Le procès de l'attentat à l'explosif ayant ciblé le 11 avril 2007 le Palais du gouvernement a été reporté, jeudi dernier, par le tribunal criminel près la Cour d'Alger, à une date ultérieure qui n'a pas été précisée. Selon les avocats de la partie civile, cet attentat a fait quelque deux cent victimes (morts et blessés). Le motif du report de cette affaire, impliquant dix-huit accusés, dont dix en état de fuite, réside dans "le pourvoi en cassation interjeté par le prévenu Ouzandja Khaled contre l'arrêt de la chambre d'accusation qui le renvoie devant les assises d'Alger, et sur lequel la Cour Suprême n'a pas encore tranché", a indiqué le président du tribunal, Benkharchi Omar. Le magistrat a, ainsi, ordonné le report de l'affaire, le temps que la Cour Suprême rende son arrêt. Les mis en cause doivent répondre des chefs d'inculpation d'appartenance à groupe terroriste dont le but est de semer l'effroi au sein de la population et créer un climat d'insécurité, de participation à des actes terroristes avec usage d'explosifs et homicide volontaire avec préméditation et guet-apens. I. A. Le procès de l'attentat à l'explosif ayant ciblé le 11 avril 2007 le Palais du gouvernement a été reporté, jeudi dernier, par le tribunal criminel près la Cour d'Alger, à une date ultérieure qui n'a pas été précisée. Selon les avocats de la partie civile, cet attentat a fait quelque deux cent victimes (morts et blessés). Le motif du report de cette affaire, impliquant dix-huit accusés, dont dix en état de fuite, réside dans "le pourvoi en cassation interjeté par le prévenu Ouzandja Khaled contre l'arrêt de la chambre d'accusation qui le renvoie devant les assises d'Alger, et sur lequel la Cour Suprême n'a pas encore tranché", a indiqué le président du tribunal, Benkharchi Omar. Le magistrat a, ainsi, ordonné le report de l'affaire, le temps que la Cour Suprême rende son arrêt. Les mis en cause doivent répondre des chefs d'inculpation d'appartenance à groupe terroriste dont le but est de semer l'effroi au sein de la population et créer un climat d'insécurité, de participation à des actes terroristes avec usage d'explosifs et homicide volontaire avec préméditation et guet-apens. I. A.