Les premiers incendies se déclarant dans les récoltes céréalières commencent à sévir à travers la wilaya de Chlef. Mille six cents hectares sont ainsi déjà partis en fumée en l'absence de l'application, par les agriculteurs, des règles élémentaires de précaution. Les premiers incendies se déclarant dans les récoltes céréalières commencent à sévir à travers la wilaya de Chlef. Mille six cents hectares sont ainsi déjà partis en fumée en l'absence de l'application, par les agriculteurs, des règles élémentaires de précaution. Alors que la campagne moisson-battage n'en est qu'à ses débuts, les premiers feux de récolte ravageurs sont déjà signalés dans plusieurs communes à travers la wilaya de Chlef. En effet, selon un communiqué de la Protection civile, plusieurs interventions ont été effectuées par les sapeurs-pompiers depuis le lancement de la campagne moisson-battage. Au cours de ces interventions il a été signalé plus de mille six cents (1.600) hectares de récoltes céréalières complètement ravagés par les flammes. Le dernier feu en date s'est déclaré, informe-t-on de même source, le week-end dernier dans la commune de Herenfa, dans la daïra du Dahra, où vingt-six (26) hectares de céréales ont été également détruits par les flammes en l'espace de quelques heures seulement. La perte est estimée à vingt-cinq (25) quintaux d'orge et soixante (60) quintaux de blé. Par ailleurs, il faut signaler qu'en dépit des journées d'information et de sensibilisation menées par la CNMA (Caisse nationale de mutuelle agricole) à l'intention des agriculteurs, notamment en matière des facilités accordées pour contracter une assurance contre les aléas du climat ou les incendies, un grand nombre de fellahs continuent à ne pas juger utile de s'assurer. Ce manque d'engouement pour les services d'assurance a pour principale explication, nous dit-on, le coût jugé élevé de ces assurances par les agriculteurs. Bien entendu, les agriculteurs qui n'ont pas souscrit d'assurance subissent durement le contrecoup des pertes occasionnées par le feu, la grêle ou la sécheresse. Par ailleurs, et pour minimiser les pertes et dégâts, particulièrement en période de fortes chaleurs, la Protection civile recommande aux agriculteurs d'équiper le tuyau d'échappement de leurs moissonneuses-batteuses d'une protection- chapeau en double toile métallique à mailles serrées dans le but de stopper d'éventuelles étincelles. Il est également préconisé de doter chaque machine d'un extincteur en parfait état de marche lequel doit être placé dans un endroit facilement accessible en cas de début d'incendie. L'autre point important est la constitution de réserves d'eau pour combattre les départs de feu, sans omettre l'installation de pare-feu aux abords des routes. Alors que la campagne moisson-battage n'en est qu'à ses débuts, les premiers feux de récolte ravageurs sont déjà signalés dans plusieurs communes à travers la wilaya de Chlef. En effet, selon un communiqué de la Protection civile, plusieurs interventions ont été effectuées par les sapeurs-pompiers depuis le lancement de la campagne moisson-battage. Au cours de ces interventions il a été signalé plus de mille six cents (1.600) hectares de récoltes céréalières complètement ravagés par les flammes. Le dernier feu en date s'est déclaré, informe-t-on de même source, le week-end dernier dans la commune de Herenfa, dans la daïra du Dahra, où vingt-six (26) hectares de céréales ont été également détruits par les flammes en l'espace de quelques heures seulement. La perte est estimée à vingt-cinq (25) quintaux d'orge et soixante (60) quintaux de blé. Par ailleurs, il faut signaler qu'en dépit des journées d'information et de sensibilisation menées par la CNMA (Caisse nationale de mutuelle agricole) à l'intention des agriculteurs, notamment en matière des facilités accordées pour contracter une assurance contre les aléas du climat ou les incendies, un grand nombre de fellahs continuent à ne pas juger utile de s'assurer. Ce manque d'engouement pour les services d'assurance a pour principale explication, nous dit-on, le coût jugé élevé de ces assurances par les agriculteurs. Bien entendu, les agriculteurs qui n'ont pas souscrit d'assurance subissent durement le contrecoup des pertes occasionnées par le feu, la grêle ou la sécheresse. Par ailleurs, et pour minimiser les pertes et dégâts, particulièrement en période de fortes chaleurs, la Protection civile recommande aux agriculteurs d'équiper le tuyau d'échappement de leurs moissonneuses-batteuses d'une protection- chapeau en double toile métallique à mailles serrées dans le but de stopper d'éventuelles étincelles. Il est également préconisé de doter chaque machine d'un extincteur en parfait état de marche lequel doit être placé dans un endroit facilement accessible en cas de début d'incendie. L'autre point important est la constitution de réserves d'eau pour combattre les départs de feu, sans omettre l'installation de pare-feu aux abords des routes.