Un nouveau produit, visant les petits éleveurs et agriculteurs, sera très prochainement lancé par la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) avec pour objectif l'accompagnement du développement du secteur agricole, a-t-on appris auprès de cette caisse. Le produit : micro-assurance agricole, a pour principal objectif «d'accompagner le développement économique et social des populations rurales et d'accompagner le programme de développement quinquennal dans le secteur agricole», dira le responsable de la branche assurance à la Caisse, Chérif Benhabiles responsable de la branche assurance. Il est à noter que la micro-assurance agricole est un service de micro-financement permettant aux agriculteurs et éleveurs démunis d'assurer leurs biens (bétail ou récoltes), a expliqué M. Benhabiles. Ce produit, largement répandu à travers le monde, notamment dans les pays en développement, dont l'économie et les exportations sont tributaires de l'agriculture, est considéré par les spécialistes comme «un champ d'application possible des dérivés climatiques», a ajouté le responsable de la CNMA. Les «dérivés climatiques» sont, quant à eux, des instruments financiers «dont la valeur et le cash-flow dépendent de la survenance de certains événements météorologiques, aisément mesurables et identifiables séparément», a-t-il expliqué. La CNMA compte ainsi répercuter l'expansion rapide de ce produit en Algérie en espérant toucher un plus grand nombre de souscripteurs inscrits dans son portefeuille, notamment, auprès des petits agriculteurs et éleveurs à la faveur du coût modeste de la prime par rapport à l'assurance traditionnelle et la rapidité de l'indemnisation, a souligné M. Benhabiles. S'agissant des modalités de souscription, le même responsable a fait savoir que «tous les projets de micro-assurance agricole sont fondés sur l'idée de contrats d'assurance basés sur un indice et non sur les pertes individuelles». Cette approche a pour objectif, selon lui, «d'améliorer l'efficience globale de la gestion du risque». «Les produits seront ainsi meilleur marché, c'est-à-dire moins chers, les délais de versement des indemnisations moins longs dans la mesure où il s'agit de contrats types et aucune procédure de vérification des sinistres ne sera nécessaire», a-t-il assuré. Conçus en fonction des conditions météorologiques (température, pluviométrie, tempêtes...) les contrats de micro-assurance agricole ont été créés et introduits sur les marchés il y a une dizaine d'années, a-t-il rappelé. Il est à rappeler aussi que, la CNMA-assurance avait annoncé, fin mai, de nouveaux produits d'assurance destinés notamment aux filières agricoles stratégiques, tous visant à la modernisation des assurances agricoles afin de couvrir toutes les cultures et présenter des contrats visant à protéger l'agriculteur et à le rendre solvable auprès des banques. Un nouveau produit, visant les petits éleveurs et agriculteurs, sera très prochainement lancé par la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) avec pour objectif l'accompagnement du développement du secteur agricole, a-t-on appris auprès de cette caisse. Le produit : micro-assurance agricole, a pour principal objectif «d'accompagner le développement économique et social des populations rurales et d'accompagner le programme de développement quinquennal dans le secteur agricole», dira le responsable de la branche assurance à la Caisse, Chérif Benhabiles responsable de la branche assurance. Il est à noter que la micro-assurance agricole est un service de micro-financement permettant aux agriculteurs et éleveurs démunis d'assurer leurs biens (bétail ou récoltes), a expliqué M. Benhabiles. Ce produit, largement répandu à travers le monde, notamment dans les pays en développement, dont l'économie et les exportations sont tributaires de l'agriculture, est considéré par les spécialistes comme «un champ d'application possible des dérivés climatiques», a ajouté le responsable de la CNMA. Les «dérivés climatiques» sont, quant à eux, des instruments financiers «dont la valeur et le cash-flow dépendent de la survenance de certains événements météorologiques, aisément mesurables et identifiables séparément», a-t-il expliqué. La CNMA compte ainsi répercuter l'expansion rapide de ce produit en Algérie en espérant toucher un plus grand nombre de souscripteurs inscrits dans son portefeuille, notamment, auprès des petits agriculteurs et éleveurs à la faveur du coût modeste de la prime par rapport à l'assurance traditionnelle et la rapidité de l'indemnisation, a souligné M. Benhabiles. S'agissant des modalités de souscription, le même responsable a fait savoir que «tous les projets de micro-assurance agricole sont fondés sur l'idée de contrats d'assurance basés sur un indice et non sur les pertes individuelles». Cette approche a pour objectif, selon lui, «d'améliorer l'efficience globale de la gestion du risque». «Les produits seront ainsi meilleur marché, c'est-à-dire moins chers, les délais de versement des indemnisations moins longs dans la mesure où il s'agit de contrats types et aucune procédure de vérification des sinistres ne sera nécessaire», a-t-il assuré. Conçus en fonction des conditions météorologiques (température, pluviométrie, tempêtes...) les contrats de micro-assurance agricole ont été créés et introduits sur les marchés il y a une dizaine d'années, a-t-il rappelé. Il est à rappeler aussi que, la CNMA-assurance avait annoncé, fin mai, de nouveaux produits d'assurance destinés notamment aux filières agricoles stratégiques, tous visant à la modernisation des assurances agricoles afin de couvrir toutes les cultures et présenter des contrats visant à protéger l'agriculteur et à le rendre solvable auprès des banques.