L'été s'installe, c'est indéniable. Depuis quelques jours déjà, en effet, de grosses chaleurs déferlent sur l'ensemble du pays et le mercure atteint déjà les cimes. Dans certaines régions du pays, la température a dépassé, durant plusieurs jours de suite, les 40° Celsius. Même dans les régions côtières, avec quelques degrés de moins il est vrai, il a fait très chaud et tout indique que cette vague de chaleur est partie pour durer. Avec ces grosses chaleurs qui s'installent les citoyens et les commerçants retiennent d'ores et déjà leur souffle. Ils craignent, en effet, de subir les désagréments dus à ces chaleurs. Et dans ce contexte, le premier des soucis qui leur donne des sueurs froides reste incontestablement celui relatif au délestage. Depuis de nombreuses années, l'entreprise nationale d'électricité et de gaz (Sonelgaz) recourt à la pratique du délestage pour atténuer un tant soit peu cette forte demande sur l'électricité qui est enregistrée durant ces périodes de canicule. Sonelgaz a, notamment l'an dernier, justifié les coupures fréquentes d'électricité par des perturbations sur le réseau de transport de l'électricité et l'utilisation à grande échelle de climatiseurs en considérant que ces « désagréments » causés aux citoyens et aux commerçants ne sont pas, par conséquent, dus à un manque de production d'électricité. « Avec le début des grosses chaleurs, j'avoue que je vis la peur au ventre tant à chaque fois je n'écarte pas l'éventualité d'une coupure d'électricité » nous a confié hier Hocine, un commerçant en alimentation générale exerçant en plein centre d'Alger. « Il y'a quelques jours, nous avons déjà subi une coupure durant la journée. Heureusement que cela n'a duré que quatre heures sinon cela aurait été catastrophique pour nous et nous aurions subi de grands préjudices » a indiqué notre interlocuteur. Et d'ajouter que « pour l'heure, la situation paraît normale, en tout cas elle est nettement meilleure que celle que l'on a vécue l'année dernière où c'était vraiment le cauchemar avec des coupures fréquentes qui nous ont causé tant de préjudices ». C'est pratiquement le même son de cloche chez un autre commerçant qui exerce le métier de boucher. « Bien sûr que je vis avec la hantise des coupures d'électricité et chaque fois que le mercure grimpe, mon inquiétude grimpe avec » indique Omar, la cinquantaine. « Je n'oublierai jamais ce que nous avons dû endurer l'année dernière où nous avons subi de grosses pertes à cause des coupures d'électricité sans pour autant être indemnisés par la Sonelgaz » a-t-il ajouté. Il est vrai que l'an passé les citoyens et les commerçants ont enduré un grand calvaire. Les coupures d'électricité, très fréquentes, ont alors touché plusieurs régions du pays. Les boulangers ont été parmi les catégories professionnelles les plus touchées par cette fâcheuse situation conduisant des centaines d'entre eux à baisser rideau et prendre des congés forcés de peur de subir des pertes sèches qui les auraient conduits irrémédiablement à la ruine. Cette année, à tout le moins jusqu'à présent, la situation semble différente, mais il n'en reste pas moins que les craintes sont de mise. « Pour le moment, ce n'est pas comme l'année passée, notamment à Alger, mais dans le sud du pays et dans la Kabylie, il y'a toujours des coupures fréquentes et quotidiennes» nous a déclaré hier le président de l'Union nationale des boulangers, Kalafat Youssef. «Il en est de même dans la wilaya de Blida sur l'axe Bougara-Meftah où les boulangers enregistrent de grandes pertes à cause des coupures d'électricité» a indiqué notre interlocuteur qui dénonce le fait que les boulangers ne sont pas indemnisés pour ces pertes. Au même titre que les commerçants, les citoyens appréhendent, eux aussi, cette situation. Certaines régions semblent d'ores et déjà subir ces désagréments, comme c'est le cas dans la wilaya d'El Oued où les citoyens sont sortis manifester leur grand dépit. Et c'est justement pour éviter des situations similaires sur l'ensemble du territoire que Sonelgaz est mise en demeure de redoubler d'efforts pour épargner aux citoyens de subir le calvaire du « black out ». L'été s'installe, c'est indéniable. Depuis quelques jours déjà, en effet, de grosses chaleurs déferlent sur l'ensemble du pays et le mercure atteint déjà les cimes. Dans certaines régions du pays, la température a dépassé, durant plusieurs jours de suite, les 40° Celsius. Même dans les régions côtières, avec quelques degrés de moins il est vrai, il a fait très chaud et tout indique que cette vague de chaleur est partie pour durer. Avec ces grosses chaleurs qui s'installent les citoyens et les commerçants retiennent d'ores et déjà leur souffle. Ils craignent, en effet, de subir les désagréments dus à ces chaleurs. Et dans ce contexte, le premier des soucis qui leur donne des sueurs froides reste incontestablement celui relatif au délestage. Depuis de nombreuses années, l'entreprise nationale d'électricité et de gaz (Sonelgaz) recourt à la pratique du délestage pour atténuer un tant soit peu cette forte demande sur l'électricité qui est enregistrée durant ces périodes de canicule. Sonelgaz a, notamment l'an dernier, justifié les coupures fréquentes d'électricité par des perturbations sur le réseau de transport de l'électricité et l'utilisation à grande échelle de climatiseurs en considérant que ces « désagréments » causés aux citoyens et aux commerçants ne sont pas, par conséquent, dus à un manque de production d'électricité. « Avec le début des grosses chaleurs, j'avoue que je vis la peur au ventre tant à chaque fois je n'écarte pas l'éventualité d'une coupure d'électricité » nous a confié hier Hocine, un commerçant en alimentation générale exerçant en plein centre d'Alger. « Il y'a quelques jours, nous avons déjà subi une coupure durant la journée. Heureusement que cela n'a duré que quatre heures sinon cela aurait été catastrophique pour nous et nous aurions subi de grands préjudices » a indiqué notre interlocuteur. Et d'ajouter que « pour l'heure, la situation paraît normale, en tout cas elle est nettement meilleure que celle que l'on a vécue l'année dernière où c'était vraiment le cauchemar avec des coupures fréquentes qui nous ont causé tant de préjudices ». C'est pratiquement le même son de cloche chez un autre commerçant qui exerce le métier de boucher. « Bien sûr que je vis avec la hantise des coupures d'électricité et chaque fois que le mercure grimpe, mon inquiétude grimpe avec » indique Omar, la cinquantaine. « Je n'oublierai jamais ce que nous avons dû endurer l'année dernière où nous avons subi de grosses pertes à cause des coupures d'électricité sans pour autant être indemnisés par la Sonelgaz » a-t-il ajouté. Il est vrai que l'an passé les citoyens et les commerçants ont enduré un grand calvaire. Les coupures d'électricité, très fréquentes, ont alors touché plusieurs régions du pays. Les boulangers ont été parmi les catégories professionnelles les plus touchées par cette fâcheuse situation conduisant des centaines d'entre eux à baisser rideau et prendre des congés forcés de peur de subir des pertes sèches qui les auraient conduits irrémédiablement à la ruine. Cette année, à tout le moins jusqu'à présent, la situation semble différente, mais il n'en reste pas moins que les craintes sont de mise. « Pour le moment, ce n'est pas comme l'année passée, notamment à Alger, mais dans le sud du pays et dans la Kabylie, il y'a toujours des coupures fréquentes et quotidiennes» nous a déclaré hier le président de l'Union nationale des boulangers, Kalafat Youssef. «Il en est de même dans la wilaya de Blida sur l'axe Bougara-Meftah où les boulangers enregistrent de grandes pertes à cause des coupures d'électricité» a indiqué notre interlocuteur qui dénonce le fait que les boulangers ne sont pas indemnisés pour ces pertes. Au même titre que les commerçants, les citoyens appréhendent, eux aussi, cette situation. Certaines régions semblent d'ores et déjà subir ces désagréments, comme c'est le cas dans la wilaya d'El Oued où les citoyens sont sortis manifester leur grand dépit. Et c'est justement pour éviter des situations similaires sur l'ensemble du territoire que Sonelgaz est mise en demeure de redoubler d'efforts pour épargner aux citoyens de subir le calvaire du « black out ».