Le cercle culturel que chapeaute la Maison de la culture de Mila et que préside M. El Hassen Belkhiri, un journaliste professionnel, bien que créé il y a à peine un mois, voit le nombre de ses adhérents augmenter chaque mardi, jour de rencontre avec des conférenciers, des écrivains, des poètes et des romanciers. Le cercle culturel que chapeaute la Maison de la culture de Mila et que préside M. El Hassen Belkhiri, un journaliste professionnel, bien que créé il y a à peine un mois, voit le nombre de ses adhérents augmenter chaque mardi, jour de rencontre avec des conférenciers, des écrivains, des poètes et des romanciers. Lors du premier rendez-vous entre adhérents du cercle culturel, le président du club a invité M. Abdedaïm Chérif, le journaliste chroniqueur d'un quotidien national, auteur du livre "Abdelhafid Boussouf, le révolutionnaire aux pas de velours" qu'il a présenté à l'audience qui à son tour l'a martelé de questions auxquelles l'auteur a répondu sans détours, refusant toutefois d'intervenir sur celles relatives à certaines d'entre elles jugées trop impertinentes."C'est à ses camarades de combat que vous devriez vous adresser pas à moi, je n'ai pas à m'ingérer dans des faits historiques, je n'ai fait que relater la vie de ce grand héros de la révolution et les diverses actions qu'il a entreprises dans son combat libérateur contre le colonisateur" tiendra t-il à souligner. Le deuxième invité du cercle culturel n'est autre que le romancier Azzedine Bounmer,un moudjahid qui a édité cinq romans fiction en langue française, en métropole, inspirés de sa propre expérience dans le maquis. De la guerre d'Algérie, il garde des souvenirs indélébiles, ainsi dira t-il", je n'oublierai jamais cette image d'Algériens, leurs vestes retournées, priant Dieu d'arroser leurs terres et le nombre inimaginable de poux qui recouvraient leurs habits, j'avais quatre ans. Cette image je ne l'oublierai jamais car elle hante toujours ma vie. La France a vraiment fait beaucoup de mal au peuple algérien. Il parlera de son départ vers la Tunisie alors qu'il n'avait que quatorze ans et sa rencontre avec de grands chefs historiques. En connaissance de cause, il a parlé sereinement de son expérience, des douleurs qu'il a endurées durant la guerre de libération et du combat des braves qui ont donné leurs vies afin que les générations d'aujourd'hui profitent pleinement de leur indépendance. A toutes les questions, il se faisait un véritable plaisir de répondre. Lors du troisième meeting, M. Boutefnouchet Naâmane, l'invité du cercle, instituteur en retraite, auteur d'un recueil de poèmes en langue française "Impressions poétiques", écrit dans un style simple et clair, a déclamé ses poèmes devant une assistance très nombreuse comparativement aux deux premières rencontres. Le quotidien, la nature, les animaux ,les plantes et quelques bribes de sa vie forment l'essentiel de ses vers. Zakia Allel, une nouvelliste arabophone, auteure de "Correspondances malgré le feu et le blocus" relatant un échange de missives entre Fatma et Abdallah, des Palestiniens sur le quotidien de Ghaza durant le blocus a, en réponse aux questions de l'assistance, démontré tout son savoir-faire littéraire et sa compétence linguistique. Laouar Omar, un professeur de français déclamera également des poèmes non encore édités. L'assistance, généralement composée de cadres en retraite, de dirigeants, d'intellectuels, de correspondants de presse et d'étudiants a complètement adhéré à ce nouveau mode de culture et se fait de plus en plus nombreuse à chaque rencontre.. Lors du premier rendez-vous entre adhérents du cercle culturel, le président du club a invité M. Abdedaïm Chérif, le journaliste chroniqueur d'un quotidien national, auteur du livre "Abdelhafid Boussouf, le révolutionnaire aux pas de velours" qu'il a présenté à l'audience qui à son tour l'a martelé de questions auxquelles l'auteur a répondu sans détours, refusant toutefois d'intervenir sur celles relatives à certaines d'entre elles jugées trop impertinentes."C'est à ses camarades de combat que vous devriez vous adresser pas à moi, je n'ai pas à m'ingérer dans des faits historiques, je n'ai fait que relater la vie de ce grand héros de la révolution et les diverses actions qu'il a entreprises dans son combat libérateur contre le colonisateur" tiendra t-il à souligner. Le deuxième invité du cercle culturel n'est autre que le romancier Azzedine Bounmer,un moudjahid qui a édité cinq romans fiction en langue française, en métropole, inspirés de sa propre expérience dans le maquis. De la guerre d'Algérie, il garde des souvenirs indélébiles, ainsi dira t-il", je n'oublierai jamais cette image d'Algériens, leurs vestes retournées, priant Dieu d'arroser leurs terres et le nombre inimaginable de poux qui recouvraient leurs habits, j'avais quatre ans. Cette image je ne l'oublierai jamais car elle hante toujours ma vie. La France a vraiment fait beaucoup de mal au peuple algérien. Il parlera de son départ vers la Tunisie alors qu'il n'avait que quatorze ans et sa rencontre avec de grands chefs historiques. En connaissance de cause, il a parlé sereinement de son expérience, des douleurs qu'il a endurées durant la guerre de libération et du combat des braves qui ont donné leurs vies afin que les générations d'aujourd'hui profitent pleinement de leur indépendance. A toutes les questions, il se faisait un véritable plaisir de répondre. Lors du troisième meeting, M. Boutefnouchet Naâmane, l'invité du cercle, instituteur en retraite, auteur d'un recueil de poèmes en langue française "Impressions poétiques", écrit dans un style simple et clair, a déclamé ses poèmes devant une assistance très nombreuse comparativement aux deux premières rencontres. Le quotidien, la nature, les animaux ,les plantes et quelques bribes de sa vie forment l'essentiel de ses vers. Zakia Allel, une nouvelliste arabophone, auteure de "Correspondances malgré le feu et le blocus" relatant un échange de missives entre Fatma et Abdallah, des Palestiniens sur le quotidien de Ghaza durant le blocus a, en réponse aux questions de l'assistance, démontré tout son savoir-faire littéraire et sa compétence linguistique. Laouar Omar, un professeur de français déclamera également des poèmes non encore édités. L'assistance, généralement composée de cadres en retraite, de dirigeants, d'intellectuels, de correspondants de presse et d'étudiants a complètement adhéré à ce nouveau mode de culture et se fait de plus en plus nombreuse à chaque rencontre..