Le taux de réussite à la sixième a été estimée à 80,64% alors que pas moins de 66,35% de réussite a été enregistrée au BEM, à l'échelle nationale. Selon M. Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education nationale. Ces taux «appréciables» traduisent le niveau des élèves qui devient de plus en plus élevé grâce à la réforme du système éducatif. Le taux de réussite à la sixième a été estimée à 80,64% alors que pas moins de 66,35% de réussite a été enregistrée au BEM, à l'échelle nationale. Selon M. Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education nationale. Ces taux «appréciables» traduisent le niveau des élèves qui devient de plus en plus élevé grâce à la réforme du système éducatif. L'examen de fin de cycle primaire (ex-sixième) ainsi que le brevet d'enseignement moyen (BEM) ont enregistré les taux de réussite les plus élevés depuis l'Indépendance. Le taux de réussite à la sixième a été estimée à 80,64% alors que pas moins de 66,35% de réussite a été enregistrée au BEM, à l'échelle nationale. Selon M. Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education nationale, qui s'est exprimé hier à Alger, lors d'une conférence de presse, ces taux «appréciables» traduisent le niveau des élèves qui devient de plus en plus élevé grâce à la réforme du système éducatif. En effet, près de 500 mille candidats ont pris part aux épreuves du BEM. Le taux de réussite a connu une augmentation de 7,67% par rapport à l'année précédente. Le meilleur taux de réussite a été enregistré par la wilaya de Sidi Bel-Abbés avec un taux de 87,48% contre 86,65% enregistré par El Bayadh. En revanche, le taux le plus faible revient cette année à la wilaya de Tamanrasset avec 31,49% de réussite au BEM. Pour ce qui des candidats non-voyants, leur réussite au BEM a été de 100%, dont 55% de garçons et 45% de filles. S'agissant des résultats obtenus par les détenus, le taux de réussite est estimé à 55,50%. «Ce sont les mêmes examens qui se sont déroulés au niveau des écoles et dans les établissements pénitentiaires», a expliqué Khaldi. Quant aux écoles privées, le taux a été appréciable cette année avec 61,84% de réussite au niveau national. Cependant, les recalés peuvent toujours accéder au secondaire grâce à la moyenne de passage. «Le taux d'aqdmission au passage des candidats recalés au BEM avoisine les 12 à 15%», ajoute le conférencier. D'autres parts, concernant l'examen de la sixième, le taux de réussite le plus élevé a été enregistré à Alger-Centre avec 80,60%. La dernière place revient à la wilaya de Djelfa avec 40,27% de réussite. Une moyenne excellente de 10 sur 10 a été remportée par une élève de la wilaya de Biskra. Dans ce sillage, le représentant du ministre Benbouzid a déploré les propos de certains syndicalistes du secteur qui ont dénoncé la facilité exagérée avec laquelle ont été élaborés les sujets d'examens. «Les sujets des examens ont été faits par les meilleures compétences du domaine. Alors, oser dénoncer le contenu des sujets est inacceptable venant de certains syndicalistes qui n'enseignent plus et qui ne sont plus du domaine», s'est-il indigné. En colère, le SG du ministère s'est dit «étonné» par les déclarations de ces syndicalistes qui ont tenté de perturber l'année scolaire par tous les moyens possibles. «A deux semaines seulement de la rentrée scolaire, ces mêmes syndicalistes menaçaient déjà d'une année blanche, et aujourd'hui, ils osent dire que les programmes sont inachevés et les sujets sont trop faciles. C'est insensé», a-t-il déploré. A ce titre, Khaldi a affirmé que «dorénavant, il n'est plus permis de jouer avec l'avenir des élèves. Des mesures radicales seront prises à l'encontre des perturbateurs». Et ce, en faisant allusion aux perturbations qui ont affecté cette année scolaire et provoquées par les grèves des syndicats autonomes. Néanmoins, Khaldi a affirmé que les portes de la tutelle resteront ouvertes aux syndicats, à condition qu'ils ne dépassent pas les lignes rouges imposées. «Il faut moraliser l'activité syndicale», a-t-il conclu. L'examen de fin de cycle primaire (ex-sixième) ainsi que le brevet d'enseignement moyen (BEM) ont enregistré les taux de réussite les plus élevés depuis l'Indépendance. Le taux de réussite à la sixième a été estimée à 80,64% alors que pas moins de 66,35% de réussite a été enregistrée au BEM, à l'échelle nationale. Selon M. Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education nationale, qui s'est exprimé hier à Alger, lors d'une conférence de presse, ces taux «appréciables» traduisent le niveau des élèves qui devient de plus en plus élevé grâce à la réforme du système éducatif. En effet, près de 500 mille candidats ont pris part aux épreuves du BEM. Le taux de réussite a connu une augmentation de 7,67% par rapport à l'année précédente. Le meilleur taux de réussite a été enregistré par la wilaya de Sidi Bel-Abbés avec un taux de 87,48% contre 86,65% enregistré par El Bayadh. En revanche, le taux le plus faible revient cette année à la wilaya de Tamanrasset avec 31,49% de réussite au BEM. Pour ce qui des candidats non-voyants, leur réussite au BEM a été de 100%, dont 55% de garçons et 45% de filles. S'agissant des résultats obtenus par les détenus, le taux de réussite est estimé à 55,50%. «Ce sont les mêmes examens qui se sont déroulés au niveau des écoles et dans les établissements pénitentiaires», a expliqué Khaldi. Quant aux écoles privées, le taux a été appréciable cette année avec 61,84% de réussite au niveau national. Cependant, les recalés peuvent toujours accéder au secondaire grâce à la moyenne de passage. «Le taux d'aqdmission au passage des candidats recalés au BEM avoisine les 12 à 15%», ajoute le conférencier. D'autres parts, concernant l'examen de la sixième, le taux de réussite le plus élevé a été enregistré à Alger-Centre avec 80,60%. La dernière place revient à la wilaya de Djelfa avec 40,27% de réussite. Une moyenne excellente de 10 sur 10 a été remportée par une élève de la wilaya de Biskra. Dans ce sillage, le représentant du ministre Benbouzid a déploré les propos de certains syndicalistes du secteur qui ont dénoncé la facilité exagérée avec laquelle ont été élaborés les sujets d'examens. «Les sujets des examens ont été faits par les meilleures compétences du domaine. Alors, oser dénoncer le contenu des sujets est inacceptable venant de certains syndicalistes qui n'enseignent plus et qui ne sont plus du domaine», s'est-il indigné. En colère, le SG du ministère s'est dit «étonné» par les déclarations de ces syndicalistes qui ont tenté de perturber l'année scolaire par tous les moyens possibles. «A deux semaines seulement de la rentrée scolaire, ces mêmes syndicalistes menaçaient déjà d'une année blanche, et aujourd'hui, ils osent dire que les programmes sont inachevés et les sujets sont trop faciles. C'est insensé», a-t-il déploré. A ce titre, Khaldi a affirmé que «dorénavant, il n'est plus permis de jouer avec l'avenir des élèves. Des mesures radicales seront prises à l'encontre des perturbateurs». Et ce, en faisant allusion aux perturbations qui ont affecté cette année scolaire et provoquées par les grèves des syndicats autonomes. Néanmoins, Khaldi a affirmé que les portes de la tutelle resteront ouvertes aux syndicats, à condition qu'ils ne dépassent pas les lignes rouges imposées. «Il faut moraliser l'activité syndicale», a-t-il conclu.