Les ex-résidants de la bâtisse située au n° 81 de la rue Larbi-Tebessi à Laâkiba dans la commune de Mohamed-Belouizdad, ex-Belcourt à Alger, relogés sur le site de chalets au quartier Ben Amrane II dans la commune de Bord El-Kiffan, après l'endommagement de leurs demeures suite au séisme de 2003, refusent de rejoindre leurs maisons réabilitées. Pourtant ils ont passé près de sept longues années pénibles dans ces chalets devenus, au fil des temps, très précaires. Ces familles, au nombre de dix-sept, ont été évacués de chez eux et placées sous des tentes érigées dans le stade Sâada dans la commune de Sidi M'Hamed le lendemain de la catastrophe après que leurs appartements aient été gravement endommagés, où ils ont passé trois mois avant d'être relogés dans des chalet à Bord El- Kiffan à l'instar des milliers de sinistrés. Mais sept ans après, ils sont priés de rejoindre leurs demeures puisque ces dernières ont été réhabilitées, chose que refusent catégoriquement ces citoyens qui ne veulent pas quitter ces chalets pour «se retrouver de nouveau dans une vieille bâtisse dont la construction remonte au 18ème composés d'une pièce-cuisine et de sanitaires et une cour commune pour les 17 familles, et dont il ne sont même pas propriétaires». «Cette vieille maison appartient à un particulier et nous y sommes uniquement locataires. Nous aimerions bien avoir nos propres appartements, c'est un droit légitime, nous ne voulons pas revenir à la précarité après plus de sept ans de souffrance dans ces chalets exactement, au même titre que les familles sinistrées qui ont perdu leurs biens», nous dira un ex-occupant de cette bâtisse. Les ex-résidants de la bâtisse située au n° 81 de la rue Larbi-Tebessi à Laâkiba dans la commune de Mohamed-Belouizdad, ex-Belcourt à Alger, relogés sur le site de chalets au quartier Ben Amrane II dans la commune de Bord El-Kiffan, après l'endommagement de leurs demeures suite au séisme de 2003, refusent de rejoindre leurs maisons réabilitées. Pourtant ils ont passé près de sept longues années pénibles dans ces chalets devenus, au fil des temps, très précaires. Ces familles, au nombre de dix-sept, ont été évacués de chez eux et placées sous des tentes érigées dans le stade Sâada dans la commune de Sidi M'Hamed le lendemain de la catastrophe après que leurs appartements aient été gravement endommagés, où ils ont passé trois mois avant d'être relogés dans des chalet à Bord El- Kiffan à l'instar des milliers de sinistrés. Mais sept ans après, ils sont priés de rejoindre leurs demeures puisque ces dernières ont été réhabilitées, chose que refusent catégoriquement ces citoyens qui ne veulent pas quitter ces chalets pour «se retrouver de nouveau dans une vieille bâtisse dont la construction remonte au 18ème composés d'une pièce-cuisine et de sanitaires et une cour commune pour les 17 familles, et dont il ne sont même pas propriétaires». «Cette vieille maison appartient à un particulier et nous y sommes uniquement locataires. Nous aimerions bien avoir nos propres appartements, c'est un droit légitime, nous ne voulons pas revenir à la précarité après plus de sept ans de souffrance dans ces chalets exactement, au même titre que les familles sinistrées qui ont perdu leurs biens», nous dira un ex-occupant de cette bâtisse.