Traverser une route nationale en slalomant entre les roues des voitures, lancées à toute vitesse, est le périlleux quotidien des habitants des lieudits Sonelgaz et Branchement à Si-Mustapha. Traverser une route nationale en slalomant entre les roues des voitures, lancées à toute vitesse, est le périlleux quotidien des habitants des lieudits Sonelgaz et Branchement à Si-Mustapha. Les familles résidant dans les zones jouxtant la Route nationale numéro 12, notamment au lieu dit Sonelgaz et Branchement, à hauteur de la commune de Si Mustapha se plaignent de l'absence de passerelles au niveau de cet important axe routier. Les familles estiment être exposés,quotidiennement, aux risques des accidents de la circulation pour rejoindre l'autre côté de l'autoroute. «Nous devront tyraverser l'autoroute pour prendre les bus menant vers Thénia où Boumerdès, on traverse la route la peur au ventre avec le risque d'être fauché à tout moment par une voiture», nous dira l'une des personnes du quartier Branchement. Ces citoyens traversent, faut-il le signaler, plus de soixante-dix mètres en slalomant entre des bolides lancés à toute vitesse. «Le problème ne se pose pas vraiment pour nous les jeunes, le danger concerne surtout les femmes, particulièrement celles âgées ou mal chaussées et qui ne peuvent pas éviter assez rapidement les véhicules qui n'ont pas à ralentir sur une autoroute», fulmine un jeune dudit quartier qui ne peut comprendre que les autorités restent là sans réagir devant cette menace. Il pense que les responsables concernés sont tenus de penser à la sécurité des citoyens qui vivent dans une angoisse permanente. La réalisation de passerelles est plus qu'une obligation sur cette route à grande circulation afin de sécuriser les piétons et permettre aux automobilistes de ne pas stresser, eux-aussi, en voyant des personnes traverser la route devant leurs roues. «L'été dernier un jeune vendeur des figues de Barbarie a trouvé la mort fauché par un véhicule en tentant de traverser l'autoroute», nous dira un autre habitant. par ailleurs, l'absence d'éclairage public, sur une longueur de plus de vingt-cinq kilomètres, aggrave un peu plus l'insécurité sur ce tronçon de route, pénalisant, d'une part les familles vivant dans cet endroit isolé, et d'autre part, les automobilistes. En l'absence du moindre lanpadaire, les ténébres s'installent en maître absolu sur les lieux dès le crépuscule. À cela s'ajoute le danger des chiens errants qui envahissent ce périmètres à la tombée de la nuit. Tout cela fait que le quotidien des habitants de cette zone est loin d'être rose. Les familles résidant dans les zones jouxtant la Route nationale numéro 12, notamment au lieu dit Sonelgaz et Branchement, à hauteur de la commune de Si Mustapha se plaignent de l'absence de passerelles au niveau de cet important axe routier. Les familles estiment être exposés,quotidiennement, aux risques des accidents de la circulation pour rejoindre l'autre côté de l'autoroute. «Nous devront tyraverser l'autoroute pour prendre les bus menant vers Thénia où Boumerdès, on traverse la route la peur au ventre avec le risque d'être fauché à tout moment par une voiture», nous dira l'une des personnes du quartier Branchement. Ces citoyens traversent, faut-il le signaler, plus de soixante-dix mètres en slalomant entre des bolides lancés à toute vitesse. «Le problème ne se pose pas vraiment pour nous les jeunes, le danger concerne surtout les femmes, particulièrement celles âgées ou mal chaussées et qui ne peuvent pas éviter assez rapidement les véhicules qui n'ont pas à ralentir sur une autoroute», fulmine un jeune dudit quartier qui ne peut comprendre que les autorités restent là sans réagir devant cette menace. Il pense que les responsables concernés sont tenus de penser à la sécurité des citoyens qui vivent dans une angoisse permanente. La réalisation de passerelles est plus qu'une obligation sur cette route à grande circulation afin de sécuriser les piétons et permettre aux automobilistes de ne pas stresser, eux-aussi, en voyant des personnes traverser la route devant leurs roues. «L'été dernier un jeune vendeur des figues de Barbarie a trouvé la mort fauché par un véhicule en tentant de traverser l'autoroute», nous dira un autre habitant. par ailleurs, l'absence d'éclairage public, sur une longueur de plus de vingt-cinq kilomètres, aggrave un peu plus l'insécurité sur ce tronçon de route, pénalisant, d'une part les familles vivant dans cet endroit isolé, et d'autre part, les automobilistes. En l'absence du moindre lanpadaire, les ténébres s'installent en maître absolu sur les lieux dès le crépuscule. À cela s'ajoute le danger des chiens errants qui envahissent ce périmètres à la tombée de la nuit. Tout cela fait que le quotidien des habitants de cette zone est loin d'être rose.