Le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) est profondément préoccupé par la situation sanitaire et la détention abusive des militants sahraouis activistes pacifiques des droits de l'Homme, résidant dans les territoires occupés du Sahara Occidental. En effet, arrêtés le 8 octobre 2009 arbitrairement à l'aéroport de Casablanca, lors de leur retour après avoir rendu visite à leurs familles dans les camps de réfugiés, les 7 militants des droits de l'Homme ont été d'abord irrégulièrement interrogés, puis férocement battus, atteints gravement dans leur chair, tout en étant soumis à une garde à vue au-delà du délai réglementaire. Suite à quoi, les autorités marocaines, notamment judiciaires, ont décidé de les inculper de chefs d'accusation imaginaires très graves, de les traduire devant une juridiction militaire, dont le verdict minimum est de 30 années d'emprisonnement et peut aller à la peine de mort, sinon la perpétuité. Ces militants sahraouis activistes des droits de l'Homme ont entamé une grève de la faim, qui est à son 13e jour, pour protester contre leur arrestation arbitraire, contre ces tortures criminelles dont ils sont victimes de la part du régime marocain et pour exiger un statut de détenus politiques, plus conforme à leur action pacifique revendicative des droits humains fondamentaux pour le peuple sahraoui. Devant cette situation injuste au regard du droit et intolérable en matière d'atteinte à l'intégrité physique des personnes. Le CNASPS : - Condamne avec force l'interpellation et l'incarcération non justifiées des 7 activistes sahraouis des droits de l'Homme le 8 octobre 2009 à l'aéroport de Casablanca - Dénonce vigoureusement l'atteinte physique perpétrée contre l'intégrité des personnes détenues et notamment les tortures auxquelles elles ont été soumises - Déplore profondément la situation de non-droit qui est faite à ces militants sahraouis dans la procédure judiciaire qui leur est appliquée, dans l'exagération programmée des accusations retenues contre elles ainsi que pour le choix de la juridiction militaire choisie pour les juger. Le CNASPS : - Réaffirme sa totale solidarité avec les militants sahraouis des droits de l'Homme dans leur juste combat pacifique pour la dignité et la liberté - Se déclare pleinement mobilisé pour leur apporter soutien et assistance dans leur tragique situation - Interpelle l'Onu, les militants des droits de l'Homme, les sociétés civiles du monde et les ONG internationales sur l'atteinte physique et les injustices qui sont faites aux militants sahraouis des droits de l'Homme - En appelle à la conscience de tout un chacun sur l'issue fatale que peut connaître la poursuivre de la grève de la faim observée par les militants sahraoui des droits de l'Homme dans leur incarcération - Tient clairement les autorités marocaines pour totalement responsables de tout ce qui peut résulter de cette position des militants sahraouis des droits de l'Homme qu'elles détiennent injustement - Rappelle la demande insistante faite aux Nations unies d'élargir le mandat de la Minurso à la protection des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental - Exige fermement des autorités marocaines, pour éviter le pire, soit de juger rapidement ces militants sahraouis activistes pacifiques des droits de l'Homme, soit de les libérer immédiatement afin que leur vie soit sauvegardée, qu'ils puissent recouvrir leur santé et retrouver leurs familles éplorées. Le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) est profondément préoccupé par la situation sanitaire et la détention abusive des militants sahraouis activistes pacifiques des droits de l'Homme, résidant dans les territoires occupés du Sahara Occidental. En effet, arrêtés le 8 octobre 2009 arbitrairement à l'aéroport de Casablanca, lors de leur retour après avoir rendu visite à leurs familles dans les camps de réfugiés, les 7 militants des droits de l'Homme ont été d'abord irrégulièrement interrogés, puis férocement battus, atteints gravement dans leur chair, tout en étant soumis à une garde à vue au-delà du délai réglementaire. Suite à quoi, les autorités marocaines, notamment judiciaires, ont décidé de les inculper de chefs d'accusation imaginaires très graves, de les traduire devant une juridiction militaire, dont le verdict minimum est de 30 années d'emprisonnement et peut aller à la peine de mort, sinon la perpétuité. Ces militants sahraouis activistes des droits de l'Homme ont entamé une grève de la faim, qui est à son 13e jour, pour protester contre leur arrestation arbitraire, contre ces tortures criminelles dont ils sont victimes de la part du régime marocain et pour exiger un statut de détenus politiques, plus conforme à leur action pacifique revendicative des droits humains fondamentaux pour le peuple sahraoui. Devant cette situation injuste au regard du droit et intolérable en matière d'atteinte à l'intégrité physique des personnes. Le CNASPS : - Condamne avec force l'interpellation et l'incarcération non justifiées des 7 activistes sahraouis des droits de l'Homme le 8 octobre 2009 à l'aéroport de Casablanca - Dénonce vigoureusement l'atteinte physique perpétrée contre l'intégrité des personnes détenues et notamment les tortures auxquelles elles ont été soumises - Déplore profondément la situation de non-droit qui est faite à ces militants sahraouis dans la procédure judiciaire qui leur est appliquée, dans l'exagération programmée des accusations retenues contre elles ainsi que pour le choix de la juridiction militaire choisie pour les juger. Le CNASPS : - Réaffirme sa totale solidarité avec les militants sahraouis des droits de l'Homme dans leur juste combat pacifique pour la dignité et la liberté - Se déclare pleinement mobilisé pour leur apporter soutien et assistance dans leur tragique situation - Interpelle l'Onu, les militants des droits de l'Homme, les sociétés civiles du monde et les ONG internationales sur l'atteinte physique et les injustices qui sont faites aux militants sahraouis des droits de l'Homme - En appelle à la conscience de tout un chacun sur l'issue fatale que peut connaître la poursuivre de la grève de la faim observée par les militants sahraoui des droits de l'Homme dans leur incarcération - Tient clairement les autorités marocaines pour totalement responsables de tout ce qui peut résulter de cette position des militants sahraouis des droits de l'Homme qu'elles détiennent injustement - Rappelle la demande insistante faite aux Nations unies d'élargir le mandat de la Minurso à la protection des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental - Exige fermement des autorités marocaines, pour éviter le pire, soit de juger rapidement ces militants sahraouis activistes pacifiques des droits de l'Homme, soit de les libérer immédiatement afin que leur vie soit sauvegardée, qu'ils puissent recouvrir leur santé et retrouver leurs familles éplorées.