Le stage qui fait suite à d'autres regroupements initiés récemment pour traiter, notamment, de la biodiversité marine, a pour objectif de mettre en place les instruments nécessaires pour concrétiser le projet d'aire marine protégée dans la région de Jijel qui se distingue par un riche patrimoine floristique et faunistique. Le stage qui fait suite à d'autres regroupements initiés récemment pour traiter, notamment, de la biodiversité marine, a pour objectif de mettre en place les instruments nécessaires pour concrétiser le projet d'aire marine protégée dans la région de Jijel qui se distingue par un riche patrimoine floristique et faunistique. Un stage de formation sur les protocoles de surveillance des herbiers à posidonie se tiendra du 28 juin au 3 juillet prochains à Jijel dans le cadre du projet d'aire marine (AMP), relevant du parc national de Taza, a-t-on appris, mercredi dernier, de la Direction de cet établissement. Ce regroupement, animé par un expert étranger, traitera également du système d'information géographique (SIG), de la télédétection et de la délimitation des herbiers, ainsi que de la mise en place d'une base de données terrestre et marine du parc de Taza en vue de l'établissement d'un dossier de classement de la zone marine. Le personnel du parc de Taza, des experts algériens et de nombreux partenaires impliqués prendront part à cette formation sous la houlette du professeur Gérard Pergent, enseignant à l'université de Corse (France) et expert en matière de suivi de l'herbier à posidonie, chargé par le bureau du WWF Med PO, à Rome, d'assurer la direction de ce stage thématique, a-t-on précisé. Ce projet-pilote du Med Pan Sud, initié par le Fonds mondial pour la nature (WWF), vise essentiellement à mettre en place une base de données du SIG de la zone marine qui s'étend de Ziama Mansouriah jusqu'au Grand Phare, à quelques kilomètres à l'ouest du chef-lieu de wilaya. Le stage qui fait suite à d'autres regroupements initiés récemment pour traiter, notamment, de la biodiversité marine, a pour objectif de mettre en place les instruments nécessaires pour concrétiser le projet d'aire marine protégée dans la région de Jijel qui se distingue par un riche patrimoine floristique et faunistique. Le but, a-t-on expliqué, est d'assurer une protection particulière des espèces et des habitats menacés, dont l'importance est jugée "vitale" pour la préservation de l'équilibre écologique en Méditerranée. Des protocoles internationaux relatifs aux aires marines protégées (AMP) et aux "aires spécialement protégées de la Méditerranée" insistent sur la protection de ces zones par des mesures appropriées dans le cadre d'une gestion durable des mers et des espaces littoraux. L'aire marine protégée de Jijel est située entre la localité de Ziama Mansouriah et le Grand Phare, plus connu sous l'appellation de Ras El-Afia, sur une distance de 30 km. Couvrant une superficie de 14.129 hectares, elle est inscrite dans le cadre de la conservation de la biodiversité marine et côtière et du développement des réseaux des aires marines protégées (AMP) au titre du projet MED PAN-Sud du parc national de Taza. Cet ensemble naturel présente de nombreux abris naturels (criques, plages, baies…) ainsi qu'une multitude d'îles, d'îlots et d'affleurements rocheux. La biodiversité de ce site est composée de 617 espèces, dont 152 espèces de poissons et plus de 16 espèces d'oiseaux marins et d'eau, selon les responsables du parc. APS Un stage de formation sur les protocoles de surveillance des herbiers à posidonie se tiendra du 28 juin au 3 juillet prochains à Jijel dans le cadre du projet d'aire marine (AMP), relevant du parc national de Taza, a-t-on appris, mercredi dernier, de la Direction de cet établissement. Ce regroupement, animé par un expert étranger, traitera également du système d'information géographique (SIG), de la télédétection et de la délimitation des herbiers, ainsi que de la mise en place d'une base de données terrestre et marine du parc de Taza en vue de l'établissement d'un dossier de classement de la zone marine. Le personnel du parc de Taza, des experts algériens et de nombreux partenaires impliqués prendront part à cette formation sous la houlette du professeur Gérard Pergent, enseignant à l'université de Corse (France) et expert en matière de suivi de l'herbier à posidonie, chargé par le bureau du WWF Med PO, à Rome, d'assurer la direction de ce stage thématique, a-t-on précisé. Ce projet-pilote du Med Pan Sud, initié par le Fonds mondial pour la nature (WWF), vise essentiellement à mettre en place une base de données du SIG de la zone marine qui s'étend de Ziama Mansouriah jusqu'au Grand Phare, à quelques kilomètres à l'ouest du chef-lieu de wilaya. Le stage qui fait suite à d'autres regroupements initiés récemment pour traiter, notamment, de la biodiversité marine, a pour objectif de mettre en place les instruments nécessaires pour concrétiser le projet d'aire marine protégée dans la région de Jijel qui se distingue par un riche patrimoine floristique et faunistique. Le but, a-t-on expliqué, est d'assurer une protection particulière des espèces et des habitats menacés, dont l'importance est jugée "vitale" pour la préservation de l'équilibre écologique en Méditerranée. Des protocoles internationaux relatifs aux aires marines protégées (AMP) et aux "aires spécialement protégées de la Méditerranée" insistent sur la protection de ces zones par des mesures appropriées dans le cadre d'une gestion durable des mers et des espaces littoraux. L'aire marine protégée de Jijel est située entre la localité de Ziama Mansouriah et le Grand Phare, plus connu sous l'appellation de Ras El-Afia, sur une distance de 30 km. Couvrant une superficie de 14.129 hectares, elle est inscrite dans le cadre de la conservation de la biodiversité marine et côtière et du développement des réseaux des aires marines protégées (AMP) au titre du projet MED PAN-Sud du parc national de Taza. Cet ensemble naturel présente de nombreux abris naturels (criques, plages, baies…) ainsi qu'une multitude d'îles, d'îlots et d'affleurements rocheux. La biodiversité de ce site est composée de 617 espèces, dont 152 espèces de poissons et plus de 16 espèces d'oiseaux marins et d'eau, selon les responsables du parc. APS