Le bidonville "El Jazira" à Bab-Ezzouar est loin d'être une oasis tranquille, comme on serait tenté de le penser à l'évocation de cette appellation poétique. Ce site menace d'une implosion générée par le cumul de problèmes et des conditions de vie inhumaines qui y régnent. Les occupants de ce site se battent depuis des années pour fuir cette précarité. Ces malheureux ont fini par accepter comme colocataires les rats et les insectes, il est à noter que ces de familles n'ont pas eu d'autre choix que d'occuper cet espace et d'y installer leurs toits de fortune après avoir été chassées d'appartements en construction à Bousâaki. Pour rappel, une trentaine de familles, qui ont très longtemps souffert de la crise du logement , ont squatté des logements en voie d'achèvement dans la commune de Bab Ezzouar, à la reprise des travaux de ce chantier arrêté depuis des années, les responsables du chantier ont été surpris de trouver les appartements inachevés occupés par ces familles. Il faut préciser que ces dernières à l'époque om elles squattaients ces logements devaient pirater les câbles électriques pour se raccorder à l'énergie électrique, pour l'eau potable les citoyens devaient s'approvisionner auprès de la mosquée voisine. Ces famille, ont selon leurs propos, et après avoir été évacuées des logements squatés «sollicité, en vain, à maintes reprises les autorités locales pour les tirer de leur misère». Leur situation est toujours aussi déplorable, une dégringolade de plus en plus rapide vers des conditions de vie de plus en plus difficiles : précarité, absence de toute infrastructure de base, ni électricité, ni eau potable, ni gaz de ville et encore moins de réseau d'assainissement. Une vie moyenâgeuse où les maladies et divers fléaux sociaux sont malheureusement omniprésents. «Nous vivons depuis près de quinze ans maintenant en traversant chaque jour ces rivières d'eau usées, de restes biologiques et d'égouts», nous dira avec amertume un père de famille, «nous avons fuit la misère pour tla retrouver à une échelle bien plus inhumaine», ajoute un autre. Les habitants, aujourd'hui, réclament une vie digne, qui ne peut être possible qu'en leur offrant des conditions de vie décentes. Ils se raccrochent à cette lueur d'espoir suscitée par l'annonce du relogement de l'ensemble des sites précaires, mais ils savent bien que cela est loin d'être aussi simple, notamment dans la capitale. Le bidonville "El Jazira" à Bab-Ezzouar est loin d'être une oasis tranquille, comme on serait tenté de le penser à l'évocation de cette appellation poétique. Ce site menace d'une implosion générée par le cumul de problèmes et des conditions de vie inhumaines qui y régnent. Les occupants de ce site se battent depuis des années pour fuir cette précarité. Ces malheureux ont fini par accepter comme colocataires les rats et les insectes, il est à noter que ces de familles n'ont pas eu d'autre choix que d'occuper cet espace et d'y installer leurs toits de fortune après avoir été chassées d'appartements en construction à Bousâaki. Pour rappel, une trentaine de familles, qui ont très longtemps souffert de la crise du logement , ont squatté des logements en voie d'achèvement dans la commune de Bab Ezzouar, à la reprise des travaux de ce chantier arrêté depuis des années, les responsables du chantier ont été surpris de trouver les appartements inachevés occupés par ces familles. Il faut préciser que ces dernières à l'époque om elles squattaients ces logements devaient pirater les câbles électriques pour se raccorder à l'énergie électrique, pour l'eau potable les citoyens devaient s'approvisionner auprès de la mosquée voisine. Ces famille, ont selon leurs propos, et après avoir été évacuées des logements squatés «sollicité, en vain, à maintes reprises les autorités locales pour les tirer de leur misère». Leur situation est toujours aussi déplorable, une dégringolade de plus en plus rapide vers des conditions de vie de plus en plus difficiles : précarité, absence de toute infrastructure de base, ni électricité, ni eau potable, ni gaz de ville et encore moins de réseau d'assainissement. Une vie moyenâgeuse où les maladies et divers fléaux sociaux sont malheureusement omniprésents. «Nous vivons depuis près de quinze ans maintenant en traversant chaque jour ces rivières d'eau usées, de restes biologiques et d'égouts», nous dira avec amertume un père de famille, «nous avons fuit la misère pour tla retrouver à une échelle bien plus inhumaine», ajoute un autre. Les habitants, aujourd'hui, réclament une vie digne, qui ne peut être possible qu'en leur offrant des conditions de vie décentes. Ils se raccrochent à cette lueur d'espoir suscitée par l'annonce du relogement de l'ensemble des sites précaires, mais ils savent bien que cela est loin d'être aussi simple, notamment dans la capitale.