Les travaux de réalisation de la première ligne du métro d'Alger avancent à «un taux élevé», a affirmé, jeudi, Amar Tou, ministre des Transports. Le plan de sécurité des voyageurs, quant à lui, a-t-il estimé, sera bientôt fin prêt. S'agissant des essais, le ministre fera savoir, en réponse à la question orale d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN), qu'ils «ont commencé en vue de réunir les conditions de mise en service», expliquant de ce fait, que les travaux de réalisation de la ligne reliant Haï El-Badr à El-Harrach connaissent, eux aussi, un taux d'avancement élevé. Les 1.500 ouvriers en charge du projet, a indiqué le ministre, dont 1.450 Algériens, «travaillent 24/24h sur cette ligne pour sa livraison dans les délais fixés». Le métro, a-t-il ajouté, contribuera au «renforcement des transports collectifs», dans la capitale. Amar Tou a, par ailleurs, rappelé la situation économique, financière et sécuritaire ayant entravé la réalisation du projet du métro d'Alger et qui a été à l'origine de l'arrêt des travaux durant plusieurs années avant que le président de la République ne décide la relance du projet en mars 2006. Le projet du métro d'Alger, pour rappel, date des années 70. Très attendu par les familles algéroises il devait être livré fin 2009 et tarde à voir le jour. Environ 30 mille voyageurs par heure emprunteront le métro, selon les estimations officielles. Les travaux de réalisation de la première ligne du métro d'Alger avancent à «un taux élevé», a affirmé, jeudi, Amar Tou, ministre des Transports. Le plan de sécurité des voyageurs, quant à lui, a-t-il estimé, sera bientôt fin prêt. S'agissant des essais, le ministre fera savoir, en réponse à la question orale d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN), qu'ils «ont commencé en vue de réunir les conditions de mise en service», expliquant de ce fait, que les travaux de réalisation de la ligne reliant Haï El-Badr à El-Harrach connaissent, eux aussi, un taux d'avancement élevé. Les 1.500 ouvriers en charge du projet, a indiqué le ministre, dont 1.450 Algériens, «travaillent 24/24h sur cette ligne pour sa livraison dans les délais fixés». Le métro, a-t-il ajouté, contribuera au «renforcement des transports collectifs», dans la capitale. Amar Tou a, par ailleurs, rappelé la situation économique, financière et sécuritaire ayant entravé la réalisation du projet du métro d'Alger et qui a été à l'origine de l'arrêt des travaux durant plusieurs années avant que le président de la République ne décide la relance du projet en mars 2006. Le projet du métro d'Alger, pour rappel, date des années 70. Très attendu par les familles algéroises il devait être livré fin 2009 et tarde à voir le jour. Environ 30 mille voyageurs par heure emprunteront le métro, selon les estimations officielles.