Au grand bonheur des cinéphiles nostalgiques des années d'or du cinéma (national et universel) la radio locale des Bibans offre un espace hebdomadaire d'une heure chaque mercredi de 8h à 19h, pour débattre sur le cinéma, ce septième art qui a tendance à s'éclipser face aux nouvelles technologies de l'audiovisuel. L'émission animée par Oucham Mourad un accro du grand écran, qui avait d'ailleurs soutenu son mémoire de fin d'études sur "Le cinéma en Algérie et questions africaines", avec un autre fin connaisseur, Rochdi Bara. Loin de la langue de bois, et dans un langage simple, les animateurs tentent de transmettre le message que véhicule une œuvre cinématographique dans le traitement des maux de la société à travers des histoires qui se terminent toujours par une "moralité". Pour les auditeurs, c'est une initiative louable qui tombe à pic pour combler l'immense vide que laisse la fermeture des deux salles de cinéma "Vox" et "Rex" qui drainaient des foules immensesdurant les années 60, 70 et 80. Une époque où la Cinémathèque algérienne de Bordj était à son apogée et comptait parmi les meilleures du pays, de par les thèmes débattus et la qualité des animateurs : Djamel et Toufik Farès, Traikia Khaled, Soualem, Akhrouf ou encore Benkhaled, actuellement réalisateur pour une chaîne de télévision italienne, et bien d'autres encore qui ont abandonné par la force des choses. Il est important de noter que les auditeurs de cette émission, souhaiteraient vivement qu'on mette à leur disposition une ou deux lignes téléphoniques pour pouvoir soumettre les questions ayant trait à ce domaine qui les passionne. M. A. Au grand bonheur des cinéphiles nostalgiques des années d'or du cinéma (national et universel) la radio locale des Bibans offre un espace hebdomadaire d'une heure chaque mercredi de 8h à 19h, pour débattre sur le cinéma, ce septième art qui a tendance à s'éclipser face aux nouvelles technologies de l'audiovisuel. L'émission animée par Oucham Mourad un accro du grand écran, qui avait d'ailleurs soutenu son mémoire de fin d'études sur "Le cinéma en Algérie et questions africaines", avec un autre fin connaisseur, Rochdi Bara. Loin de la langue de bois, et dans un langage simple, les animateurs tentent de transmettre le message que véhicule une œuvre cinématographique dans le traitement des maux de la société à travers des histoires qui se terminent toujours par une "moralité". Pour les auditeurs, c'est une initiative louable qui tombe à pic pour combler l'immense vide que laisse la fermeture des deux salles de cinéma "Vox" et "Rex" qui drainaient des foules immensesdurant les années 60, 70 et 80. Une époque où la Cinémathèque algérienne de Bordj était à son apogée et comptait parmi les meilleures du pays, de par les thèmes débattus et la qualité des animateurs : Djamel et Toufik Farès, Traikia Khaled, Soualem, Akhrouf ou encore Benkhaled, actuellement réalisateur pour une chaîne de télévision italienne, et bien d'autres encore qui ont abandonné par la force des choses. Il est important de noter que les auditeurs de cette émission, souhaiteraient vivement qu'on mette à leur disposition une ou deux lignes téléphoniques pour pouvoir soumettre les questions ayant trait à ce domaine qui les passionne. M. A.