Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit une hausse du taux de croissance pour l'Algérie sur les deux années 2010 et 2011, a-t-il indiqué hier dans son dernier rapport dont une copie a été transmise à l'APS. Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit une hausse du taux de croissance pour l'Algérie sur les deux années 2010 et 2011, a-t-il indiqué hier dans son dernier rapport dont une copie a été transmise à l'APS. L'institution de Bretton Woods a indiqué que le taux de croissance de l'Algérie devrait atteindre +4,6% en 2010 et +4,1% en 2011, note son rapport portant sur les perspectives économiques mondiales 2010 (World Economic Outlook-WEO) publié à la veille de la tenue de la réunion de printemps du FMI et de la Banque mondiale à Washington. Le FMI a ainsi relevé ses prévisions de croissance pour le pays, ses estimations faites il y a une année tablaient, rappelle-t-on, sur un taux de croissance de 3,9% pour l'année 2010. Il est à rappeler que la loi de finances 2010 prévoit un taux de croissance du PIB de +4% (+5,5% hors hydrocarbures). Pour ce qui concerne la balance des paiements courants de l'Algérie, le FMI note qu'elle sera positive puisqu'elle se situera à +2,5% du PIB en 2010 et à +3,4% en 2011. Pour la région maghrébine (Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Mauritanie), le FMI prévoit un taux de croissance global de 4,2% en 2010 et de 4,7% pour 2011. Quant aux pays exportateurs de pétrole de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient (MENA), le Fonds estime que la moyenne de croissance dans cette région devrait se situer à 4,5% en 2010 et à 4,6% en 2011. Ainsi, le taux de croissance devrait s'établir en 2010 à 3,7% en Arabie saoudite, à 1,3% dans les Emirats Arabes Unis, à 3,1% au Koweit, à 5,5% au Soudan et à 18,5% au Qatar. Pour le FMI, de nombreux pays émergents ont retrouvé un taux de croissance élevé et plusieurs d'entre eux ont commencé à modérer leurs politiques macroéconomiques accommodantes face à des entrées de capitaux massives. Etant donné les perspectives d'une croissance relativement faible dans les pays avancés, il s'agira pour les pays émergents d'absorber des apports de capitaux de plus en plus élevés et d'alimenter la demande intérieure sans provoquer un nouveau cycle de surchauffe, préconise-t-il. Dans les pays émergents et les pays en développement, la croissance devrait dépasser 6,25 % en 2010-2011, après un taux modeste de 2,5 % en 2009, prévoit-il. Selon le Fonds, la croissance mondiale devrait atteindre 4,25 % en 2010 et en 2011. Les pays avancés devraient enregistrer une croissance de 2,25 % en 2010 et de 2,5 % en 2011, après une baisse de la production de plus de 3 % en 2009. L'institution de Bretton Woods a indiqué que le taux de croissance de l'Algérie devrait atteindre +4,6% en 2010 et +4,1% en 2011, note son rapport portant sur les perspectives économiques mondiales 2010 (World Economic Outlook-WEO) publié à la veille de la tenue de la réunion de printemps du FMI et de la Banque mondiale à Washington. Le FMI a ainsi relevé ses prévisions de croissance pour le pays, ses estimations faites il y a une année tablaient, rappelle-t-on, sur un taux de croissance de 3,9% pour l'année 2010. Il est à rappeler que la loi de finances 2010 prévoit un taux de croissance du PIB de +4% (+5,5% hors hydrocarbures). Pour ce qui concerne la balance des paiements courants de l'Algérie, le FMI note qu'elle sera positive puisqu'elle se situera à +2,5% du PIB en 2010 et à +3,4% en 2011. Pour la région maghrébine (Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Mauritanie), le FMI prévoit un taux de croissance global de 4,2% en 2010 et de 4,7% pour 2011. Quant aux pays exportateurs de pétrole de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient (MENA), le Fonds estime que la moyenne de croissance dans cette région devrait se situer à 4,5% en 2010 et à 4,6% en 2011. Ainsi, le taux de croissance devrait s'établir en 2010 à 3,7% en Arabie saoudite, à 1,3% dans les Emirats Arabes Unis, à 3,1% au Koweit, à 5,5% au Soudan et à 18,5% au Qatar. Pour le FMI, de nombreux pays émergents ont retrouvé un taux de croissance élevé et plusieurs d'entre eux ont commencé à modérer leurs politiques macroéconomiques accommodantes face à des entrées de capitaux massives. Etant donné les perspectives d'une croissance relativement faible dans les pays avancés, il s'agira pour les pays émergents d'absorber des apports de capitaux de plus en plus élevés et d'alimenter la demande intérieure sans provoquer un nouveau cycle de surchauffe, préconise-t-il. Dans les pays émergents et les pays en développement, la croissance devrait dépasser 6,25 % en 2010-2011, après un taux modeste de 2,5 % en 2009, prévoit-il. Selon le Fonds, la croissance mondiale devrait atteindre 4,25 % en 2010 et en 2011. Les pays avancés devraient enregistrer une croissance de 2,25 % en 2010 et de 2,5 % en 2011, après une baisse de la production de plus de 3 % en 2009.