Une réunion regroupant des responsables des structures de santé de la wilaya de Béjaïa et les praticiens exerçant au sein des services de gynécologie et d'obstétrique, a abouti à la mise en place d'un dispositif visant l'amélioration de la prise en charge des parturientes durant la période des congés, coincidant en général avec la période estivale. L'objectif étant, rapporte l'APS, de faire face à la pression qui apparait durant cette période dans certains établissements et qui tient à «l'effet combiné de l'afflux de touristes dans la région et des départs en congé annuel d'une partie des effectifs médicaux». Le dispositif, mis en place, repose sur le regroupement des établissements de maternité en deux pôles, l'un représenté par l'hôpital d'Amizour, censé accueillir l'essentiel des évacuations d'urgence des régions de la vallée de la Soummam, notamment Akbou, Sidi-Aïch, El Kseur et Tazmalt et l'autre sera confié à l'EHS (Etablissement hospitalier spécialisé) mère-enfant de Béjaïa, afin d'assurer les couvertures et les besoins analogues des régions orientales, notamment Aokas, Souk El-Ténine et Kherrata. "Il faut arriver au principe d'une femme, un lit", a tenu à souligner le directeur du secteur, M. Benbouzid, lequel a exhorté les directeurs des structures sanitaires à "recourir, au besoin, à la réquisition des praticiens privés". Le débat a donné l'occasion pour établir un véritable état des lieux du fonctionnement des maternités et surtout de leurs carences. A ce titre il a été soulevé le problème des évacuations d'un hôpital à un autre, sans raisons impératives, et qui souvent se pratiquent de façon abusive et au détriment de la bonne marche de ces structures de santé. L. B. Une réunion regroupant des responsables des structures de santé de la wilaya de Béjaïa et les praticiens exerçant au sein des services de gynécologie et d'obstétrique, a abouti à la mise en place d'un dispositif visant l'amélioration de la prise en charge des parturientes durant la période des congés, coincidant en général avec la période estivale. L'objectif étant, rapporte l'APS, de faire face à la pression qui apparait durant cette période dans certains établissements et qui tient à «l'effet combiné de l'afflux de touristes dans la région et des départs en congé annuel d'une partie des effectifs médicaux». Le dispositif, mis en place, repose sur le regroupement des établissements de maternité en deux pôles, l'un représenté par l'hôpital d'Amizour, censé accueillir l'essentiel des évacuations d'urgence des régions de la vallée de la Soummam, notamment Akbou, Sidi-Aïch, El Kseur et Tazmalt et l'autre sera confié à l'EHS (Etablissement hospitalier spécialisé) mère-enfant de Béjaïa, afin d'assurer les couvertures et les besoins analogues des régions orientales, notamment Aokas, Souk El-Ténine et Kherrata. "Il faut arriver au principe d'une femme, un lit", a tenu à souligner le directeur du secteur, M. Benbouzid, lequel a exhorté les directeurs des structures sanitaires à "recourir, au besoin, à la réquisition des praticiens privés". Le débat a donné l'occasion pour établir un véritable état des lieux du fonctionnement des maternités et surtout de leurs carences. A ce titre il a été soulevé le problème des évacuations d'un hôpital à un autre, sans raisons impératives, et qui souvent se pratiquent de façon abusive et au détriment de la bonne marche de ces structures de santé. L. B.