Des programmes communaux sont tracés, depuis déjà l'année 2008, pour désenclaver les localités isolés et manquant de tout à Sidi Moussa. Des programmes communaux sont tracés, depuis déjà l'année 2008, pour désenclaver les localités isolés et manquant de tout à Sidi Moussa. Pas moins de trente-sept miliards ont été débloqués pour l'urbanisation du site de Nezali alors qu'en parallèle dix-sept autres milliards sont consacrés pour les travaux de réfection de la voirie à Rais, ceci en plus des soixante-quinze milliards de dinars consacrés à la rénovation des réseaux d'eau et du gaz dans les vieux quartiers de la localité de Sidi Moussa. Même si la plupart des opérations sont inscrites dans les précédents programmes communaux de développement des années 2008 et 2009, la cadence de la réalisation de ces projets visant le désenclavement des localités rurales semble être accélérée ces jours-ci. Et pour cause... les responsables locaux se disent sensibles au calvaire vécu par plus de vingt mille habitants occupant ces sites qui souffrent de l'isolement en raison, entre autres, du difficile accès au transport et aux commodités de vie quotidienne. C'est ainsi que les habitants de Zouaoui et Dehimat, à titre d'exemple, subissent depuis des années toutes sortes de privations. A commencer par l'état gravement détérioré des routes, et qui constitue la cause principale des difficiles rencontrées par les habitants pour leurs déplacements même à travers la localité. Les coupures itératives d'électricité ont fait de ce quartier, à l'image de celui de Dehimat, des sites qui sombrent dès le crépuscule dans les ténèbres les plus totales et l'insécurité. Les connexions téléphoniques sont tout simplement un rêve inaccessible aux yeux des nombreuses familles ayant des proches à l'étranger. Que dire des autres relais et réseaux inhérents aux prestations de service de première nécessité, qui sont gravement détériorés et ne répondent aucunement aux besoins actuels. Non loin de la localité semi-urbaine de Raïs, les ruelles sont pratiquement impraticables et dépourvues d'éclairage. Les jeunes ne trouvent aucune infrastructure ou organisation où ils pourraient s'épanouir. L'épanouissement, tant espéré, à l'effet d'une relative relance, depuis l'an 2008, des compétitions interquartiers, tarde à voir le jour. Pour parer à cette situation, les instances locales s'efforcent de faire accélérer les chantiers afin de mettre un terme aux souffrances des habitants de ces localités. Il est en outre programmé, par la suite, la mise en œuvre des projets d'urbanisations retenus au titre du Plan communal de développement 2010, précise-t-on à l'APC de Sidi Moussa. Les services communaux ont, en effet, bénéficié d'importantes enveloppes financières en vue de la réalisation de plusieurs infrastructures socio-économiques susceptibles d'encourager la relance économique au sein de cette très ancienne commune, puisque créée en 1863. La décennie noire n'a pas épargné l'ensemble des quartiers et des localités isolées, qui restent ainssi dépourvues de toute commodité de vie à nos jours. Pas moins de trente-sept miliards ont été débloqués pour l'urbanisation du site de Nezali alors qu'en parallèle dix-sept autres milliards sont consacrés pour les travaux de réfection de la voirie à Rais, ceci en plus des soixante-quinze milliards de dinars consacrés à la rénovation des réseaux d'eau et du gaz dans les vieux quartiers de la localité de Sidi Moussa. Même si la plupart des opérations sont inscrites dans les précédents programmes communaux de développement des années 2008 et 2009, la cadence de la réalisation de ces projets visant le désenclavement des localités rurales semble être accélérée ces jours-ci. Et pour cause... les responsables locaux se disent sensibles au calvaire vécu par plus de vingt mille habitants occupant ces sites qui souffrent de l'isolement en raison, entre autres, du difficile accès au transport et aux commodités de vie quotidienne. C'est ainsi que les habitants de Zouaoui et Dehimat, à titre d'exemple, subissent depuis des années toutes sortes de privations. A commencer par l'état gravement détérioré des routes, et qui constitue la cause principale des difficiles rencontrées par les habitants pour leurs déplacements même à travers la localité. Les coupures itératives d'électricité ont fait de ce quartier, à l'image de celui de Dehimat, des sites qui sombrent dès le crépuscule dans les ténèbres les plus totales et l'insécurité. Les connexions téléphoniques sont tout simplement un rêve inaccessible aux yeux des nombreuses familles ayant des proches à l'étranger. Que dire des autres relais et réseaux inhérents aux prestations de service de première nécessité, qui sont gravement détériorés et ne répondent aucunement aux besoins actuels. Non loin de la localité semi-urbaine de Raïs, les ruelles sont pratiquement impraticables et dépourvues d'éclairage. Les jeunes ne trouvent aucune infrastructure ou organisation où ils pourraient s'épanouir. L'épanouissement, tant espéré, à l'effet d'une relative relance, depuis l'an 2008, des compétitions interquartiers, tarde à voir le jour. Pour parer à cette situation, les instances locales s'efforcent de faire accélérer les chantiers afin de mettre un terme aux souffrances des habitants de ces localités. Il est en outre programmé, par la suite, la mise en œuvre des projets d'urbanisations retenus au titre du Plan communal de développement 2010, précise-t-on à l'APC de Sidi Moussa. Les services communaux ont, en effet, bénéficié d'importantes enveloppes financières en vue de la réalisation de plusieurs infrastructures socio-économiques susceptibles d'encourager la relance économique au sein de cette très ancienne commune, puisque créée en 1863. La décennie noire n'a pas épargné l'ensemble des quartiers et des localités isolées, qui restent ainssi dépourvues de toute commodité de vie à nos jours.