L'économie moderne basée sur la performance des entreprisses et la création de richesses et d'emploi, selon Tayeb Louh, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, repose, notamment, sur la connaissance et le transfert de technologie et de savoir-faire. L'économie moderne basée sur la performance des entreprisses et la création de richesses et d'emploi, selon Tayeb Louh, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, repose, notamment, sur la connaissance et le transfert de technologie et de savoir-faire. «L'autre volet important qui stimule davantage la croissance économique a trait à la recherche–développement et, surtout, le retour au pays des compétences algériennes exerçant à l'étranger». Allusion faite à l'équipe nationale de football qui est composée, en écrasante majorité, de talentueux joueurs professionnels évoluant au sein de clubs européens, mais qui sont d'un grand apport pour la réussite des Verts dans les compétitions internationales. De nombreuses et importantes communications ont meublé les deux journées du forum international de la ressource humaine organisé, mercredi et jeudi derniers à Alger, par "Buzz Communication''. Parmi lesquelles on peut, notamment, citer "La gestion des compétences au service de la stratégie de l'entreprise'', "Les exigences des compétences dans le système de management de qualité'', ou encore "La mobilisation du personnel au cœur de la performance organisationnelle'' et "Le talent mandatement et ses tendances sur le marché mondial'' de Benraouane (Université du Minnesota aux USA). Mais l'essentiel, selon la plupart des experts et intervenants, consiste surtout à bien motiver les cadres et les chercheurs exerçant dans les entreprises algériennes afin de les dissuader de tenter de rechercher d'autres horizons pour mieux mettre en œuvre leur compétence. Pour Michel Delattre, directeur de MD Expansion en stratégie de développemental partenariat Euro-Maghreb, la qualité et la performance sont intimement liées et sont, par conséquent, indispensables pour réaliser de bons résultats et permettre à l'entreprise de se positionner sur le marché international. «La qualité management de l'entreprise est utilisée depuis 30 années pour rentabiliser les projets socioéconomiques. En Algérie, de gros efforts ont été consentis au niveau de la maintenance et de la gestion et du développement des ressources humaines. Mais il y a maintenant un guide de la gouvernance fait pour intéresser les opérateurs algériens», a-t-il déclaré. Il estime que ce concept important est entré dans la terminologie des patrons algériens. Cependant, il convient de se méfier de la confiance aux outils parce que les outils et les instruments modernes de gestion pose le problème de l'importance de savoir s'en servir. «Car, connaître et gagner sont deux choses différentes», a-t-il ajouté. Le management ne signifie pas réussite garantie sans connaissances préalables Aujourd'hui, selon les experts, les entreprises algériennes sont au stade de l'amélioration da la boîte à outils. En parallèle, on n'a pas mis la motivation des hommes pour s'en servir afin de gagner des performances et un système de management capable d'ériger les entreprises au rang de celles qui sont hautement compétitives sur le marché mondial. Les experts sont unanimes à penser que «gagner est un mot fort. Toutefois, on ne peut vraiment gagner durablement que si on possède un objectif bien déterminé». Il s'agit, en fait, d'avoir une vision qualitative de positionnement de l'Algérie dans le monde caractérisé par la concurrence féroce. Ce qui implique, selon les experts, l'usage accrue des connaissances et des techniques de management marketing et de se doter des capacités de gagner. S'agissant de la mise à niveau des entreprises, il est jugé comme un concept d'équilibre et l'essentiel vise à réaliser un équilibre constant et évolutif. Pour les spécialistes de la ressource humaine, il y a lieu de restituer l'équilibre de la pensée en se servant efficacement. Il faut aller dans la bonne direction en revalorisant les anciennes compétences tout en trouvant de nouvelles, c'est-à-dire la relève pour pouvoir assurer la pérennité de l'entreprise. Autrement dit, l'expérience des anciens doit être mise au service des nouveaux cadres. Car, comme l'a souligné le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, «la création d'un observatoire de la ressource humaine et de la recherche scientifique est nécessaire dans la mesure où le phénomène de subtilisation des ressources humaines qualifiées et des compétences nationales par les entreprises étrangères porte préjudice à