La demande pétrolière mondiale devrait augmenter de 1,67 million de barils par jour (bpj) en 2010, soit de 100 mille bpj de plus que prévu jusqu'à présent, annonce l'Agence internationale de l'énergie (AIE). L'organisation explique dans son dernier rapport mensuel sur le marché pétrolier que la demande mondiale d'or noir devrait atteindre 86,60 millions de bpj cette année, contre 84,93 millions en 2009. La croissance de la demande, ajoute-t-elle, devrait être en majeure partie satisfaite par des producteurs extérieurs à l'Organisation des pays exportateurs: la production non-Opep devrait augmenter de 220 mille bpj pour atteindre environ 52,0 millions de bpj, avec la croissance des pompages de pays de l'OCDE.A l'inverse, la demande pour le brut et les stocks de l'Opep devrait diminuer de 200 mille bpj sur l'année, à 29,1 millions de bpj.L'AIE précise que la production totale de l'Opep a baissé en mars, un recul imputable pour l'essentiel à l'Irak, qui n'est pas soumis aux quotas du cartel. Les 11 pays de l'organisation soumis à des quotas, eux, ont augmenté légèrement leur production, de 30 mille bpj, poursuit-elle. Elle estime que les réductions de production décidées par l'Opep étaient respectées à hauteur d'environ 55% en mars, contre une estimation de 56% fin février. La demande pétrolière mondiale devrait augmenter de 1,67 million de barils par jour (bpj) en 2010, soit de 100 mille bpj de plus que prévu jusqu'à présent, annonce l'Agence internationale de l'énergie (AIE). L'organisation explique dans son dernier rapport mensuel sur le marché pétrolier que la demande mondiale d'or noir devrait atteindre 86,60 millions de bpj cette année, contre 84,93 millions en 2009. La croissance de la demande, ajoute-t-elle, devrait être en majeure partie satisfaite par des producteurs extérieurs à l'Organisation des pays exportateurs: la production non-Opep devrait augmenter de 220 mille bpj pour atteindre environ 52,0 millions de bpj, avec la croissance des pompages de pays de l'OCDE.A l'inverse, la demande pour le brut et les stocks de l'Opep devrait diminuer de 200 mille bpj sur l'année, à 29,1 millions de bpj.L'AIE précise que la production totale de l'Opep a baissé en mars, un recul imputable pour l'essentiel à l'Irak, qui n'est pas soumis aux quotas du cartel. Les 11 pays de l'organisation soumis à des quotas, eux, ont augmenté légèrement leur production, de 30 mille bpj, poursuit-elle. Elle estime que les réductions de production décidées par l'Opep étaient respectées à hauteur d'environ 55% en mars, contre une estimation de 56% fin février.