «Le code des marchés publics a pour objet de gérer les deniers publics et en même temps la prévention des actes de corruption et de malversations financières et veille à vérifier les procédures concernant leur conformité avec la pratique et intervenir correctement en vertu de la lutte contre les délits dans l'esprit du code de commerce et du marché public», a-t-il dit. Il explique que des règles de transparence s'imposent dans le contexte où des soumissionnaires veulent entreprendre avec le moindre risque possible, et où les autres veulent travailler avec le moins de dépenses possibles. Ce conférencier a souligné que la notation des entreprises requiert l'interdiction de faire appel à des bureaux d'études étrangers alors que le code des marchés publics est appliqué par à coups en fonction des problèmes rencontrés. Il y a lieu de cerner les entraves réelles ensemble et objectivement afin de décider des changements. Car, l'Etat doit rendre compte au public de cette utilisation sachant qu'il s'agit de la gestion des deniers publics. A. A. «Il devient impérieux de savoir quelle sera la part des entreprises du secteur privé dans la création de richesses et d'emplois à travers les marchés publics sachant que des entreprises étrangères et des groupes internationaux avaient en charge la réalisation de nombreux projets en Algérie dont une grande partie était accaparée par ces groupes» a notamment affirmé, hier, Habib Yousfi, président de la Confédération générale des opérateurs économiques algériens (CGOEA) au forum d'El Moudjahid au cours d'une conférence intitulée "Le code des marchés publics et la concurrence''. Il estime que la PME/PMI, (assurant une grande croissance, une génération de richesses et d'emplois important dans les pays avancés et industrialisés comme les Etats-Unis d'Amérique et l'Italie qui ont bâti leur développement local sur cette PME) est un secteur extrêmement important, mais négligé dans le passé. «Le code des marchés publics a été modifié à plusieurs reprises suivant la démarché économique des pouvoirs publics. Les investissements publics sont de plus en plus importants dans les secteurs du BTPH, de la construction de logements, des autoroutes et des barrages qui sont à l'origine de l'accumulation de richesses». Toutefois, Yousfi s'interroge sur la place des PME privées dans la contribution des réalisations des grandes infrastructures en Algérie. «Le code des marchés publics doit être transparent et permettre aux PME/PMI de la CGOEA d'accéder au marché public régi par l'Etat. En fait, le code des marchés publics doit permettre aux entreprises de travailler à chances égales sachant que cette règlementation était figée par les cautions, les commissions et toute une panoplie de barrages, entraves pour les opérateurs économiques algériens qui n'étaient pas en mesure d'accéder à des marchés assez conséquents», a-t-il ajouté. Pour sa part, M. Djerrad , expert comptable, a soulevé le problème des procédures en vigueur et le rôle de la Banque mondiale dans le respect scrupuleux des règles de commerce. Il a notamment fait allusion à l'instruction du 31 décembre 2009 du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, relative à la lutte contre la corruption et l'application loyale de la législation régissant les marchés publics. «Le code des marchés publics a pour objet de gérer les deniers publics et en même temps la prévention des actes de corruption et de malversations financières et veille à vérifier les procédures concernant leur conformité avec la pratique et intervenir correctement en vertu de la lutte contre les délits dans l'esprit du code de commerce et du marché public», a-t-il dit. Il explique que des règles de transparence s'imposent dans le contexte où des soumissionnaires veulent entreprendre avec le moindre risque possible, et où les autres veulent travailler avec le moins de dépenses possibles. Ce conférencier a souligné que la notation des entreprises requiert l'interdiction de faire appel à des bureaux d'études étrangers alors que le code des marchés publics est appliqué par à coups en fonction des problèmes rencontrés. Il y a lieu de cerner les entraves réelles ensemble et objectivement afin de décider des changements. Car, l'Etat doit rendre compte au public de cette utilisation sachant qu'il s'agit de la gestion des deniers publics. A. A.