Les services de la Gendarmerie nationale ont procédé à la saisie de plus de 10 tonnes de kif traité et de 1.648 plants de pavot durant le premier trimestre 2010, à travers la région sud-ouest du pays. C'est dire que de plus en plus de trafiquants opèrent au niveau des principaux points frontaliers du pays, en particulier dans la région du Sud. A cet effet, le chef du 3e commandement régional de la Gendarmerie nationale (G.N) de Bechar, en l'occurrence, le colonel Blidi Mohamed Salah, a indiqué hier, qu'également, durant cette même période, les mêmes services ont saisi 647 plants de cannabis et procédé à l'arrestation de 50 personnes impliquées dans des trafics de drogue, au niveau des wilayas de Bechar, Adrar et Tindouf, en plus de 772 cartouches de cigarettes étrangères de contrebande. L'officier supérieur de l'ANP fera remarquer l'intensification de la lutte contre les réseaux de trafiquants de drogue, à travers le Sud-ouest et les régions frontalières limitrophes à cette région, qui s'est traduite aussi par une «régression des cultures de stupéfiants». Les services de la Gendarmerie nationale ont procédé à la saisie de plus de 10 tonnes de kif traité et de 1.648 plants de pavot durant le premier trimestre 2010, à travers la région sud-ouest du pays. C'est dire que de plus en plus de trafiquants opèrent au niveau des principaux points frontaliers du pays, en particulier dans la région du Sud. A cet effet, le chef du 3e commandement régional de la Gendarmerie nationale (G.N) de Bechar, en l'occurrence, le colonel Blidi Mohamed Salah, a indiqué hier, qu'également, durant cette même période, les mêmes services ont saisi 647 plants de cannabis et procédé à l'arrestation de 50 personnes impliquées dans des trafics de drogue, au niveau des wilayas de Bechar, Adrar et Tindouf, en plus de 772 cartouches de cigarettes étrangères de contrebande. L'officier supérieur de l'ANP fera remarquer l'intensification de la lutte contre les réseaux de trafiquants de drogue, à travers le Sud-ouest et les régions frontalières limitrophes à cette région, qui s'est traduite aussi par une «régression des cultures de stupéfiants».