Les passagers des vols à destination ou en provenance de France, desservie par les compagnies aériennes : Air Algérie, Aigle Azur ou la toute nouvelle Air Méditerranée vont connaître des perturbations à partir du 20 juillet. La désorganisation des vols est liée à une grève des contrôleurs aériens français. Le préavis de grève entamé hier, et qui durera jusqu'à jeudi matin, est motivé par le Syndicat des contrôleurs aériens français par le refus du projet européen de fusion. Des retards ou des annulations de vols sont attendus. Les compagnies aériennes, hormis Air Algérie, se sont abstenues de communiquer par rapport à cette grève. Ainsi Air Algérie a invité «les passagers pouvant reporter leur déplacement sont priés à le faire et à se rapprocher des agences d'Air Algérie pour modifier leur date de voyage». Toutefois, selon Abdelwahid Bouabdellah, P-dg d'Air Algérie qui est intervenu hier sur les ondes de la Radio nationale a programmé le départ de six vols sur les onze prévus sur la plate-forme. Il a promis de programmer «des vols de rattrapage» après la fin du débrayage. Le moment ne pouvait plus mal tomber pour le pavillon national qui a connu de fortes perturbations sur son réseau tout récemment. Des retards ou des annulations de vols, aussi bien domestiques qu'internationaux, ont été enregistrés, provoquant la colère des passagers laissés en rade dans les halls des aéroports de départ. Ils risquent une nouvelle fois d'endurer le même calvaire, bien qu'Air Algérie a bien pris soin, une fois n'est pas coutume, d'informer ses clients de la perturbation de son programme touché par la grève des contrôleurs aériens français. Cette grève ne pouvait aussi mal tomber pour les vacanciers qui voient ainsi leur «plaisir» gâché par ce mouvement de protestation intempestif. Les principaux aéroports, algériens et français, renoueront, nul doute, avec l'agitation et l'ire des passagers, que ne manqueront pas de provoquer ce genre de manifestation. La mauvaise humeur des voyageurs accablés par une avalanche de désagréments déccuplée par le manque d'informations fiables données par les compagnies risque sérieusement d'engorger les aéroports, surtout que la direction générale de l'aviation civile française a demandé, lundi, à toutes les compagnies aériennes de réduire, pour aujourd'hui, leurs programmes de vols de 50% à Orly et de 20% à Roissy-Charles De-Gaule. En cette période de vacances estivales, les passagers à destination ou en partance de l'Algérie, notamment les Algériens de l'étranger en vacances dans le pays ou ceux qui ont projeté le retour en France doivent redoubler de vigilance et s'armer de patience. Les différentes compagnies, qui desservent le réseau Algérie-France, sont avares d'information. Hormis Air Algérie qui a fait l'effort d'informer ses clients sur les perturbations des vols et promis des vols de rattrapage dès que la grève sera terminée, Aigle Azur et Air Méditerranée, elles par contre, n'ont pas communiqué par rapport à cette grève. Aigle Azur que nous avons contacté n'a pas répondu à nos questions sur les éventuelles perturbations que pourrait connaître son réseau du fait de la grève des aiguilleurs du ciel français. Seul le Dg de la compagnie est habilité à fournir des détails sur cette situation, nous a-t-on répondu au siège de la société à Alger en nous promettant de répondre à notre sollicitation dès que possible. Nous attendons toujours pour informer les passagers de cette compagnie. S. B. Les passagers des vols à destination ou en provenance de France, desservie par les compagnies aériennes : Air Algérie, Aigle Azur ou la toute nouvelle Air Méditerranée vont connaître des perturbations à partir du 20 juillet. La désorganisation des vols est liée à une grève des contrôleurs aériens français. Le préavis de grève entamé hier, et qui durera jusqu'à jeudi matin, est motivé par le Syndicat des contrôleurs aériens français par le refus du projet européen de fusion. Des retards ou des annulations de vols sont attendus. Les compagnies aériennes, hormis Air Algérie, se sont abstenues de communiquer par rapport à cette grève. Ainsi Air Algérie a invité «les passagers pouvant reporter leur déplacement sont priés à le faire et à se rapprocher des agences d'Air Algérie pour modifier leur date de voyage». Toutefois, selon Abdelwahid Bouabdellah, P-dg d'Air Algérie qui est intervenu hier sur les ondes de la Radio nationale a programmé le départ de six vols sur les onze prévus sur la plate-forme. Il a promis de programmer «des vols de rattrapage» après la fin du débrayage. Le moment ne pouvait plus mal tomber pour le pavillon national qui a connu de fortes perturbations sur son réseau tout récemment. Des retards ou des annulations de vols, aussi bien domestiques qu'internationaux, ont été enregistrés, provoquant la colère des passagers laissés en rade dans les halls des aéroports de départ. Ils risquent une nouvelle fois d'endurer le même calvaire, bien qu'Air Algérie a bien pris soin, une fois n'est pas coutume, d'informer ses clients de la perturbation de son programme touché par la grève des contrôleurs aériens français. Cette grève ne pouvait aussi mal tomber pour les vacanciers qui voient ainsi leur «plaisir» gâché par ce mouvement de protestation intempestif. Les principaux aéroports, algériens et français, renoueront, nul doute, avec l'agitation et l'ire des passagers, que ne manqueront pas de provoquer ce genre de manifestation. La mauvaise humeur des voyageurs accablés par une avalanche de désagréments déccuplée par le manque d'informations fiables données par les compagnies risque sérieusement d'engorger les aéroports, surtout que la direction générale de l'aviation civile française a demandé, lundi, à toutes les compagnies aériennes de réduire, pour aujourd'hui, leurs programmes de vols de 50% à Orly et de 20% à Roissy-Charles De-Gaule. En cette période de vacances estivales, les passagers à destination ou en partance de l'Algérie, notamment les Algériens de l'étranger en vacances dans le pays ou ceux qui ont projeté le retour en France doivent redoubler de vigilance et s'armer de patience. Les différentes compagnies, qui desservent le réseau Algérie-France, sont avares d'information. Hormis Air Algérie qui a fait l'effort d'informer ses clients sur les perturbations des vols et promis des vols de rattrapage dès que la grève sera terminée, Aigle Azur et Air Méditerranée, elles par contre, n'ont pas communiqué par rapport à cette grève. Aigle Azur que nous avons contacté n'a pas répondu à nos questions sur les éventuelles perturbations que pourrait connaître son réseau du fait de la grève des aiguilleurs du ciel français. Seul le Dg de la compagnie est habilité à fournir des détails sur cette situation, nous a-t-on répondu au siège de la société à Alger en nous promettant de répondre à notre sollicitation dès que possible. Nous attendons toujours pour informer les passagers de cette compagnie. S. B.