Les projets socio-économiques, inscrits au Plan communal de l'APC de Sidi Moussa pour l'année en cours visent en premier lieu à améliorer le cadre de vie au sein des localités rurales et celles semi-urbaines ainsi qu'à pourvoir des postes d'emploi pour les nombreux chômeurs. A cet effet, d'importantes opérations de bitumage et de réhabilitation des routes sont programmées à Raïs, où les rues se trouvent dans un état déplorable. En dépit des dix-sept milliards de dinars affectées en 2009 pour l'urbanisation de ce quartier semi-urbain, abritant plus de cinq mille habitants, le constat fait récemment par le nouveau P/APC révèle des insuffisances pratiquement dans tous les secteurs. La preuve en est, si besoin est, la protesta menée il y a quelques jours par les collégiens réclamant le revêtement du tronçon de route menant vers leur CEM. Au quartier Nezali, la route vient d'être goudronnée, mais les espaces de détente continuent à y faire cruellement défaut. Les écoliers se plaignent de l'absence de toute activité ludique durant les vacances scolaires, à l'instar de leurs voisins de Lamiarate et ceux des fermes de Sidi Moussa où ces derniers ont vu le lancement des travaux pour l'ouverture de pistes devant les reliant aux centres urbains. Le manque de transport collectif demeure également parmi les principales préoccupations des quelques centaines d'habitants qui ont, toutefois, applaudi l'achèvement du projet pour leur alimentation en eau potable. L'amélioration de l'approvisionnement en eau potable est aussi constatée au niveau des vieux quartiers Zouaoui, Dehimat et Lahouaoura, où les opérations de pose et de changement des conduites ont été réalisées tout au long des trois précédentes années et ce dans le cadre du fameux programme de développement, estimé à 75 milliards de dinars. Les élus affirment avoir répondu, grâce à ce programme, aux préoccupations visant à contrecarrer les aléas hérités de la décennie noire. Or, le chômage reste le souci primordial des citoyens et des responsables. Les centaines de demandes d'emploi demeurent lettre morte depuis près de trois ans au niveau de l'Agence nationale de l'emploi. Tandis que les contrats de préemploi constituent, actuellement, l'alternative pour de nombreux jeunes diplômés. A.-H. M. Les projets socio-économiques, inscrits au Plan communal de l'APC de Sidi Moussa pour l'année en cours visent en premier lieu à améliorer le cadre de vie au sein des localités rurales et celles semi-urbaines ainsi qu'à pourvoir des postes d'emploi pour les nombreux chômeurs. A cet effet, d'importantes opérations de bitumage et de réhabilitation des routes sont programmées à Raïs, où les rues se trouvent dans un état déplorable. En dépit des dix-sept milliards de dinars affectées en 2009 pour l'urbanisation de ce quartier semi-urbain, abritant plus de cinq mille habitants, le constat fait récemment par le nouveau P/APC révèle des insuffisances pratiquement dans tous les secteurs. La preuve en est, si besoin est, la protesta menée il y a quelques jours par les collégiens réclamant le revêtement du tronçon de route menant vers leur CEM. Au quartier Nezali, la route vient d'être goudronnée, mais les espaces de détente continuent à y faire cruellement défaut. Les écoliers se plaignent de l'absence de toute activité ludique durant les vacances scolaires, à l'instar de leurs voisins de Lamiarate et ceux des fermes de Sidi Moussa où ces derniers ont vu le lancement des travaux pour l'ouverture de pistes devant les reliant aux centres urbains. Le manque de transport collectif demeure également parmi les principales préoccupations des quelques centaines d'habitants qui ont, toutefois, applaudi l'achèvement du projet pour leur alimentation en eau potable. L'amélioration de l'approvisionnement en eau potable est aussi constatée au niveau des vieux quartiers Zouaoui, Dehimat et Lahouaoura, où les opérations de pose et de changement des conduites ont été réalisées tout au long des trois précédentes années et ce dans le cadre du fameux programme de développement, estimé à 75 milliards de dinars. Les élus affirment avoir répondu, grâce à ce programme, aux préoccupations visant à contrecarrer les aléas hérités de la décennie noire. Or, le chômage reste le souci primordial des citoyens et des responsables. Les centaines de demandes d'emploi demeurent lettre morte depuis près de trois ans au niveau de l'Agence nationale de l'emploi. Tandis que les contrats de préemploi constituent, actuellement, l'alternative pour de nombreux jeunes diplômés. A.-H. M.