Le chef-lieu de wilaya, qui a enregistré ces dernières années une importante extension et qui abrite désormais plus de 160 mille âmes, souffre énormément des aléas de la circulation des véhicules au grand dam des automobilistes et des piétons. La ville de Guelma accuse un important retard puisque le plan de circulation, mis en place voilà plus d'une dizaine d'années, n' a pas été réactualisé sachant que les autres métropoles sont en diapason. Les feux tricolores, installés durant les années 80 au niveau des boulevards du 1er Novembre et Soudani Boudjema, sont les seuls en fonction, à l'exception du rond-point du cimetière des chouhada, aux abords du siège de la sûreté de wilaya, qui l'a été la semaine écoulée. Des embouteillages et des bouchons sont enregistrés chaque jour durant les heures de pointe et les jours fériés au niveau des ronds-points de Bab Annaba, Bab Skikda, Bab Constantine, place du 19 mars, Hadj Embarek, Boulevard du volontariat, cité Emir Abdelkader, du palais de justice et de la mairie. Le stationnement est devenu problématique à Guelma qui ne dispose pas de parkings et d'aires adéquates et il est fréquent que des véhicules soient immobilisés par les "sabots" des policiers. Le chef-lieu de wilaya s' illustre par la multitude des bandes rouges et blanches aux abords des administrations, établissements scolaires, banques, institutions, centres commerciaux et autres où le stationnement est rigoureusement interdit. Pour effectuer des achats, régler un problème domestique, l'automobiliste doit galérer pour dénicher un espace libre et garer son véhicule momentanément. Il est immédiatement abordé par de virtuels gardiens qui exigent le versement de quelques dizaines de dinars. Des sens interdits ne sont pas matérialisés par des panneaux qui ont disparu ou ont été arrachés par des énergumènes, et cette carence pénalise certains automobilstes qui sont sanctionnés sévèrement, notamment au niveau de la rue Patrice Lumumba, derrière le bâtiment "Septième" et de la rue de l' école Aicha Oum Elmouminine. D'autre part, il est urgent d'instituer le stationnement pendant les jours pairs et impairs afin de décongestionner beaucoup de rues où règne une certaine anarchie. De toute évidence, les autorités locales sont interpellées aux fins de se pencher sur ce volet vital car la situation devient critique. Le plan de circulation nécessite une réactualisation urgente qui doit ètre opérée par une commission pluri-disciplinaire qui planchera sur l'installation de nouveaux feux tricolores, la matérialisation des sens interdits, sens uniques, giratoires, stationnement autorisé, etc. La réalisation de parkings aériens et souterrains est vivement souhaitée par la population qui est pénalisée. H. B. Le chef-lieu de wilaya, qui a enregistré ces dernières années une importante extension et qui abrite désormais plus de 160 mille âmes, souffre énormément des aléas de la circulation des véhicules au grand dam des automobilistes et des piétons. La ville de Guelma accuse un important retard puisque le plan de circulation, mis en place voilà plus d'une dizaine d'années, n' a pas été réactualisé sachant que les autres métropoles sont en diapason. Les feux tricolores, installés durant les années 80 au niveau des boulevards du 1er Novembre et Soudani Boudjema, sont les seuls en fonction, à l'exception du rond-point du cimetière des chouhada, aux abords du siège de la sûreté de wilaya, qui l'a été la semaine écoulée. Des embouteillages et des bouchons sont enregistrés chaque jour durant les heures de pointe et les jours fériés au niveau des ronds-points de Bab Annaba, Bab Skikda, Bab Constantine, place du 19 mars, Hadj Embarek, Boulevard du volontariat, cité Emir Abdelkader, du palais de justice et de la mairie. Le stationnement est devenu problématique à Guelma qui ne dispose pas de parkings et d'aires adéquates et il est fréquent que des véhicules soient immobilisés par les "sabots" des policiers. Le chef-lieu de wilaya s' illustre par la multitude des bandes rouges et blanches aux abords des administrations, établissements scolaires, banques, institutions, centres commerciaux et autres où le stationnement est rigoureusement interdit. Pour effectuer des achats, régler un problème domestique, l'automobiliste doit galérer pour dénicher un espace libre et garer son véhicule momentanément. Il est immédiatement abordé par de virtuels gardiens qui exigent le versement de quelques dizaines de dinars. Des sens interdits ne sont pas matérialisés par des panneaux qui ont disparu ou ont été arrachés par des énergumènes, et cette carence pénalise certains automobilstes qui sont sanctionnés sévèrement, notamment au niveau de la rue Patrice Lumumba, derrière le bâtiment "Septième" et de la rue de l' école Aicha Oum Elmouminine. D'autre part, il est urgent d'instituer le stationnement pendant les jours pairs et impairs afin de décongestionner beaucoup de rues où règne une certaine anarchie. De toute évidence, les autorités locales sont interpellées aux fins de se pencher sur ce volet vital car la situation devient critique. Le plan de circulation nécessite une réactualisation urgente qui doit ètre opérée par une commission pluri-disciplinaire qui planchera sur l'installation de nouveaux feux tricolores, la matérialisation des sens interdits, sens uniques, giratoires, stationnement autorisé, etc. La réalisation de parkings aériens et souterrains est vivement souhaitée par la population qui est pénalisée. H. B.