M. Benmeradi, qui a intégré l'équipe du gouvernement depuis le 28 mai écoulé a affirmé, hier, «sa volonté de poursuivre la stratégie industrielle engagée dans le cadre du programme gouvernemental». Aussi il n'a nullement l'intention de remettre en cause la politique de son prédécesseur à ce poste Hamid Temmar. M. Benmeradi, qui a intégré l'équipe du gouvernement depuis le 28 mai écoulé a affirmé, hier, «sa volonté de poursuivre la stratégie industrielle engagée dans le cadre du programme gouvernemental». Aussi il n'a nullement l'intention de remettre en cause la politique de son prédécesseur à ce poste Hamid Temmar. Le ministre de l'Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi, semble n'avoir nullement l'intention de remettre en cause la politique de son prédécesseur à ce poste Hamid Temmar, chargé depuis le récent remaniement ministériel d'un nouveau portefeuille qui est celui de la Prospective et des Statistiques. M. Benmeradi, qui a intégré l'équipe du gouvernement depuis le 28 mai écoulé a, en effet, affirmé hier, «sa volonté de poursuivre la stratégie industrielle engagée dans le cadre du programme gouvernemental».Dans une déclaration à la presse en marge d'un séminaire sur le nouveau dispositif d'accès au foncier industriel, à propos du sort de la stratégie industrielle engagée par Temmar, le ministre a fait savoir «qu'il s'agit là d'une stratégie engagée dans le cadre d'un programme gouvernemental, et que le gouvernement travaille dans une même politique», précisant qu'il n'y aura pas de révolution qui va intervenir dans ce sens. Il a précisé, toutefois, qu'il sera question, dans le cadre du regroupement qui vient d'être opéré entre les départements de la PME et de l'industrie, de faire des «réajustements concernant essentiellement les problèmes d'intégration des PME et la poursuite des actions engagées pour la relance de l'outil de production national». A une question de l'APS sur d'éventuelles imperfections enregistrées lors de la mise en application du nouveau dispositif d'accès au foncier industriel, le ministre a relevé l'existence de «petits problèmes d'ordre juridique concernant le code de l'enregistrement qui prévoit qu'à chaque fois qu'une concession est consentie les droits d'enregistrement doivent être perçus d'avance et sur toute la durée de la concession». Selon lui, l'encaissement des droits d'enregistrement au moment de l'établissement de la première concession qui est de 33 ans, «alourdit très fortement le nouveau dispositif». Pour y remédier, M. Benmeradi a indiqué que son département ministériel travaille de concert avec celui des Finances dans le but d'adapter les dispositions de façon à étaler le payement des droits d'enregistrement sur la période de la concession (33 ans). Le ministre de l'Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi, semble n'avoir nullement l'intention de remettre en cause la politique de son prédécesseur à ce poste Hamid Temmar, chargé depuis le récent remaniement ministériel d'un nouveau portefeuille qui est celui de la Prospective et des Statistiques. M. Benmeradi, qui a intégré l'équipe du gouvernement depuis le 28 mai écoulé a, en effet, affirmé hier, «sa volonté de poursuivre la stratégie industrielle engagée dans le cadre du programme gouvernemental».Dans une déclaration à la presse en marge d'un séminaire sur le nouveau dispositif d'accès au foncier industriel, à propos du sort de la stratégie industrielle engagée par Temmar, le ministre a fait savoir «qu'il s'agit là d'une stratégie engagée dans le cadre d'un programme gouvernemental, et que le gouvernement travaille dans une même politique», précisant qu'il n'y aura pas de révolution qui va intervenir dans ce sens. Il a précisé, toutefois, qu'il sera question, dans le cadre du regroupement qui vient d'être opéré entre les départements de la PME et de l'industrie, de faire des «réajustements concernant essentiellement les problèmes d'intégration des PME et la poursuite des actions engagées pour la relance de l'outil de production national». A une question de l'APS sur d'éventuelles imperfections enregistrées lors de la mise en application du nouveau dispositif d'accès au foncier industriel, le ministre a relevé l'existence de «petits problèmes d'ordre juridique concernant le code de l'enregistrement qui prévoit qu'à chaque fois qu'une concession est consentie les droits d'enregistrement doivent être perçus d'avance et sur toute la durée de la concession». Selon lui, l'encaissement des droits d'enregistrement au moment de l'établissement de la première concession qui est de 33 ans, «alourdit très fortement le nouveau dispositif». Pour y remédier, M. Benmeradi a indiqué que son département ministériel travaille de concert avec celui des Finances dans le but d'adapter les dispositions de façon à étaler le payement des droits d'enregistrement sur la période de la concession (33 ans).