Mercredi dernier, la nouvelle est tombée tel un couperet et elle s'est propagée telle une trainée de poudre dans la ville : Mme Dahlouk, née Nadjette Selmane, a rendu son dernier soupir, entourée des siens, dans son domicile à Guelma. Pionnière dans l' enseignement, elle avait entamé sa carrière à l'âge de 19 ans, dès l'Indépendance, avec une poignée de collègues qui relevèrent le défi pour assurer le décollage du pays. En septembre 1965, elle est nommée directrice de l'école Ibn-Khaldoun (ex-Sevigné), implantée au centre-ville, où elle se distingue par des qualités intrinsèques, à savoir compétence, dévouement et détermination. Nadjette était appréciée par ses adjoints(es), ses collègues, ses supérieurs hiérarchiques et la population car elle dirigeait avec fermeté son établissement scolaire qui enregistrait d'excellents résultats. Cette dame courage, réputée pour son élégance, a tout donné pour l'enseignement puisqu'elle terminera sa noble mission, fin 2002, à la tête de l'école Imam Malek (ex-Des jardins), regrettée par son personnel enseignant, ses élèves et leurs parents car elle était intransigeante dans son travail. Ces dernières années, elle a lutté dignement contre une maladie implacable qui a fini par l'emporter. Nadjette a rejoint pour un monde meilleur ses collègues, et néanmoins amis, les défunts Chérif Shili, Lamri Dahel, Hamid Zamiti, Abdelkrim Rezagui, Lakhdar Benfakheur, Messaoud Toumani et tant d'autres. La famille enseignante pleure une amie, une sœur aînée qui a tant donné pour l'éducation et qui laisse inconsolables son époux Youcef, ses enfants et petits-enfants. Repose en paix Nadjette ! H. B. Mercredi dernier, la nouvelle est tombée tel un couperet et elle s'est propagée telle une trainée de poudre dans la ville : Mme Dahlouk, née Nadjette Selmane, a rendu son dernier soupir, entourée des siens, dans son domicile à Guelma. Pionnière dans l' enseignement, elle avait entamé sa carrière à l'âge de 19 ans, dès l'Indépendance, avec une poignée de collègues qui relevèrent le défi pour assurer le décollage du pays. En septembre 1965, elle est nommée directrice de l'école Ibn-Khaldoun (ex-Sevigné), implantée au centre-ville, où elle se distingue par des qualités intrinsèques, à savoir compétence, dévouement et détermination. Nadjette était appréciée par ses adjoints(es), ses collègues, ses supérieurs hiérarchiques et la population car elle dirigeait avec fermeté son établissement scolaire qui enregistrait d'excellents résultats. Cette dame courage, réputée pour son élégance, a tout donné pour l'enseignement puisqu'elle terminera sa noble mission, fin 2002, à la tête de l'école Imam Malek (ex-Des jardins), regrettée par son personnel enseignant, ses élèves et leurs parents car elle était intransigeante dans son travail. Ces dernières années, elle a lutté dignement contre une maladie implacable qui a fini par l'emporter. Nadjette a rejoint pour un monde meilleur ses collègues, et néanmoins amis, les défunts Chérif Shili, Lamri Dahel, Hamid Zamiti, Abdelkrim Rezagui, Lakhdar Benfakheur, Messaoud Toumani et tant d'autres. La famille enseignante pleure une amie, une sœur aînée qui a tant donné pour l'éducation et qui laisse inconsolables son époux Youcef, ses enfants et petits-enfants. Repose en paix Nadjette ! H. B.