Contrairement à ce qui a été avancé dans la matinée d'hier, le mot d'ordre de la grève de deux jours à laquelle a appelé le Conseil national du secteur des communes, affilié au Snapap, n'a pas été beaucoup suivi dans la wilaya de Boumerdès, si l'on se réfère aux dires de quelques animateurs de cette action de protestation. Contacté hier, un animateur de ce mouvement, qui requiert l'anonymat, nous dira : «Les travailleurs communaux n'ont pas adhéré au mot d'ordre de grève de peur de perdre leur emploi et par crainte de représailles». Et d'ajouter : «La grève a été suivie uniquement dans quelques communes à l'exemple de Chabet El Ameur, où l'assemblée a été paralysée totalement par le mouvement ». «Dans cette commune aucun service n'a été assuré, notamment l'état civil», ajoute notre interlocuteur. Toutefois, ce dernier n'avance aucun taux de suivi de ce débrayage à l'échelle de la wilaya de Boumerdès. Tahar Ounas Contrairement à ce qui a été avancé dans la matinée d'hier, le mot d'ordre de la grève de deux jours à laquelle a appelé le Conseil national du secteur des communes, affilié au Snapap, n'a pas été beaucoup suivi dans la wilaya de Boumerdès, si l'on se réfère aux dires de quelques animateurs de cette action de protestation. Contacté hier, un animateur de ce mouvement, qui requiert l'anonymat, nous dira : «Les travailleurs communaux n'ont pas adhéré au mot d'ordre de grève de peur de perdre leur emploi et par crainte de représailles». Et d'ajouter : «La grève a été suivie uniquement dans quelques communes à l'exemple de Chabet El Ameur, où l'assemblée a été paralysée totalement par le mouvement ». «Dans cette commune aucun service n'a été assuré, notamment l'état civil», ajoute notre interlocuteur. Toutefois, ce dernier n'avance aucun taux de suivi de ce débrayage à l'échelle de la wilaya de Boumerdès. Tahar Ounas