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Tous les transformateurs ont repris leurs enlèvements auprès de l'OAIC
Production de blé dur
Publié dans Le Midi Libre le 23 - 06 - 2010

La quasi-totalité des transformateurs des céréales ont repris leurs enlèvements de blé dur auprès de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) après une suspension de plusieurs mois, a indiqué mardi le directeur général de cet organisme, Noureddine Kehal.
La quasi-totalité des transformateurs des céréales ont repris leurs enlèvements de blé dur auprès de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) après une suspension de plusieurs mois, a indiqué mardi le directeur général de cet organisme, Noureddine Kehal.
«Quatre vingt dix pour cent des transformateurs ont repris leurs enlèvements de blé dur chez l'Office'', souligne-t-il en précisant que sur les 147 industriels-clients de l'OAIC, une dizaine seulement ne s'y est toujours pas approvisionnée. Les ventes de l'OAIC en blé dur avaient, pour rappel, baissé considérablement depuis octobre 2009 à moins de 600 mille quintaux par mois contre une moyenne mensuelle de 1,7 million quintaux, suite au retrait des transformateurs, lesquels préféraient recourir aux importations à la faveur de la chute des cours mondiaux du blé sur les marchés internationaux. Se retrouvant avec des quantités importantes de cette céréale suite à une production nationale record pour la campagne 2008-2009, l'Office a alors avisé, en mars dernier, les transformateurs de céréales qu'ils avaient jusqu'au 1er juin courant pour reprendre leurs approvisionnements en blé dur national sous peine d'être exclus des prestations de l'Office en cas de renchérissement des prix mondiaux du blé. Concernant les transformateurs n'ayant toujours pas procédé à l'enlèvement de leurs quotas, les quantités qui leur reviennent seront cédées aux entreprises régionales des industries alimentaires et dérivés (Eriad), fait savoir le même responsable. La reprise des enlèvements par la plupart des transformateurs ne signifie pas forcément l'arrêt des importations,à ce propos le directeur général de l'OAIC répond qu'aucune loi n'interdit d'importer, mais que cela "doit se faire dans un cadre organisé". Cette question sera, d'ailleurs, l'un des points qui seront abordés prochainement lors de la première réunion du Comité interprofessionnel des céréales (CIC) qui sera installé incessamment, pour discuter de la politique de régulation du marché national des céréales, avance-t-il. Ce comité se compose notamment des céréaliculteurs, transformateurs, de l'OAIC, ainsi que des ministères de l'Agriculture et du développement rural, des Finances, des Ressources en eau et du Commerce. "Dans cet espace de concertation, nous allons discuter et régler définitivement les problèmes d'approvisionnement du marché et des quotas", explique-t-il, ajoutant que ''les professionnels composant ce comité devraient sortir également avec des décisions concernant la régulation des importations''. "Nous n'allons pas interdire les importations, mais celles-ci doivent se faire dans un cadre organisé pour éviter les surcoûts", souligne le même responsable. Il est à rappeler que l'OAIC, qui assure 90% des besoins du marché national en céréales, n'a pas importé d'orge et de blé dur depuis avril 2009, suite à la bonne production de la campagne précédente (61,2 millions quintaux toutes céréales confondues).
«Quatre vingt dix pour cent des transformateurs ont repris leurs enlèvements de blé dur chez l'Office'', souligne-t-il en précisant que sur les 147 industriels-clients de l'OAIC, une dizaine seulement ne s'y est toujours pas approvisionnée. Les ventes de l'OAIC en blé dur avaient, pour rappel, baissé considérablement depuis octobre 2009 à moins de 600 mille quintaux par mois contre une moyenne mensuelle de 1,7 million quintaux, suite au retrait des transformateurs, lesquels préféraient recourir aux importations à la faveur de la chute des cours mondiaux du blé sur les marchés internationaux. Se retrouvant avec des quantités importantes de cette céréale suite à une production nationale record pour la campagne 2008-2009, l'Office a alors avisé, en mars dernier, les transformateurs de céréales qu'ils avaient jusqu'au 1er juin courant pour reprendre leurs approvisionnements en blé dur national sous peine d'être exclus des prestations de l'Office en cas de renchérissement des prix mondiaux du blé. Concernant les transformateurs n'ayant toujours pas procédé à l'enlèvement de leurs quotas, les quantités qui leur reviennent seront cédées aux entreprises régionales des industries alimentaires et dérivés (Eriad), fait savoir le même responsable. La reprise des enlèvements par la plupart des transformateurs ne signifie pas forcément l'arrêt des importations,à ce propos le directeur général de l'OAIC répond qu'aucune loi n'interdit d'importer, mais que cela "doit se faire dans un cadre organisé". Cette question sera, d'ailleurs, l'un des points qui seront abordés prochainement lors de la première réunion du Comité interprofessionnel des céréales (CIC) qui sera installé incessamment, pour discuter de la politique de régulation du marché national des céréales, avance-t-il. Ce comité se compose notamment des céréaliculteurs, transformateurs, de l'OAIC, ainsi que des ministères de l'Agriculture et du développement rural, des Finances, des Ressources en eau et du Commerce. "Dans cet espace de concertation, nous allons discuter et régler définitivement les problèmes d'approvisionnement du marché et des quotas", explique-t-il, ajoutant que ''les professionnels composant ce comité devraient sortir également avec des décisions concernant la régulation des importations''. "Nous n'allons pas interdire les importations, mais celles-ci doivent se faire dans un cadre organisé pour éviter les surcoûts", souligne le même responsable. Il est à rappeler que l'OAIC, qui assure 90% des besoins du marché national en céréales, n'a pas importé d'orge et de blé dur depuis avril 2009, suite à la bonne production de la campagne précédente (61,2 millions quintaux toutes céréales confondues).


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