Lors d'une première prise de contact avec les syndicats de la santé, le nouveau ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, s'est engagé à résoudre les problèmes socioprofessionnels de l'ensemble des personnels du secteur, en l'occurrence, les praticiens de la santé, les praticiens spécialistes, les paramédicaux ainsi que les sages-femmes. Lors d'une première prise de contact avec les syndicats de la santé, le nouveau ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, s'est engagé à résoudre les problèmes socioprofessionnels de l'ensemble des personnels du secteur, en l'occurrence, les praticiens de la santé, les praticiens spécialistes, les paramédicaux ainsi que les sages-femmes. Hier, c'était au tour du Syndicat national des praticiens de santé publique (Snpsp) de renouer le dialogue, stagnant depuis des mois, et de relancer ainsi les discussions avec le ministère de la Santé. Après les spécialistes, les médecins généralistes ont renoué le contact avec leur tutelle et ont enfin abordé les questions relatives à leurs revendications d'ordre socioprofessionnel, particulièrement le dossier du statut particulier et celui du régime indemnitaire. Contacté à ce sujet, le président du Snpssp, le docteur Lyes Merabet, affirme que les deux dossiers sus-cités constituent l'enjeu majeur de ces débats. Quant au restant des revendications relatives au quota de logements de fonction ainsi qu'à l'application des horaires hebdomadaires dans le secteur de la santé, ceci relève, poursuit notre interlocuteur, de la pure et simple application des lois de la République. Il faut dire que lors d'une première prise de contact avec les syndicats de la santé, le nouveau ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, s'est engagé à résoudre les problèmes socioprofessionnels de l'ensemble des personnels du secteurs, en l'occurrence, les praticiens de la santé, les praticiens spécialistes, les paramédicaux ainsi que les sages-femmes. Or, les syndicats demeurent sur leurs gardes et attendent le concrétisation de ces promesses. «Nous espérons que cette réunion aboutira à des solutions concrètes pour les problèmes posés», a lancé le docteur Merabet, affirmant que les médecins attendent des actes concrets et non pas des promesses. En effet, dans le but d'instaurer un dialogue national pour sortir le secteur de la santé de la crise, un calendrier de rencontres restreintes avec chacun des partenaires sociaux a été établi par le ministre de la Santé. Le calendrier a débuté dimanche dernier avec les praticiens spécialistes, suivi des praticiens et les paramédicaux aujourd'hui. Quant aux psychologues, ils seront reçus le 7 juillet prochain. Le programme devrait prendre fin le 12 juillet. Pour rappel, le ministre Ould Abbès avait affirmé sa volonté de privilégier la voie de la concertation afin, a-t-il dit, de trouver ensemble des réponses concrètes, réalistes et pertinentes à même d'œuvrer à la "réhabilitation" de l'ensemble des personnels du secteur de la santé. D'autre part, et outre la résolution des conflits, les partenaires sociaux seront dorénavant associés à l'ensemble des questions en rapport avec le système national de santé et son développement futur, dont la révision de la loi sanitaire, la refondation de la doctrine de prévention médico-sanitaire et l'élaboration de la nouvelle carte sanitaire nationale. Hier, c'était au tour du Syndicat national des praticiens de santé publique (Snpsp) de renouer le dialogue, stagnant depuis des mois, et de relancer ainsi les discussions avec le ministère de la Santé. Après les spécialistes, les médecins généralistes ont renoué le contact avec leur tutelle et ont enfin abordé les questions relatives à leurs revendications d'ordre socioprofessionnel, particulièrement le dossier du statut particulier et celui du régime indemnitaire. Contacté à ce sujet, le président du Snpssp, le docteur Lyes Merabet, affirme que les deux dossiers sus-cités constituent l'enjeu majeur de ces débats. Quant au restant des revendications relatives au quota de logements de fonction ainsi qu'à l'application des horaires hebdomadaires dans le secteur de la santé, ceci relève, poursuit notre interlocuteur, de la pure et simple application des lois de la République. Il faut dire que lors d'une première prise de contact avec les syndicats de la santé, le nouveau ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, s'est engagé à résoudre les problèmes socioprofessionnels de l'ensemble des personnels du secteurs, en l'occurrence, les praticiens de la santé, les praticiens spécialistes, les paramédicaux ainsi que les sages-femmes. Or, les syndicats demeurent sur leurs gardes et attendent le concrétisation de ces promesses. «Nous espérons que cette réunion aboutira à des solutions concrètes pour les problèmes posés», a lancé le docteur Merabet, affirmant que les médecins attendent des actes concrets et non pas des promesses. En effet, dans le but d'instaurer un dialogue national pour sortir le secteur de la santé de la crise, un calendrier de rencontres restreintes avec chacun des partenaires sociaux a été établi par le ministre de la Santé. Le calendrier a débuté dimanche dernier avec les praticiens spécialistes, suivi des praticiens et les paramédicaux aujourd'hui. Quant aux psychologues, ils seront reçus le 7 juillet prochain. Le programme devrait prendre fin le 12 juillet. Pour rappel, le ministre Ould Abbès avait affirmé sa volonté de privilégier la voie de la concertation afin, a-t-il dit, de trouver ensemble des réponses concrètes, réalistes et pertinentes à même d'œuvrer à la "réhabilitation" de l'ensemble des personnels du secteur de la santé. D'autre part, et outre la résolution des conflits, les partenaires sociaux seront dorénavant associés à l'ensemble des questions en rapport avec le système national de santé et son développement futur, dont la révision de la loi sanitaire, la refondation de la doctrine de prévention médico-sanitaire et l'élaboration de la nouvelle carte sanitaire nationale.