«Les PME algériennes déjà exportatrices se placent de plus en plus sur le chemin de l'international. La deuxième édition Djazair Export version 2010, qui est la vitrine des produits made in Algeria, présente un avantage certain puisqu'elle permet aux exposants et visiteurs étrangers de venir constater, de visu, la qualité algérienne et apprécier les efforts de développement à l'international des entreprises orientées vers l'export», souligne, notamment, les responsables du programme d'aide et de soutien aux PME algériennes potentiellement exportatrices parainées par Optimexport. Ils estiment que «cette année, l'accent est mis sur le confort des visiteurs internationaux et celui des exposants». C'est un des plus du salon de l'exportation. Avec un espace d'accueil plus vaste que l'année précédente, intégrant un emplacement pour les «Rencontres de l'export» et une cafétéria, c'est autant d'aisance apportée aux visiteurs et exposants. Ils trouvernt en la nouvelle interface «des conseillers export», mise en place par le programme Optimexport, des spécialistes pour les orienter, voire les coacher. La seconde édition de Djazair Export prévoit des rencontres professionnelles B2B face à face entre exposants-exportateurs et professionnels qui sont libres. L'objectif essentiel de base consiste, notamment, à favoriser des alliances financières, stratégiques et technologiques et d'identifier des opportunités de développement. L'engouement des entreprises exposantes montre bien l'intérêt de se positionner sur le marché extérieur en proposant des produits de qualité et certifiés. Il s'agit, donc, de percer le marché international et de raffermir leur compétitivité. Les secteurs les mieux représentés dans ce salon sont, notamment, les services, l'agroalimentaire, suivis de l'électricité, l'électronique, la pharmacie et l'artisanat. Optimexport ajoute «qu'en fait, plus de 76 particiapants sont enregistrés, dont 27 institutions et auxiliaires, réunis en une sorte de guichet unique pour répondre en temps réel aux demandes en informations commerciales et, bien évidemment, 49 entreprises, publiques et privées, parmi lesquelles 27 exposants challengers Optimexport représentant les PME suivant le programme afin d'apprendre le métier et la profession d'exportateur, car il s'agit d'une culture entrepreneuriale à part entière». Par ailleurs, Optimexport affirme que des experts algériens et étrangers animeront les débats dans la promotion des exportations sur des sujets aussi importants que les formalités douanières à l'export, le nouveau système de contrôle des importations mis en place par l'Union européenne, les normes HACCP pour l'accès au marché européen, la certification biologique, l'export vers l'Afrique et la sécurisation des ventes export dans ses aspects juridiques et financiers. Ce salon, qui est, désormais, traditionnel et essentiel pour les PME locales, doit permettre l'intégration rapide des entreprises à l'export, non seulement dans les marchés régionaux (Afrique), mais également en Europe, Asie et Amériques. «Les PME algériennes déjà exportatrices se placent de plus en plus sur le chemin de l'international. La deuxième édition Djazair Export version 2010, qui est la vitrine des produits made in Algeria, présente un avantage certain puisqu'elle permet aux exposants et visiteurs étrangers de venir constater, de visu, la qualité algérienne et apprécier les efforts de développement à l'international des entreprises orientées vers l'export», souligne, notamment, les responsables du programme d'aide et de soutien aux PME algériennes potentiellement exportatrices parainées par Optimexport. Ils estiment que «cette année, l'accent est mis sur le confort des visiteurs internationaux et celui des exposants». C'est un des plus du salon de l'exportation. Avec un espace d'accueil plus vaste que l'année précédente, intégrant un emplacement pour les «Rencontres de l'export» et une cafétéria, c'est autant d'aisance apportée aux visiteurs et exposants. Ils trouvernt en la nouvelle interface «des conseillers export», mise en place par le programme Optimexport, des spécialistes pour les orienter, voire les coacher. La seconde édition de Djazair Export prévoit des rencontres professionnelles B2B face à face entre exposants-exportateurs et professionnels qui sont libres. L'objectif essentiel de base consiste, notamment, à favoriser des alliances financières, stratégiques et technologiques et d'identifier des opportunités de développement. L'engouement des entreprises exposantes montre bien l'intérêt de se positionner sur le marché extérieur en proposant des produits de qualité et certifiés. Il s'agit, donc, de percer le marché international et de raffermir leur compétitivité. Les secteurs les mieux représentés dans ce salon sont, notamment, les services, l'agroalimentaire, suivis de l'électricité, l'électronique, la pharmacie et l'artisanat. Optimexport ajoute «qu'en fait, plus de 76 particiapants sont enregistrés, dont 27 institutions et auxiliaires, réunis en une sorte de guichet unique pour répondre en temps réel aux demandes en informations commerciales et, bien évidemment, 49 entreprises, publiques et privées, parmi lesquelles 27 exposants challengers Optimexport représentant les PME suivant le programme afin d'apprendre le métier et la profession d'exportateur, car il s'agit d'une culture entrepreneuriale à part entière». Par ailleurs, Optimexport affirme que des experts algériens et étrangers animeront les débats dans la promotion des exportations sur des sujets aussi importants que les formalités douanières à l'export, le nouveau système de contrôle des importations mis en place par l'Union européenne, les normes HACCP pour l'accès au marché européen, la certification biologique, l'export vers l'Afrique et la sécurisation des ventes export dans ses aspects juridiques et financiers. Ce salon, qui est, désormais, traditionnel et essentiel pour les PME locales, doit permettre l'intégration rapide des entreprises à l'export, non seulement dans les marchés régionaux (Afrique), mais également en Europe, Asie et Amériques.