La wilaya d'Alger a donné le feu vert à la direction du commerce pour lancer son opération de lutte visant l'éradication définitive des marchés anarchiques et le commerce informel sous toutes ses formes à travers la capitale. Ce phénomène, qui s'est greffé sur les malaises de la société est souvent justifié, souvent à tort, par le taux effarant du chômage. La Direction du commerce de la wilaya d'Alger avance le chiffre de plus de 5 mille commerçants pour l'année 2009. Ces jeunes, en plus d'être dans l'illégalité la plus totale en squattant les lieux publics, prennent en outre le risque de se voir saisir leurs marchandises à chaque descente de police. Une couverture financière de plus de 48 milliards de centimes a été accordée aux communes d'Alger pour tenter de contrer ce phénomène par la réalisation de 100 locaux commerciaux au sein de chaque commune afin d'offrir aux jeunes squatteurs l'occasion d'exercer dans la légalité. Une enveloppe de 28 milliards de centimes a été accordée à la Direction du commerce vers la mi-mars. Il est à noter que la Direction du commerce a réalisé durant l'année précédente vingt-quatre marchés organisés de proximité dans dix-huit communes alors que les cinq autres sont toujours en cours de réalisation dans les communes de Borouba, les Eucalyptus, Sidi Moussa et Bordj El-Kiffan, prévus pour l'année en cours, nous dira un responsable à la Direction du commerce de la wilaya d'Alger. Concernant les marchés couverts, le responsable a tenu à rappeler que onze marchés couverts ont été réalisés durant l'année précédente dans onze communes algéroises, trois ont été ouverts au public tandis que les huit restants sont en phase de finalisation et seront réceptionnés au cours des mois prochains, ces marchés verront le jour dans les communes de Bachdjarrah, Beni Messous, Bab El-Oued, Bordj El- Bahri, Baba-Hassan, El Harrach et El Madania. Par ailleurs l'étude technique pour la réalisation de cinq autres marchés couverts est en cours dans les communes de Tessala El Merdja, Birtouta, Draria, Khraissia et Rais Hamidou. Une large opération de réaménagement et de réhabilitation de tous les marchés organisés de la capitale est aussi en cours et ce pour une enveloppe de quarante-huit milliards de centimes dont cinq sera destinés aux marchés de gros et trente-cinq pour les marchés couverts. Toutes ces réalisations entrent dans la cadre de l'éradication définitive du commerce informel dans la capitale, un défi difficile à relever par la wilaya d'Alger. C.K. La wilaya d'Alger a donné le feu vert à la direction du commerce pour lancer son opération de lutte visant l'éradication définitive des marchés anarchiques et le commerce informel sous toutes ses formes à travers la capitale. Ce phénomène, qui s'est greffé sur les malaises de la société est souvent justifié, souvent à tort, par le taux effarant du chômage. La Direction du commerce de la wilaya d'Alger avance le chiffre de plus de 5 mille commerçants pour l'année 2009. Ces jeunes, en plus d'être dans l'illégalité la plus totale en squattant les lieux publics, prennent en outre le risque de se voir saisir leurs marchandises à chaque descente de police. Une couverture financière de plus de 48 milliards de centimes a été accordée aux communes d'Alger pour tenter de contrer ce phénomène par la réalisation de 100 locaux commerciaux au sein de chaque commune afin d'offrir aux jeunes squatteurs l'occasion d'exercer dans la légalité. Une enveloppe de 28 milliards de centimes a été accordée à la Direction du commerce vers la mi-mars. Il est à noter que la Direction du commerce a réalisé durant l'année précédente vingt-quatre marchés organisés de proximité dans dix-huit communes alors que les cinq autres sont toujours en cours de réalisation dans les communes de Borouba, les Eucalyptus, Sidi Moussa et Bordj El-Kiffan, prévus pour l'année en cours, nous dira un responsable à la Direction du commerce de la wilaya d'Alger. Concernant les marchés couverts, le responsable a tenu à rappeler que onze marchés couverts ont été réalisés durant l'année précédente dans onze communes algéroises, trois ont été ouverts au public tandis que les huit restants sont en phase de finalisation et seront réceptionnés au cours des mois prochains, ces marchés verront le jour dans les communes de Bachdjarrah, Beni Messous, Bab El-Oued, Bordj El- Bahri, Baba-Hassan, El Harrach et El Madania. Par ailleurs l'étude technique pour la réalisation de cinq autres marchés couverts est en cours dans les communes de Tessala El Merdja, Birtouta, Draria, Khraissia et Rais Hamidou. Une large opération de réaménagement et de réhabilitation de tous les marchés organisés de la capitale est aussi en cours et ce pour une enveloppe de quarante-huit milliards de centimes dont cinq sera destinés aux marchés de gros et trente-cinq pour les marchés couverts. Toutes ces réalisations entrent dans la cadre de l'éradication définitive du commerce informel dans la capitale, un défi difficile à relever par la wilaya d'Alger. C.K.