Des associations, activant dans le domaine de la protection de l'environnement, à El Tarf, "contribuent de manière active à l'appui de la gestion du Parc national d'El Kala (PNEK)", a indiqué mercredi le directeur de cet espace, réserve de la biosphère. Elles sont quatre associations de cette wilaya, en l'occurrence "l'Association pour le développement de l'environnement", "Les amis de l'écologie et de l'environnement", "Les animateurs des camps de vacances" et les "Amis de la Mechta Haddada" à avoir élaboré une véritable stratégie d'intervention dans le PNEK et lancé des actions de sensibilisation et d'éducation environnementale, en direction des riverains, a expliqué Moncef Bendjedid, rapporte l'APS. Si le développement durable constitue la charpente de cette stratégie, l'éducation environnementale a, de son côté, constitué pour ces associations, une préoccupation constante, celle de réduire les dégâts causés par l'homme, sur la nature. "L'enracinement d'une véritable culture environnementale qui doit être adoptée et assumée par l'ensemble des riverains, constitue l'une des missions que nous nous sommes fixées", a souligné, dans ce contexte, Rabah Boumansoura, président de l'Association des animateurs des camps de vacances de la wilaya d'El Tarf. Il a ajouté que l'objectif, pour ces associations, était d'inculquer aux populations concernées une "approche concrète de la protection", fondée sur la participation par des projets sociaux économiques intégrés, c'est-à-dire utiles autant pour les riverains que pour la préservation du patrimoine naturel. Le directeur du PNEK a par ailleurs soutenu que les quatre associations citées ont contribué au développement de l'écotourisme, "facteur primordial du développement de la région". Ce type de tourisme est, selon M. Bendjedid, "le mieux indiqué pour la région et pour l'aire protégée du PNEK, dès lors qu'il allie la découverte des richesses naturelles à la valorisation des produits du terroir". Salah Laribi, président de l'Association pour le développement de l'environnement, a indiqué, de son côté, que la stratégie de gestion et de conservation des ressources naturelles "ne peut être mise en œuvre durablement sans la promotion de l'écotourisme qui en conditionne la viabilité au plan économique". Il a ajouté dans ce contexte, que cette démarche inclue également le développement de la recherche scientifique sur le milieu naturel, au niveau du PNEK qui accueille, durant toute l'année, des chercheurs et des étudiants. Le directeur du parc a souligné que grâce au dialogue avec les partenaires des associations et les riverains, notamment ceux du village de Haddada, "il a été possible d'identifier les activités susceptibles de les intéresser, dans le cadre du développement durable et de la protection de l'environnement". I. A. Des associations, activant dans le domaine de la protection de l'environnement, à El Tarf, "contribuent de manière active à l'appui de la gestion du Parc national d'El Kala (PNEK)", a indiqué mercredi le directeur de cet espace, réserve de la biosphère. Elles sont quatre associations de cette wilaya, en l'occurrence "l'Association pour le développement de l'environnement", "Les amis de l'écologie et de l'environnement", "Les animateurs des camps de vacances" et les "Amis de la Mechta Haddada" à avoir élaboré une véritable stratégie d'intervention dans le PNEK et lancé des actions de sensibilisation et d'éducation environnementale, en direction des riverains, a expliqué Moncef Bendjedid, rapporte l'APS. Si le développement durable constitue la charpente de cette stratégie, l'éducation environnementale a, de son côté, constitué pour ces associations, une préoccupation constante, celle de réduire les dégâts causés par l'homme, sur la nature. "L'enracinement d'une véritable culture environnementale qui doit être adoptée et assumée par l'ensemble des riverains, constitue l'une des missions que nous nous sommes fixées", a souligné, dans ce contexte, Rabah Boumansoura, président de l'Association des animateurs des camps de vacances de la wilaya d'El Tarf. Il a ajouté que l'objectif, pour ces associations, était d'inculquer aux populations concernées une "approche concrète de la protection", fondée sur la participation par des projets sociaux économiques intégrés, c'est-à-dire utiles autant pour les riverains que pour la préservation du patrimoine naturel. Le directeur du PNEK a par ailleurs soutenu que les quatre associations citées ont contribué au développement de l'écotourisme, "facteur primordial du développement de la région". Ce type de tourisme est, selon M. Bendjedid, "le mieux indiqué pour la région et pour l'aire protégée du PNEK, dès lors qu'il allie la découverte des richesses naturelles à la valorisation des produits du terroir". Salah Laribi, président de l'Association pour le développement de l'environnement, a indiqué, de son côté, que la stratégie de gestion et de conservation des ressources naturelles "ne peut être mise en œuvre durablement sans la promotion de l'écotourisme qui en conditionne la viabilité au plan économique". Il a ajouté dans ce contexte, que cette démarche inclue également le développement de la recherche scientifique sur le milieu naturel, au niveau du PNEK qui accueille, durant toute l'année, des chercheurs et des étudiants. Le directeur du parc a souligné que grâce au dialogue avec les partenaires des associations et les riverains, notamment ceux du village de Haddada, "il a été possible d'identifier les activités susceptibles de les intéresser, dans le cadre du développement durable et de la protection de l'environnement". I. A.