L'insuffisance des espaces verts, pour ne pas dire l'inexistence, reste l'une des préoccupations des citoyens de la ville de Remchi qui reconnaissent, un tant soit peu, que la qualité de vie s'est légèrement améliorée ces dernières années. Et pourtant, soutient-on, «la présence d'espaces verts constitue l'un des parents pauvres du développement urbanistique de la ville de Remchi». Certains sont unanimes à dire que «la présence d'espaces verts constituent l'un des premiers équipements qui devait être réalisé dans les cités, plus particulièrement celles en voie d'achèvement». Dans la ville des Ouled El Khaouane, cette fièvre verte est invariablement mise en avant, car le végétal décliné sous forme d'arbres, de pelouses, de jardin et de parc est devenu un élément incontournable du paysage citadin. Aussi, en vue de répondre aux préoccupations des citoyens, le Chef de daïra semble avoir été sensibilisé «au vert», puisqu'une série de mesures seront entreprises pour améliorer le cadre de vie des citoyens avec la création de plus d'espaces verts dans les quartiers, plus particulièrement les cités en voie d'achèvement. Néanmoins, les efforts que peuvent déployer les pouvoirs publics pour offrir aux citadins un environnement plaisant adapté aux réalités actuelles, ne doivent pas occulter la responsabilité des citoyens dans la sauvegarde et l'entretien des espaces verts et autres lieux de villégiature.