Le dialogue social est une forme «qualitativement supérieure» des relations établies entre les différents partenaires, a souligné, hier, à Alger, le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Said, intervenant à l'occasion de l'ouverture de la 33e session du conseil général de l'Organisation syndicale de l'Unité africaine (Ousa). Selon lui, «ces relations, dans leur forme nouvelle, préservent d'abord l'identité et l'indépendance des acteurs et ensuite nourrissent l'ambition commune de bâtir une économie au service de la nation toute entière». Exposant l'expérience algérienne dans ce sens, Sidi Said a pris comme exemple les propos du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le 7 juin 2005, lors de son discours aux délégués de la 33e session de l'Organisation internationale du travail (OIT), où il insistait sur la tripartite comme cadre ayant «décidé la conclusion d'un Pacte national économique et social», permettant «une conjugaison» des efforts au service du «décollage économique réel du pays», Le SG de l'UGTA a estimé que «l'année 2005 constitue pour l'UGTA un repère important». Sidi Saïd a aussi estimé que les rencontres tripartites «ont été d'authentiques moments d'apprentissages collectifs, grâce au rapprochement des points de vues de chacun des partenaires et le partage de l'information sur les aspects économiques, sociaux et financiers». Le SG de l'UGTA a souligné qu'«en donnant une impulsion à une approche qui favorise le dialogue social, le mouvement syndical africain entend poursuivre son combat dans un contexte nouveau et dans les nouvelles conditions qui sont les siennes». «Il s'agit de construire avec patience et ténacité cette dynamique de dialogue social pour faire de notre mouvement syndical africain le creuset d'énergies, de solidarité agissantes, d'approches humanistes de nos relations», a-t-il affirmé. De son côté le SG de l'Ousa, Hassen Sunmonu a rappelé que le dialogue social est une «valeur traditionnelle» en Afrique, et a souligné qu"'il s'agit de l'un des points cardinaux du Bureau international du travail (BIT)". "Cette session du Conseil général de l'OUSA permettra aux organisations syndicales africaines de tirer des leçons de l'expérience algérienne et des méthodes excellentes utilisées par le gouvernement dans le règlement des conflits sociaux", a-t-il encore souligné. Il a relevé que le "succès" du Pacte économique et social en Algérie a permis, non seulement, d'éponger la dette extérieure, mais aussi de relancer la croissance économique dans ce pays. Le dialogue social est une forme «qualitativement supérieure» des relations établies entre les différents partenaires, a souligné, hier, à Alger, le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Said, intervenant à l'occasion de l'ouverture de la 33e session du conseil général de l'Organisation syndicale de l'Unité africaine (Ousa). Selon lui, «ces relations, dans leur forme nouvelle, préservent d'abord l'identité et l'indépendance des acteurs et ensuite nourrissent l'ambition commune de bâtir une économie au service de la nation toute entière». Exposant l'expérience algérienne dans ce sens, Sidi Said a pris comme exemple les propos du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le 7 juin 2005, lors de son discours aux délégués de la 33e session de l'Organisation internationale du travail (OIT), où il insistait sur la tripartite comme cadre ayant «décidé la conclusion d'un Pacte national économique et social», permettant «une conjugaison» des efforts au service du «décollage économique réel du pays», Le SG de l'UGTA a estimé que «l'année 2005 constitue pour l'UGTA un repère important». Sidi Saïd a aussi estimé que les rencontres tripartites «ont été d'authentiques moments d'apprentissages collectifs, grâce au rapprochement des points de vues de chacun des partenaires et le partage de l'information sur les aspects économiques, sociaux et financiers». Le SG de l'UGTA a souligné qu'«en donnant une impulsion à une approche qui favorise le dialogue social, le mouvement syndical africain entend poursuivre son combat dans un contexte nouveau et dans les nouvelles conditions qui sont les siennes». «Il s'agit de construire avec patience et ténacité cette dynamique de dialogue social pour faire de notre mouvement syndical africain le creuset d'énergies, de solidarité agissantes, d'approches humanistes de nos relations», a-t-il affirmé. De son côté le SG de l'Ousa, Hassen Sunmonu a rappelé que le dialogue social est une «valeur traditionnelle» en Afrique, et a souligné qu"'il s'agit de l'un des points cardinaux du Bureau international du travail (BIT)". "Cette session du Conseil général de l'OUSA permettra aux organisations syndicales africaines de tirer des leçons de l'expérience algérienne et des méthodes excellentes utilisées par le gouvernement dans le règlement des conflits sociaux", a-t-il encore souligné. Il a relevé que le "succès" du Pacte économique et social en Algérie a permis, non seulement, d'éponger la dette extérieure, mais aussi de relancer la croissance économique dans ce pays.