L'entreprise du métro d'Alger (EMA) est chargée des études de réalisation d'un tramway et d'un téléphérique dans l'agglomération de Bejaia. Les deux projets ont été inscrits à l'indicatif du ministère des Transports, en opération centralisée, à l'inverse d'une initiative originelle qui reposait sur une action conjointe avec les collectivités locales, notamment l'APW et l'APC, à charge pour ces dernières de financer les études et au ministère d'en assurer la réalisation, a précisé la wilaya. Au regard de l'importance de leurs coûts respectifs, il a été décidé de les financer sur budget de l'Etat et de "ménager" les budgets locaux. Ces deux études seront menées en "étroite collaboration" avec les autorités locales, les assemblées élues et les services (techniques) déconcentrés de l'Etat avec une possibilité d'associer aux enquêtes publiques le mouvement associatif. Pour un surcroît d'efficacité, il a été décidé de mettre sur pied une commission de suivi qui réunira l'ensemble des parties intéressées. L'EMA avait dépêché, il y a quelques semaines, une équipe chargée de la reconnaissance du terrain et de l'exploration des itinéraires à retenir pour les deux projets. Bejaia, qui accueille déjà un chantier en voie d'achèvement d'une gare routière au carrefour des quatre chemins, et qui s'apprête à lancer, incessamment, un autre projet relatif à la construction d'une gare maritime moderne devra, cependant, faire l'impasse sur une gare intermodale, initialement envisagée au carrefour des quatre chemins pour faire la jonction entre le routier, le ferroviaire et le maritime. Ce projet a été déplacé sur la périphérie de la ville d'El-Kseur, choisie comme pôle majeur d'interconnexion, en prévision de la réalisation d'une pénétrante entre Bejaia et Lâadjiba (Bouira) et le dédoublement de la voie ferrée entre Bejaia et Beni-Mançour, selon le directeur de l'urbanisme. L'entreprise du métro d'Alger (EMA) est chargée des études de réalisation d'un tramway et d'un téléphérique dans l'agglomération de Bejaia. Les deux projets ont été inscrits à l'indicatif du ministère des Transports, en opération centralisée, à l'inverse d'une initiative originelle qui reposait sur une action conjointe avec les collectivités locales, notamment l'APW et l'APC, à charge pour ces dernières de financer les études et au ministère d'en assurer la réalisation, a précisé la wilaya. Au regard de l'importance de leurs coûts respectifs, il a été décidé de les financer sur budget de l'Etat et de "ménager" les budgets locaux. Ces deux études seront menées en "étroite collaboration" avec les autorités locales, les assemblées élues et les services (techniques) déconcentrés de l'Etat avec une possibilité d'associer aux enquêtes publiques le mouvement associatif. Pour un surcroît d'efficacité, il a été décidé de mettre sur pied une commission de suivi qui réunira l'ensemble des parties intéressées. L'EMA avait dépêché, il y a quelques semaines, une équipe chargée de la reconnaissance du terrain et de l'exploration des itinéraires à retenir pour les deux projets. Bejaia, qui accueille déjà un chantier en voie d'achèvement d'une gare routière au carrefour des quatre chemins, et qui s'apprête à lancer, incessamment, un autre projet relatif à la construction d'une gare maritime moderne devra, cependant, faire l'impasse sur une gare intermodale, initialement envisagée au carrefour des quatre chemins pour faire la jonction entre le routier, le ferroviaire et le maritime. Ce projet a été déplacé sur la périphérie de la ville d'El-Kseur, choisie comme pôle majeur d'interconnexion, en prévision de la réalisation d'une pénétrante entre Bejaia et Lâadjiba (Bouira) et le dédoublement de la voie ferrée entre Bejaia et Beni-Mançour, selon le directeur de l'urbanisme.