Hier à l'aéroport Charles de Gaule à Paris, la panique et l'incompréhension régnaient chez les passagers en partance pour l'Algérie. Et pour cause, tous les vols au départ de Paris ont été annulés, jusqu'à nouvel ordre, à cause d'un nuage de cendres provoqué par une éruption volcanique en Islande. Le nuage de cendres a traversé le Royaume Uni, la Scandinavie ou encore la Belgique et la Hollande pour arriver dans le nord de la France jeudi dernier.Tous les appareils sont donc restés cloués sur le tarmac, ce qui a créé une situation de panique, voire de débandade d'autant que l'on est en pleine période de vacances en France. Ainsi, tous les vols en partance de Paris en direction de l'Algérie étaient supprimés. Les comptoirs d'Air Algérie, Aigle Azur ou encore Air France étaient submergés. S'il y a pagaille dans le ciel, c'est la panique au sol. Malgré les annonces d'annulation, relayées par les chaines de télévision et la radio, hier matin la foule amassée devant les comptoirs en partance pour l'Algérie, à l'instar des autres destinations, était dans l'expectative, et se languissait d'une éventuelle décision. Si certains passagers ont été informés par téléphone de l'annulation de leurs vols, d'autres, en revanche, se sont déplacés pour rien. De notre bureau de Paris, Mounir Cheriffa Hier à l'aéroport Charles de Gaule à Paris, la panique et l'incompréhension régnaient chez les passagers en partance pour l'Algérie. Et pour cause, tous les vols au départ de Paris ont été annulés, jusqu'à nouvel ordre, à cause d'un nuage de cendres provoqué par une éruption volcanique en Islande. Le nuage de cendres a traversé le Royaume Uni, la Scandinavie ou encore la Belgique et la Hollande pour arriver dans le nord de la France jeudi dernier.Tous les appareils sont donc restés cloués sur le tarmac, ce qui a créé une situation de panique, voire de débandade d'autant que l'on est en pleine période de vacances en France. Ainsi, tous les vols en partance de Paris en direction de l'Algérie étaient supprimés. Les comptoirs d'Air Algérie, Aigle Azur ou encore Air France étaient submergés. S'il y a pagaille dans le ciel, c'est la panique au sol. Malgré les annonces d'annulation, relayées par les chaines de télévision et la radio, hier matin la foule amassée devant les comptoirs en partance pour l'Algérie, à l'instar des autres destinations, était dans l'expectative, et se languissait d'une éventuelle décision. Si certains passagers ont été informés par téléphone de l'annulation de leurs vols, d'autres, en revanche, se sont déplacés pour rien. De notre bureau de Paris, Mounir Cheriffa