Les résidants de Djnane El Hind, cette vieille bâtisse située à la rue Ahmed-Titah dans la commune de Belouizdad, attendent et espèrent, tout comme des milliers d'occupants d'habitations précaires de voir arriver enfin les décisions pour leur relogement dans des appartements décents. Il faut dire que la bâtisse, qui date de la période ottomane, arrive miraculeusement à tenir et à loger ces familles, qui voient chaque jour des parties de leurs maisons se détacher, mais en l'absence d'autre alternative, sont obligés de faire contre mauvaise fortune bon cœur, comme l'ont fait avant eux leurs parents et leurs grands-parents. Il faut dire que la situation s'est encore aggravée ces derniers jours, d'ailleurs l'étage supérieur de la bâtisse s'est carrément effondré il y déjà quelques années. Vue de l'extérieur il est strictement impossible de pouvoir simplement imaginer que cette bâtisse est encore habitée par des familles. Les habitants, eux disent ne pas avoir d'autre choix que de rester sous ces toits précaires en attendant un eventuel relogement. Il faut signaler que les autorités locales de la commune de Belouizdad, affirment, selon un responsable de cette même commune, «avoir contacté, au sujet du devenir de ces familles, les services de la wilaya d'Alger, pour le moment seule autorité ayant le pouvoir de décider les opérations de relogement et en définir les bénéficiaires. La commune a fait son travail en inscrivant ce site comme étant "habitat précaire" de même d'ailleurs que plusieurs autres quartiers à travers la localité. Nous attendons, pour l'instant la décision de la wilaya», nous dit-on. Les familles, quant à elles, sont plus ou moins rassérénées par les explications données par les autorités locales. D'autant qu'elles savent qu'un délai a été fixé pour l'éradication de toutes les constructions précaires. En attendant elles prennent leur mal en patience en attendant le jour qui viendra mettre fin à leurs tourments.. Les résidants de Djnane El Hind, cette vieille bâtisse située à la rue Ahmed-Titah dans la commune de Belouizdad, attendent et espèrent, tout comme des milliers d'occupants d'habitations précaires de voir arriver enfin les décisions pour leur relogement dans des appartements décents. Il faut dire que la bâtisse, qui date de la période ottomane, arrive miraculeusement à tenir et à loger ces familles, qui voient chaque jour des parties de leurs maisons se détacher, mais en l'absence d'autre alternative, sont obligés de faire contre mauvaise fortune bon cœur, comme l'ont fait avant eux leurs parents et leurs grands-parents. Il faut dire que la situation s'est encore aggravée ces derniers jours, d'ailleurs l'étage supérieur de la bâtisse s'est carrément effondré il y déjà quelques années. Vue de l'extérieur il est strictement impossible de pouvoir simplement imaginer que cette bâtisse est encore habitée par des familles. Les habitants, eux disent ne pas avoir d'autre choix que de rester sous ces toits précaires en attendant un eventuel relogement. Il faut signaler que les autorités locales de la commune de Belouizdad, affirment, selon un responsable de cette même commune, «avoir contacté, au sujet du devenir de ces familles, les services de la wilaya d'Alger, pour le moment seule autorité ayant le pouvoir de décider les opérations de relogement et en définir les bénéficiaires. La commune a fait son travail en inscrivant ce site comme étant "habitat précaire" de même d'ailleurs que plusieurs autres quartiers à travers la localité. Nous attendons, pour l'instant la décision de la wilaya», nous dit-on. Les familles, quant à elles, sont plus ou moins rassérénées par les explications données par les autorités locales. D'autant qu'elles savent qu'un délai a été fixé pour l'éradication de toutes les constructions précaires. En attendant elles prennent leur mal en patience en attendant le jour qui viendra mettre fin à leurs tourments..