Si les citadins reconnaissent volontiers que la qualité de vie urbaine s'est nettement améliorée au cours de ces deux dernières années, en fait depuis l'installation du nouveau wali, Mahmoud Djemaa, ils déplorent par contre de ne pas avoir suffisamment d'espaces verts de proximité. Ils déplorent également l'absence d'aires de détente et de jeu. Selon beaucoup d'entre eux, les espaces verts devraient être l'un des premiers critères d'aménagement de tout environnement urbain dans les cités, ceci pour améliorer la qualité de vie en ville. Cette fièvre verte est invariablement mise en avant. C'est l'un des faits marquants de l'urbanisme actuel : les citadins ne semblent jamais rassasiés de verdure. Le couvert végétal décliné sous forme d'arbres, de jardins ou de parcs, est devenu un acteur incontournable de la vie de la cité, offrant des lieux de nature, des sites paysagers, des espaces verts de détente, qui sont perçus et vécus comme des "espaces où il fait bon vivre". Ainsi pour répondre aux préoccupations des citadins le wali a annoncé récemment une série de mesures visant à améliorer le cadre de vie à travers la création d'espaces verts dans les quartiers populeux ainsi que la réalisation de parcs urbains. A Chlef la forêt «Radar» a été retenue pour abriter un espace de détente pour les familles. Quant à la ville de Ténès, outre la pose de gazon synthétique aux abords des grandes artères qui, faut-il le souligner, a contribué à améliorer l'esthétique de l'antique Carthéna. Un site a été retenu pour abriter un parc de loisirs et de détente. Il s'agit d'un terrain situé entre la mer et la montagne à une dizaine de kilomètres à l'ouest de la ville. Les arguments, justifiant ce choix, étant le besoin de calme et de verdure pour les familles qui s'y rendront. Les efforts déployés par les pouvoirs publics pour offrir aux citadins un environnement plaisant répondent aux exigences du développement durable et sont adaptés aux réalités actuelles, mais ils ne doivent pas occulter la responsabilité des citoyens dans l'entretien de ces espaces . B. O. Si les citadins reconnaissent volontiers que la qualité de vie urbaine s'est nettement améliorée au cours de ces deux dernières années, en fait depuis l'installation du nouveau wali, Mahmoud Djemaa, ils déplorent par contre de ne pas avoir suffisamment d'espaces verts de proximité. Ils déplorent également l'absence d'aires de détente et de jeu. Selon beaucoup d'entre eux, les espaces verts devraient être l'un des premiers critères d'aménagement de tout environnement urbain dans les cités, ceci pour améliorer la qualité de vie en ville. Cette fièvre verte est invariablement mise en avant. C'est l'un des faits marquants de l'urbanisme actuel : les citadins ne semblent jamais rassasiés de verdure. Le couvert végétal décliné sous forme d'arbres, de jardins ou de parcs, est devenu un acteur incontournable de la vie de la cité, offrant des lieux de nature, des sites paysagers, des espaces verts de détente, qui sont perçus et vécus comme des "espaces où il fait bon vivre". Ainsi pour répondre aux préoccupations des citadins le wali a annoncé récemment une série de mesures visant à améliorer le cadre de vie à travers la création d'espaces verts dans les quartiers populeux ainsi que la réalisation de parcs urbains. A Chlef la forêt «Radar» a été retenue pour abriter un espace de détente pour les familles. Quant à la ville de Ténès, outre la pose de gazon synthétique aux abords des grandes artères qui, faut-il le souligner, a contribué à améliorer l'esthétique de l'antique Carthéna. Un site a été retenu pour abriter un parc de loisirs et de détente. Il s'agit d'un terrain situé entre la mer et la montagne à une dizaine de kilomètres à l'ouest de la ville. Les arguments, justifiant ce choix, étant le besoin de calme et de verdure pour les familles qui s'y rendront. Les efforts déployés par les pouvoirs publics pour offrir aux citadins un environnement plaisant répondent aux exigences du développement durable et sont adaptés aux réalités actuelles, mais ils ne doivent pas occulter la responsabilité des citoyens dans l'entretien de ces espaces . B. O.