Il existe en Algérie plus de 13 mille insuffisants rénaux dépendant de l'hémodialyse dont 5 mille dans la région de Constantine, a indiqué, hier, le Pr Abderrezak Dahdouh, directeur de l'Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) de la cité Daksi (Constantine). Ce responsable, également chirurgien spécialisé en urologie au niveau de cette structure, a affirmé au cours d'une conférence de presse tenue en marge du 10e congrès de la société algérienne de chirurgie urologique et des 5e journées d'urologie de Constantine, ouverts samedi à l'université Emir Abdelkader, que cet EHS "accélérera en conséquence le processus des interventions". Il a affirmé dans ce contexte que l'avènement "prochain" de l'Agence nationale de transplantation rénale et de ses antennes régionales, "permettra d'atteindre un objectif possible de 100 transplantations par an au niveau national", ce qui sera, a-t-il estimé, "assez honorable pour notre pays qui n'a fait ses premiers pas dans ce domaine de technologie de pointe que récemment en effectuant la première transplantation rénale le 14 juin 1986 à Alger". Il est "grand temps de redonner à Constantine sa vocation de pôle médical", a également souligné le directeur de l'EHS Daksi, affirmant que la compétence, les moyens et le savoir faire "y existent et ne demandent qu'à être structurés, organisés, fédérés et exploités à bon escient". L'Etat algérien dépense annuellement, au titre de la prise en charge de chaque insuffisant rénal hémodialysé, une enveloppe financière de 1,4 million DA, a rappelé le Pr Dahdouh. Il existe en Algérie plus de 13 mille insuffisants rénaux dépendant de l'hémodialyse dont 5 mille dans la région de Constantine, a indiqué, hier, le Pr Abderrezak Dahdouh, directeur de l'Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) de la cité Daksi (Constantine). Ce responsable, également chirurgien spécialisé en urologie au niveau de cette structure, a affirmé au cours d'une conférence de presse tenue en marge du 10e congrès de la société algérienne de chirurgie urologique et des 5e journées d'urologie de Constantine, ouverts samedi à l'université Emir Abdelkader, que cet EHS "accélérera en conséquence le processus des interventions". Il a affirmé dans ce contexte que l'avènement "prochain" de l'Agence nationale de transplantation rénale et de ses antennes régionales, "permettra d'atteindre un objectif possible de 100 transplantations par an au niveau national", ce qui sera, a-t-il estimé, "assez honorable pour notre pays qui n'a fait ses premiers pas dans ce domaine de technologie de pointe que récemment en effectuant la première transplantation rénale le 14 juin 1986 à Alger". Il est "grand temps de redonner à Constantine sa vocation de pôle médical", a également souligné le directeur de l'EHS Daksi, affirmant que la compétence, les moyens et le savoir faire "y existent et ne demandent qu'à être structurés, organisés, fédérés et exploités à bon escient". L'Etat algérien dépense annuellement, au titre de la prise en charge de chaque insuffisant rénal hémodialysé, une enveloppe financière de 1,4 million DA, a rappelé le Pr Dahdouh.