Les communes algéroises s'activent fiévreusement dans leur campagne de lutte contre l'habitat précaire, campagne pour laquelle fin octobre prochain a été fixé pour date butoir. Les enquêteurs d'Urbanis, dépêchés sur terrain, ont la lourde mission de déterminer les immeubles à réhabiliter et ceux devant être démolis... Le sujet d'actualité, ces derniers mois, est sans conteste la lutte contre l'habitat précaire sous toutes ses formes. La wilaya d'Alger a débuté cette importante opération par l'éradication des bidonvilles, ce qui en soi tout le monde en convient, est une opération proprement titanesque au vu de leur nombre phénoménal. Après avoir mené à bien cette première opération la wilaya d'Alger compte s'attaquer aux bâtisses vétustes, leurs occupants seront relogés avant de procéder à la démolition de ces bâtisses menaçant ruine à tout instant. Afin de déterminer le bâti à préserver et celui devant être éradiqué, les services de la wilaya d'Alger ont chargé de cette délicate mission Urbanis, entreprise sous sa tutelle. Les jeunes enquêteurs d'Urbanis mènent dans ce sens, depuis déjà quelques mois, des campagnes d'inspection sur terrain. Ces enquêteurs ont pour tâche principale de signaler les bâtisses à démolir et celles pouvant être réhabilitées. Les familles, concernées par cette opération, reprennent aussitôt espoir après le passage de ces équipes. Le directeur de l'Office de promotion et de gestion immobilière d'Hussein Dey précise que les résidants des cités Diar Echems et El Baraka devraient être recasés avant la fin du mois en cours. Cette vaste opération, pour laquelle la wilaya d'Alger a initié un projet de réalisation de dix mille logements, vise l'éradication définitive de l'habitat précaire. Il a été fixé pour la fin de cette vaste opération une date butoir à fin octobre prochain. Cette opération devrait se dérouler, selon les déclarations de hauts responsables proches de ce dossier, en plusieurs étapes. Elle concernera en tout premier lieu, comme déjà indiqué, les bidonvilles, viendront ensuite les sites de chalets, à savoir le recasement des sinistrés des catastrophes naturelles non encore relogés, et ensuite seulement les immeubles classés «rouge». Il est à noter que l'ensemble des terrains récupérés après démolition des baraques et des immeubles précaires seront destinés à la réalisation de projets d'intérêt public selon les besoins et les programmes de développement local de chaque localité. Il faut rappeler que la wilaya d'Alger a entamé cette opération vers la mi-mars dernier en procédant au relogement des neuf cents familles occupant les bidonvilles de Diar Echems. Ces familles,à leur grand bonheur, ont bénéficié d'appartements dotés de toutes les commodités. Une semaine plus tard ce sont les résidants du bidonville Doudou-Mokhtar qui ont rejoints leurs nouveaux logements à Tessala El-Merdja. Plus récemment les habitants de la cité Zâatcha à Sidi M'hamed ont, eux-aussi, bénéficier de logements dans la même localité, soit à Tessala El-Merdja. Ainsi tous les mal logés restent sur le qui-vive et attendent les camions de déménagement de la wilaya pour entamer une toutenouvelle vie. C. K. Les communes algéroises s'activent fiévreusement dans leur campagne de lutte contre l'habitat précaire, campagne pour laquelle fin octobre prochain a été fixé pour date butoir. Les enquêteurs d'Urbanis, dépêchés sur terrain, ont la lourde mission de déterminer les immeubles à réhabiliter et ceux devant être démolis... Le sujet d'actualité, ces derniers mois, est sans conteste la lutte contre l'habitat précaire sous toutes ses formes. La wilaya d'Alger a débuté cette importante opération par l'éradication des bidonvilles, ce qui en soi tout le monde en convient, est une opération proprement titanesque au vu de leur nombre phénoménal. Après avoir mené à bien cette première opération la wilaya d'Alger compte s'attaquer aux bâtisses vétustes, leurs occupants seront relogés avant de procéder à la démolition de ces bâtisses menaçant ruine à tout instant. Afin de déterminer le bâti à préserver et celui devant être éradiqué, les services de la wilaya d'Alger ont chargé de cette délicate mission Urbanis, entreprise sous sa tutelle. Les jeunes enquêteurs d'Urbanis mènent dans ce sens, depuis déjà quelques mois, des campagnes d'inspection sur terrain. Ces enquêteurs ont pour tâche principale de signaler les bâtisses à démolir et celles pouvant être réhabilitées. Les familles, concernées par cette opération, reprennent aussitôt espoir après le passage de ces équipes. Le directeur de l'Office de promotion et de gestion immobilière d'Hussein Dey précise que les résidants des cités Diar Echems et El Baraka devraient être recasés avant la fin du mois en cours. Cette vaste opération, pour laquelle la wilaya d'Alger a initié un projet de réalisation de dix mille logements, vise l'éradication définitive de l'habitat précaire. Il a été fixé pour la fin de cette vaste opération une date butoir à fin octobre prochain. Cette opération devrait se dérouler, selon les déclarations de hauts responsables proches de ce dossier, en plusieurs étapes. Elle concernera en tout premier lieu, comme déjà indiqué, les bidonvilles, viendront ensuite les sites de chalets, à savoir le recasement des sinistrés des catastrophes naturelles non encore relogés, et ensuite seulement les immeubles classés «rouge». Il est à noter que l'ensemble des terrains récupérés après démolition des baraques et des immeubles précaires seront destinés à la réalisation de projets d'intérêt public selon les besoins et les programmes de développement local de chaque localité. Il faut rappeler que la wilaya d'Alger a entamé cette opération vers la mi-mars dernier en procédant au relogement des neuf cents familles occupant les bidonvilles de Diar Echems. Ces familles,à leur grand bonheur, ont bénéficié d'appartements dotés de toutes les commodités. Une semaine plus tard ce sont les résidants du bidonville Doudou-Mokhtar qui ont rejoints leurs nouveaux logements à Tessala El-Merdja. Plus récemment les habitants de la cité Zâatcha à Sidi M'hamed ont, eux-aussi, bénéficier de logements dans la même localité, soit à Tessala El-Merdja. Ainsi tous les mal logés restent sur le qui-vive et attendent les camions de déménagement de la wilaya pour entamer une toutenouvelle vie. C. K.