Depuis sa mise en place au cours de l'année 2008, le Système de régulation des produits agricoles de large consommation (Syrpalac) a permis de relever un certain nombre de disparités entre les niveaux des prix en fonction des saisons et périodes de production. A titre d'exemple, en ce qui concerne la pomme de terre, «trois périodes distinctes se dégagent de l'opération d'observation et de suivi de l'évolution des prix», a expliqué à l'APS le chargé de communication du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Djamel Barchiche. Durant la première période allant d'octobre 2008 à février 2009, les prix de la pomme de terre avaient connu une relative stabilité avec de légères baisses ou hausses «peu ressenties», selon le même responsable, faisant remarquer que «les stocks constitués ont permis la maîtrise du marché». La seconde période allant de mars à avril 2009 avait connu une «hausse brusque» des prix de la pomme de terre, atteignant les 90 DA/kg. En revanche, la période mai 2009-mars 2010 était marquée par une «grande stabilité» des prix se situant autour de 30-35 DA/kg avec «une baisse significative» en avril en cours avec 25DA/kg. Pour ce qui est de la tomate, hormis les périodes de soudure, le niveau des prix s'est constamment situé à des niveaux «moyen à bas», soutient-il. «En hors saison, la tomate a été cédée à 50 DA/kg contre 35 DA/kg en période de pleine production. En période de soudure, coïncidant avec la fin de la production sous serre ou plein champ avant la reprise de la production de la tranche suivante, ce produit est cédé à 100 DA/kg», précise-t-il. Pour ce qui concerne la viande blanche, M. Barchiche constate qu'hormis la période d'automne 2008 qui avait été marquée par la flambée du maïs et des intrants avicoles utilisés dans l'élevage, le prix de cette viande s'est, par la suite, stabilisé progressivement entre 200 et 240 DA/kg. Y. D. Depuis sa mise en place au cours de l'année 2008, le Système de régulation des produits agricoles de large consommation (Syrpalac) a permis de relever un certain nombre de disparités entre les niveaux des prix en fonction des saisons et périodes de production. A titre d'exemple, en ce qui concerne la pomme de terre, «trois périodes distinctes se dégagent de l'opération d'observation et de suivi de l'évolution des prix», a expliqué à l'APS le chargé de communication du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Djamel Barchiche. Durant la première période allant d'octobre 2008 à février 2009, les prix de la pomme de terre avaient connu une relative stabilité avec de légères baisses ou hausses «peu ressenties», selon le même responsable, faisant remarquer que «les stocks constitués ont permis la maîtrise du marché». La seconde période allant de mars à avril 2009 avait connu une «hausse brusque» des prix de la pomme de terre, atteignant les 90 DA/kg. En revanche, la période mai 2009-mars 2010 était marquée par une «grande stabilité» des prix se situant autour de 30-35 DA/kg avec «une baisse significative» en avril en cours avec 25DA/kg. Pour ce qui est de la tomate, hormis les périodes de soudure, le niveau des prix s'est constamment situé à des niveaux «moyen à bas», soutient-il. «En hors saison, la tomate a été cédée à 50 DA/kg contre 35 DA/kg en période de pleine production. En période de soudure, coïncidant avec la fin de la production sous serre ou plein champ avant la reprise de la production de la tranche suivante, ce produit est cédé à 100 DA/kg», précise-t-il. Pour ce qui concerne la viande blanche, M. Barchiche constate qu'hormis la période d'automne 2008 qui avait été marquée par la flambée du maïs et des intrants avicoles utilisés dans l'élevage, le prix de cette viande s'est, par la suite, stabilisé progressivement entre 200 et 240 DA/kg. Y. D.