notre économie. On assiste à un pillage des cadres des pays en voie de développement par les pays avancés. Il devient impérieux d'inverser cette tendance et aider ces compétences se trouvant à l'étranger afin de contribuer au développement économique du pays». A. A. «L'autre volet important qui stimule davantage la croissance économique a trait à la recherche–développement et, surtout, le retour au pays des compétences algériennes exerçant à l'étranger». Allusion faite à l'équipe nationale de football qui est composée, en écrasante majorité, de talentueux joueurs professionnels évoluant au sein de clubs européens, mais qui sont d'un grand apport pour la réussite des Verts dans les compétitions internationales. De nombreuses et importantes communications ont meublé les deux journées du forum international de la ressource humaine organisé, mercredi et jeudi derniers à Alger, par "Buzz Communication''. Parmi lesquelles on peut, notamment, citer "La gestion des compétences au service de la stratégie de l'entreprise'', "Les exigences des compétences dans le système de management de qualité'', ou encore "La mobilisation du personnel au cœur de la performance organisationnelle'' et "Le talent mandatement et ses tendances sur le marché mondial'' de Benraouane (Université du Minnesota aux USA). Mais l'essentiel, selon la plupart des experts et intervenants, consiste surtout à bien motiver les cadres et les chercheurs exerçant dans les entreprises algériennes afin de les dissuader de tenter de rechercher d'autres horizons pour mieux mettre en œuvre leur compétence. Pour Michel Delattre, directeur de MD Expansion en stratégie de développemental partenariat Euro-Maghreb, la qualité et la performance sont intimement liées et sont, par conséquent, indispensables pour réaliser de bons résultats et permettre à l'entreprise de se positionner sur le marché international. «La qualité management de l'entreprise est utilisée depuis 30 années pour rentabiliser les projets socioéconomiques. En Algérie, de gros efforts ont été consentis au niveau de la maintenance et de la gestion et du développement des ressources humaines. Mais il y a maintenant un guide de la gouvernance fait pour intéresser les opérateurs algériens», a-t-il déclaré. Il estime que ce concept important est entré dans la terminologie des patrons algériens. Cependant, il convient de se méfier de la confiance aux outils parce que les outils et les instruments modernes de gestion pose le problème de l'importance de savoir s'en servir. «Car, connaître et gagner sont deux choses différentes», a-t-il ajouté. Le management ne signifie pas réussite garantie sans connaissances préalables Aujourd'hui, selon les experts, les entreprises algériennes sont au stade de l'amélioration da la boîte à outils. En parallèle, on n'a pas mis la motivation des hommes pour s'en servir afin de gagner des performances et un système de management capable d'ériger les entreprises au rang de celles qui sont hautement compétitives sur le marché mondial. Les experts sont unanimes à penser que «gagner est un mot fort. Toutefois, on ne peut vraiment gagner durablement que si on possède un objectif bien déterminé». Il s'agit, en fait, d'avoir une vision qualitative de positionnement de l'Algérie dans le monde caractérisé par la concurrence féroce. Ce qui implique, selon les experts, l'usage accrue des connaissances et des techniques de management marketing et de se doter des capacités de gagner. S'agissant de la mise à niveau des entreprises, il est jugé comme un concept d'équilibre et l'essentiel vise à réaliser un équilibre constant et évolutif. Pour les spécialistes de la ressource humaine, il y a lieu de restituer l'équilibre de la pensée en se servant efficacement. Il faut aller dans la bonne direction en revalorisant les anciennes compétences tout en trouvant de nouvelles, c'est-à-dire la relève pour pouvoir assurer la pérennité de l'entreprise. Autrement dit, l'expérience des anciens doit être mise au service des nouveaux cadres. Car, comme l'a souligné le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, «la création d'un observatoire de la ressource humaine et de la recherche scientifique est nécessaire dans la mesure où le phénomène de subtilisation des ressources humaines qualifiées et des compétences nationales par les entreprises étrangères porte préjudice à notre économie. On assiste à un pillage des cadres des pays en voie de développement par les pays avancés. Il devient impérieux d'inverser cette tendance et aider ces compétences se trouvant à l'étranger afin de contribuer au développement économique du pays». A. A.