Benbouzid a indiqué que la deuxième session de rattrapage de la sixième constitue une occasion de permettre aux enfants recalés de bénéficier de cours de soutien pour mieux préparer leur seconde chance. Benbouzid a indiqué que la deuxième session de rattrapage de la sixième constitue une occasion de permettre aux enfants recalés de bénéficier de cours de soutien pour mieux préparer leur seconde chance. En marge du coup d'envoi de la deuxième session de rattrapage des examens de fin de cycle primaire (ex-sixième), le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid a affirmé qu'il est strictement interdit de renvoyer tout élève avant la neuvième année fondamentale, et ce, quel que soit le motif avancé. Cette nouvelle mesure prise par le ministère de l'Education, valable à partir de la prochaine rentrée scolaire, a pour unique but d'enrayer le taux de déperdition scolaire qui a sévi par le passé mais qui commence à fléchir sa courbe sérieusement ces dernières années. Benbouzid a indiqué que la deuxième session de rattrapage de la sixième constitue justement une occasion de permettre aux enfants recalés de bénéficier de cours de soutien pour mieux préparer leur seconde chance. « Les recalés de cet examen seront mis dans des classes spécialisées et des moyens coûteux mais nécessaires et obligatoires seront mis à leur disposition », a-t-il dit. Interrogé sur l'ancienne méthode de rachat, le premier responsable du secteur a estimé que le rachat est une mauvaise méthode de passage. « Nous voulons, avant tout, concentrer notre attention sur les moyens pédagogiques et matériels à leur donner pour qu'ils réussissent par leurs propres capacités mais aussi les habituer à passer des examens sérieux afin de les préparer aux examens futurs, notamment le baccalauréat », a-t-il expliqué. A ce titre, le ministre a tenu à interpeller les parents d'élèves à s'impliquer davantage dans la scolarisation des enfants afin d'améliorer leur niveau et le niveau de l'éducation en général. « C'est aussi aux parents d'élèves de prendre leur responsabilité, de suivre et d'aider leurs enfants chaque soir à préparer les cours du lendemain » a-t-il souligné. Le suivi quotidien des parents est indispensable, estime Benbouzid qui a regretté que le taux actuel de suivi parental n'est que de 20%. Un taux qui dénote « la démission » de la famille. Il a affirmé que les parents d'élèves devraient s'assumer en tant que tels pour accompagner l'école. «Quant bien même les résultats de l'école sont bons, il revient aux parents d'être la première école », a-t-il ajouté. Par ailleurs, revenant à la deuxième session de l'examen du cycle primaire, le coup d'envoi de ce rattrapage a eu lieu jeudi dernier dans quelque 740 centres d'examens. Pas moins de 96.396 élèves du cycle primaire ont repassé, à l'échelle nationale, les épreuves de la deuxième session de l'examen de fin de cycle primaire. Ils représentent 15,66% des candidats inscrits à la première session dont le nombre s'élevait à 615.492 candidats. Les premiers résultats étaient satisfaisants et le taux de réussite a été estimé à 80,64%. En marge du coup d'envoi de la deuxième session de rattrapage des examens de fin de cycle primaire (ex-sixième), le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid a affirmé qu'il est strictement interdit de renvoyer tout élève avant la neuvième année fondamentale, et ce, quel que soit le motif avancé. Cette nouvelle mesure prise par le ministère de l'Education, valable à partir de la prochaine rentrée scolaire, a pour unique but d'enrayer le taux de déperdition scolaire qui a sévi par le passé mais qui commence à fléchir sa courbe sérieusement ces dernières années. Benbouzid a indiqué que la deuxième session de rattrapage de la sixième constitue justement une occasion de permettre aux enfants recalés de bénéficier de cours de soutien pour mieux préparer leur seconde chance. « Les recalés de cet examen seront mis dans des classes spécialisées et des moyens coûteux mais nécessaires et obligatoires seront mis à leur disposition », a-t-il dit. Interrogé sur l'ancienne méthode de rachat, le premier responsable du secteur a estimé que le rachat est une mauvaise méthode de passage. « Nous voulons, avant tout, concentrer notre attention sur les moyens pédagogiques et matériels à leur donner pour qu'ils réussissent par leurs propres capacités mais aussi les habituer à passer des examens sérieux afin de les préparer aux examens futurs, notamment le baccalauréat », a-t-il expliqué. A ce titre, le ministre a tenu à interpeller les parents d'élèves à s'impliquer davantage dans la scolarisation des enfants afin d'améliorer leur niveau et le niveau de l'éducation en général. « C'est aussi aux parents d'élèves de prendre leur responsabilité, de suivre et d'aider leurs enfants chaque soir à préparer les cours du lendemain » a-t-il souligné. Le suivi quotidien des parents est indispensable, estime Benbouzid qui a regretté que le taux actuel de suivi parental n'est que de 20%. Un taux qui dénote « la démission » de la famille. Il a affirmé que les parents d'élèves devraient s'assumer en tant que tels pour accompagner l'école. «Quant bien même les résultats de l'école sont bons, il revient aux parents d'être la première école », a-t-il ajouté. Par ailleurs, revenant à la deuxième session de l'examen du cycle primaire, le coup d'envoi de ce rattrapage a eu lieu jeudi dernier dans quelque 740 centres d'examens. Pas moins de 96.396 élèves du cycle primaire ont repassé, à l'échelle nationale, les épreuves de la deuxième session de l'examen de fin de cycle primaire. Ils représentent 15,66% des candidats inscrits à la première session dont le nombre s'élevait à 615.492 candidats. Les premiers résultats étaient satisfaisants et le taux de réussite a été estimé à 80,64%.