Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décidé, en février 2009 à Biskra, l'effacement des dettes des agriculteurs et des éleveurs cumulées depuis 2001 et estimées à 41 milliards DA. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décidé, en février 2009 à Biskra, l'effacement des dettes des agriculteurs et des éleveurs cumulées depuis 2001 et estimées à 41 milliards DA. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaissa, a imputé le retard pris par l'opération d'effacement des dettes des agriculteurs, aux banques soulignant, néanmoins, que toutes les parties sont concernées par l'application de la décision du président de la République dans un cadre «responsable et transparent». En effet, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décidé, en février 2009 à Biskra, l'effacement des dettes des agriculteurs et des éleveurs cumulées depuis 2001 et estimées à 41 milliards DA. Dans le même contexte, Benaissa qui s'exprimait, jeudi dernier, en marge de la séance plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales, a affirmé que l'effacement de la dette des agriculteurs, décidé par l'Etat, «se poursuivait» et que cette mesure a permis d'effacer 36 sur les 41 milliards représentant le montant global de la dette concernée par cette mesure. A une question sur la hausse des prix des fruits et légumes, M. Benaissa a indiqué que les prix obéissaient à la loi de l'offre et de la demande ajoutant que le gouvernement «veille à la disponibilité des produits stratégiques à des prix invariables à l'instar du pain et du lait tout comme les produits agricoles comme la pomme de terre dans le cadre du système de régulation des produits à large consommation (Syrpalac)». Le ministre a, par ailleurs, relevé que «la sécheresse qui a sévi durant de longues années et la négligence du secteur d'agrumiculture, étaient à l'origine de la diminution du nombre d'orangeraies et la hausse des prix de l'orange, affirmant la détermination des autorités publiques à accompagner les paysans dans le développement et la promotion de la production agricole». Sur un autre registre, le ministre de l'Agriculture a souligné que son département ministériel comptait étendre la superficie des terres agricoles irriguées à 2 millions d'hectares à long terme, soit 25% des surfaces arables. Le ministre a précisé que la superficie des terres agricoles irriguées estimée actuellement à 900.000 ha passera à 1,1 million d'ha à moyen terme grâce à une série de «mesures incitatives techniques, financières et scientifiques pour appuyer les systèmes d'irrigation économiques». M. Benaissa a précisé que l'aide accordée aux agriculteurs est passée de 30 à 50% par individu et à 60% par collectivité, affirmant que l'élargissement de la superficie des terres irriguées «permettra sur la base des expériences actuelles dans les régions sud d'économiser environ 3.000 m3 pour un hectare irrigué soit l'économie de 2,4 milliards de m3». Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaissa, a imputé le retard pris par l'opération d'effacement des dettes des agriculteurs, aux banques soulignant, néanmoins, que toutes les parties sont concernées par l'application de la décision du président de la République dans un cadre «responsable et transparent». En effet, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décidé, en février 2009 à Biskra, l'effacement des dettes des agriculteurs et des éleveurs cumulées depuis 2001 et estimées à 41 milliards DA. Dans le même contexte, Benaissa qui s'exprimait, jeudi dernier, en marge de la séance plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales, a affirmé que l'effacement de la dette des agriculteurs, décidé par l'Etat, «se poursuivait» et que cette mesure a permis d'effacer 36 sur les 41 milliards représentant le montant global de la dette concernée par cette mesure. A une question sur la hausse des prix des fruits et légumes, M. Benaissa a indiqué que les prix obéissaient à la loi de l'offre et de la demande ajoutant que le gouvernement «veille à la disponibilité des produits stratégiques à des prix invariables à l'instar du pain et du lait tout comme les produits agricoles comme la pomme de terre dans le cadre du système de régulation des produits à large consommation (Syrpalac)». Le ministre a, par ailleurs, relevé que «la sécheresse qui a sévi durant de longues années et la négligence du secteur d'agrumiculture, étaient à l'origine de la diminution du nombre d'orangeraies et la hausse des prix de l'orange, affirmant la détermination des autorités publiques à accompagner les paysans dans le développement et la promotion de la production agricole». Sur un autre registre, le ministre de l'Agriculture a souligné que son département ministériel comptait étendre la superficie des terres agricoles irriguées à 2 millions d'hectares à long terme, soit 25% des surfaces arables. Le ministre a précisé que la superficie des terres agricoles irriguées estimée actuellement à 900.000 ha passera à 1,1 million d'ha à moyen terme grâce à une série de «mesures incitatives techniques, financières et scientifiques pour appuyer les systèmes d'irrigation économiques». M. Benaissa a précisé que l'aide accordée aux agriculteurs est passée de 30 à 50% par individu et à 60% par collectivité, affirmant que l'élargissement de la superficie des terres irriguées «permettra sur la base des expériences actuelles dans les régions sud d'économiser environ 3.000 m3 pour un hectare irrigué soit l'économie de 2,4 milliards de m3».