Les habitants de Baraki-ville pourraient recourir , une fois de plus, à un sit- in devant le siège de la wilaya délégué de cette localité si les pouvoirs publics ne viennent pas à bout des commerçants à la sauvette qui ont fait, de l'artère principale de Baraki, un immense marché informel. Mercredi dernier ils étaient près d'une centaine à avoir investi le siège de la daïra pour, une fois encore, attirer l'attention des autorités locales sur ce fléau qui leur pourrit la vie. Au wali délégué qui les a reçus ils ont indiqué que le marché en question installé il y a plus d'une quinzaine d'année, en plus de bloquer la rue Saïd-Yahiaoui, quadrille une école primaire. Quotidiennement, enseignants, parents et surtout jeunes enfants assistent à des vols, des agressions à main armée. Le wali délégué aurait promis d'apporter une solution, le représentant des habitants affirme laisser le temps nécessaire pour l'éradication de ce marché mais précise qu'«en aucun cas, il ne doit être là à la prochaine rentrée scolaire». R. A. Les habitants de Baraki-ville pourraient recourir , une fois de plus, à un sit- in devant le siège de la wilaya délégué de cette localité si les pouvoirs publics ne viennent pas à bout des commerçants à la sauvette qui ont fait, de l'artère principale de Baraki, un immense marché informel. Mercredi dernier ils étaient près d'une centaine à avoir investi le siège de la daïra pour, une fois encore, attirer l'attention des autorités locales sur ce fléau qui leur pourrit la vie. Au wali délégué qui les a reçus ils ont indiqué que le marché en question installé il y a plus d'une quinzaine d'année, en plus de bloquer la rue Saïd-Yahiaoui, quadrille une école primaire. Quotidiennement, enseignants, parents et surtout jeunes enfants assistent à des vols, des agressions à main armée. Le wali délégué aurait promis d'apporter une solution, le représentant des habitants affirme laisser le temps nécessaire pour l'éradication de ce marché mais précise qu'«en aucun cas, il ne doit être là à la prochaine rentrée scolaire». R. A.