Le secteur de la pêche de la wilaya impose aux pêcheurs de respecter la période du repos biologique du poisson du 1er mai au 31 août de chaque année. Cette mesure est entrée en vigueur à compter du 1er mai 2010. Le secteur de la pêche de la wilaya impose aux pêcheurs de respecter la période du repos biologique du poisson du 1er mai au 31 août de chaque année. Cette mesure est entrée en vigueur à compter du 1er mai 2010. Si le secteur de la pêche dans la wilaya de Chlef est considéré comme une activité économique à part entière, par sa capacité de contribuer à l'amélioration des besoins alimentaires, à la création de centaines d'emplois et à la consolidation de l'économie locale, la période du repos biologique du poisson imposée aux marins pêcheurs, du 1er mai au 31 août de chaque année, a un goût amer car elle est synonyme de manque à gagner. Selon le directeur de la pêche et des ressources halieutiques «cette période ou l'interdiction de pêcher dans une zone de 3 mile miles à partir du rivage répond avant tout à un souci de préservation des produits de la mer, sachant qu'au cours de cette même période, le poisson se rapproche du rivage pour se reproduire d'où, souligne ce même responsable, l'intérêt de respecter le repos biologique du poisson, faute de quoi ce sera une véritable catastrophe dans un proche avenir. Quant au représentant des pêcheurs au niveau du port de Ténès, il estime que la période est assez longue car, dira-t-il, même si elle permet la survie de l'espèce par une exploitation rationnelle et durable, elle influe négativement sur les revenus des pêcheurs. A ce sujet, le représentant des pêcheurs suggère que les pouvoirs publics interviennent à travers une action de solidarité pour aider les pêcheurs à faire face au manque à gagner qui en découle de ces quatre mois d'inactivité. Par ailleurs, il est intéressant de mettre à profit ce repos pour relancer le projet de la construction d'une halle à marrée au niveau du port de Ténès qui tarde à voir le jour malgré l'octroi du marché à un privé. Ce dernier n'a toujours pas entamé les travaux et les nombreuses mises en demeure qui lui ont été adressées sont restées lettre morte. Il faut noter qu'en l'absence de cette structure qui permet de contrôler le poisson qualitativement et quantitativement, toutes les dérives sont possibles. Et de citer l'exemple de certains marins pêcheurs qui n'hésitent pas à utiliser des explosifs pour capturer le poisson. Cela bien évidemment est interdit car les conséquences de telles pratiques sont irréparables. Si le secteur de la pêche dans la wilaya de Chlef est considéré comme une activité économique à part entière, par sa capacité de contribuer à l'amélioration des besoins alimentaires, à la création de centaines d'emplois et à la consolidation de l'économie locale, la période du repos biologique du poisson imposée aux marins pêcheurs, du 1er mai au 31 août de chaque année, a un goût amer car elle est synonyme de manque à gagner. Selon le directeur de la pêche et des ressources halieutiques «cette période ou l'interdiction de pêcher dans une zone de 3 mile miles à partir du rivage répond avant tout à un souci de préservation des produits de la mer, sachant qu'au cours de cette même période, le poisson se rapproche du rivage pour se reproduire d'où, souligne ce même responsable, l'intérêt de respecter le repos biologique du poisson, faute de quoi ce sera une véritable catastrophe dans un proche avenir. Quant au représentant des pêcheurs au niveau du port de Ténès, il estime que la période est assez longue car, dira-t-il, même si elle permet la survie de l'espèce par une exploitation rationnelle et durable, elle influe négativement sur les revenus des pêcheurs. A ce sujet, le représentant des pêcheurs suggère que les pouvoirs publics interviennent à travers une action de solidarité pour aider les pêcheurs à faire face au manque à gagner qui en découle de ces quatre mois d'inactivité. Par ailleurs, il est intéressant de mettre à profit ce repos pour relancer le projet de la construction d'une halle à marrée au niveau du port de Ténès qui tarde à voir le jour malgré l'octroi du marché à un privé. Ce dernier n'a toujours pas entamé les travaux et les nombreuses mises en demeure qui lui ont été adressées sont restées lettre morte. Il faut noter qu'en l'absence de cette structure qui permet de contrôler le poisson qualitativement et quantitativement, toutes les dérives sont possibles. Et de citer l'exemple de certains marins pêcheurs qui n'hésitent pas à utiliser des explosifs pour capturer le poisson. Cela bien évidemment est interdit car les conséquences de telles pratiques sont irréparables.