Toujours dans le cadre de la contestation, l'intersyndicale des praticiens de santé publique, regroupant le Snpsp et le Snpssp, observera un second rassemblement prévu le 17 avril prochain au niveau du CHU de Mustapha-Bacha d'Alger. « Notre protestation continue en dépit du gel de la grève. D'ailleurs, ce n'est qu'une trêve de réflexion puisqu'on compte revenir bientôt en force », ont déclaré les présidents du Snpsp et du Snpssp. En outre, ces syndicalistes affirment avoir refusé des invitations de la part de la tutelle pour des réunions de travail, prévues les 12 et 13 avril prochains. Selon eux, le ministre voulait aborder le dossier du régime indemnitaire sur la base du statut actuel qui est rejeté par l'ensemble des médecins. «L'amendement du statut particulier est l'élément essentiel de notre plateforme de revendications, on ne discutera aucun point sans sa rectification», a martelé le président du Snpsp. Par ailleurs, des ponctions sur salaires allant jusqu'à 15 jours ont été constaté sur les salaires des adhérents à la grève des quatre mois. A.B. Toujours dans le cadre de la contestation, l'intersyndicale des praticiens de santé publique, regroupant le Snpsp et le Snpssp, observera un second rassemblement prévu le 17 avril prochain au niveau du CHU de Mustapha-Bacha d'Alger. « Notre protestation continue en dépit du gel de la grève. D'ailleurs, ce n'est qu'une trêve de réflexion puisqu'on compte revenir bientôt en force », ont déclaré les présidents du Snpsp et du Snpssp. En outre, ces syndicalistes affirment avoir refusé des invitations de la part de la tutelle pour des réunions de travail, prévues les 12 et 13 avril prochains. Selon eux, le ministre voulait aborder le dossier du régime indemnitaire sur la base du statut actuel qui est rejeté par l'ensemble des médecins. «L'amendement du statut particulier est l'élément essentiel de notre plateforme de revendications, on ne discutera aucun point sans sa rectification», a martelé le président du Snpsp. Par ailleurs, des ponctions sur salaires allant jusqu'à 15 jours ont été constaté sur les salaires des adhérents à la grève des quatre mois. A.B.