Le nouveau film de Mohamed Faouzi Delmi, «Eden» sera projeté aujourd'hui à partir de 18 h en avant-première à la salle El Mougar à Alger. Il est produit par Louma Pro Com, une entreprise de l'audiovisuel basée dans la capitale de l'Est. Le nouveau film de Mohamed Faouzi Delmi, «Eden» sera projeté aujourd'hui à partir de 18 h en avant-première à la salle El Mougar à Alger. Il est produit par Louma Pro Com, une entreprise de l'audiovisuel basée dans la capitale de l'Est. Le réalisateur a dû changer le litre du film initialement dénommé «Marionnettes», car selon ses dires, ce titre dérange beaucoup de monde. Le titre de substitution est celui d'un logiciel informatique à cause duquel son inventeur qui est, en fait, un des personnages du film, perd la vie. L'oeuvre est un long métrage ayant nécessité 42 jours de tournage dans la ville des Ponts avec pas moins de 400 figurants et a comme artiste invité (guest star) Bahia Rachedi. Hormis trois comédiens italiens, pratiquement c'est la même équipe de comédiens et de techniciens ayant servie dans le premier film de Mohamed Faouzi Delmi qui y a été reconduite. A cause de problèmes bureaucratiques, des scènes n'ont pu être tournées en Tunisie selon le réalisateur. La présentation de la bande-annonce de ce film a eu lieu, il y a quelques jours à Constantine; les premières appréciations qui en ont filtrées présentent cette nouvelle production comme un film d'action et de suspense dont la qualité n'a rien à envier à ce qui se fait sous d'autres cieux. Selon Mohamed Faouzi Delmi «Eden» est un film «d'action à l'algérienne». Donc, l'intrigue démarre à partir du moment où un avocat, haut cadre de l'Etat, inventeur du programme informatique «Eden» meurt dans des circonstances non élucidées. Son fils, Sami, interprété par le jeune Ahmed Riad se chargera comme un détective de percer le mystère de la disparition de son père, mais il se heurtera à l'omerta et à des gens de l'ombre qui n'hésiteront pas à user de violence pour faire renoncer le jeune homme. En outre pour récupérer le logiciel électronique, ils useront d'enlèvement et de chantage. Mohamed Faouzi Delmi a réalisé déjà un premier long métrage «El Manâa», qui est considéré comme le premier film de suspense algérien. Les droits de diffusion ont été achetés par la télévision mais celle-ci ne l'a pas encore porté à l'écran. Les œuvres de Delmi sont créditées d'être le produit d'expériences novatrices en ce sens que le réalisateur sort des sentiers battus en faisant confiance à des jeunes comédiens et en usant de techniques cinématographiques nouvelles imprégnées de dynamisme. Notons que Constantine abritera prochainement une autre projection et la version DVD du film sortira en principe en juillet prochain. Le réalisateur a dû changer le litre du film initialement dénommé «Marionnettes», car selon ses dires, ce titre dérange beaucoup de monde. Le titre de substitution est celui d'un logiciel informatique à cause duquel son inventeur qui est, en fait, un des personnages du film, perd la vie. L'oeuvre est un long métrage ayant nécessité 42 jours de tournage dans la ville des Ponts avec pas moins de 400 figurants et a comme artiste invité (guest star) Bahia Rachedi. Hormis trois comédiens italiens, pratiquement c'est la même équipe de comédiens et de techniciens ayant servie dans le premier film de Mohamed Faouzi Delmi qui y a été reconduite. A cause de problèmes bureaucratiques, des scènes n'ont pu être tournées en Tunisie selon le réalisateur. La présentation de la bande-annonce de ce film a eu lieu, il y a quelques jours à Constantine; les premières appréciations qui en ont filtrées présentent cette nouvelle production comme un film d'action et de suspense dont la qualité n'a rien à envier à ce qui se fait sous d'autres cieux. Selon Mohamed Faouzi Delmi «Eden» est un film «d'action à l'algérienne». Donc, l'intrigue démarre à partir du moment où un avocat, haut cadre de l'Etat, inventeur du programme informatique «Eden» meurt dans des circonstances non élucidées. Son fils, Sami, interprété par le jeune Ahmed Riad se chargera comme un détective de percer le mystère de la disparition de son père, mais il se heurtera à l'omerta et à des gens de l'ombre qui n'hésiteront pas à user de violence pour faire renoncer le jeune homme. En outre pour récupérer le logiciel électronique, ils useront d'enlèvement et de chantage. Mohamed Faouzi Delmi a réalisé déjà un premier long métrage «El Manâa», qui est considéré comme le premier film de suspense algérien. Les droits de diffusion ont été achetés par la télévision mais celle-ci ne l'a pas encore porté à l'écran. Les œuvres de Delmi sont créditées d'être le produit d'expériences novatrices en ce sens que le réalisateur sort des sentiers battus en faisant confiance à des jeunes comédiens et en usant de techniques cinématographiques nouvelles imprégnées de dynamisme. Notons que Constantine abritera prochainement une autre projection et la version DVD du film sortira en principe en juillet prochain.